- Maître vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais
Je ne vous appellerai pas maître.
Après avoir dit cela, il me regarda avec un air sarcastique et se dirigea vers ma petite valise ; il balançait de partout mes effets en cherchant quelques choses...
FLASHBACK
Alya est mon prénom. Enfant unique d'une famille modeste, je n'ai jamais manquée de quelque chose. Démarquée par mes notes lors de mon parcours scolaire, j'ai obtenu une bourse pour continuer mes études à l'étranger. Arrivée sur les lieux, j'avais du mal à m'intégrer au sein de la communauté à cause de mon comportement introverti. Plus tard, j'ai pu me lier d'amitié avec Anna, une fille de la cité. Très vite, nous sommes devenues inséparables malgré nos différences comportementales. Anna est tout mon opposée, elle adorait les sorties nocturnes et faire les achats dans des magasins de luxe malgré la situation économique de ses parents. Je prenais plaisir à l'accompagner faire ses courses. Quand j'abordais le sujet de savoir où est ce qu'elle travaille, elle me répondait :
- les affaires !
Tout se passait bien jusqu'au jour, où Anna me proposa de passer le Week end dans une autre ville à l'occasion de son anniversaire.
- Alya s'il te plaît viens avec moi. Tu refuses toujours ; fais-le pour mon anniversaire. Elle insista tellement que j'acceptai sa proposition. Ainsi, nous nous sommes dirigées vers le centre commercial.
- je ne pense pas pouvoir mettre ça Anna. En pointant du doigt ce bout de tissu qu'elle appelle robe.
- Si tu la mettras. Elle t'ira à merveille cette robe, surtout avec ce beau corps que tu as.
- non.
- tu veux continuer à ressembler à ces vieilles dames en portant toujours tes jeans ou grosses robes ? C'est juste pour deux jours.
Elle prit ce bout de tissu qui coûtait une fortune d'ailleurs, avec d'autres accessoires avant de rentrer en cité. Une fois arrivées, je pris quelques minutes pour m'habiller contrairement à Anna à qui il a fallu une éternité pour se faire belle. Je décidai de me reposer le temps qu'elle finisse.
Quelques minutes plus tard, elle vint me réveiller afin qu'on parte. Une fois sorties de la cité, je vis une belle voiture qui nous attendait. Sans me soucier, je montai dans la voiture avec Anna. Quand soudain, je me rappelais ne pas avoir informé ma mère.
- Il faut que j'informe ma mère.
- Vraiment ? tu n'es plus un enfant pour demander la permission à chaque fois que tu voudras faire quelques choses !
- Tu as peut-être raison.
Ma mère m'avait demandé de moins fréquenter Anna au risque d'oublier mes objectifs. L'informer n'arrangera rien ; vaut mieux que je garde secrète cette sortie pour le moment. Plus tard, je lui expliquerai et elle comprendra que Anna est inoffensive.
Quelques heures plus tard, la voiture s'arrêta dans un lieu presque désert. Il y avait juste cette grande et belle construction. Une fois à l'intérieur, j'ai été captivé par la beauté des locaux. Anna me fit visiter les lieux et me conduisit dans une chambre qui valait dix fois la taille de ma chambre. Je pris une douche et enfila le « morceau de tissu » offert par Anna ; la robe m'arrivait juste au niveau de la cuisse avec une ouverture au niveau du dos. Je me fis belle et rejoignis Anna qui ne faisait que me complimenter ; j'avoue me sentir belle dans cette robe. On descendit dans une salle où se trouvait de nombreuses filles en compagnie d'hommes de tout âge et riches à vue d'œil. Je pris timidement place dans un coin de la salle afin d'éviter le maximum de contact pendant que Anna discutait avec un autre homme qui a pratiquement l'âge de mon père. Plus tard, elle s'approcha de moi.
- je vais m'absenter quelques minutes. J'aimerais que tu échanges un peu avec ces messieurs dans le deuxième salon. Ils t'apprécient beaucoup tu sais ! en plus je leurs parlé ai de ton amour pour la lecture et tes écrits.
- Mais !
- Pas de mais, vas-y. C'est mon anniversaire donc fais-moi plaisir.
C'est ainsi qu'elle partit avec ce vieux qui ne cessait de me dévisager au point de me sentir gênée. Je rejoignis les autres, qui aussi ne se dérangeaient pas de me sculpter du regard. L'un des serveurs ferma la porte et me laissa avec ces messieurs qui avait un regard rempli de perversité. Dans le salon, se trouvait d'autres filles qui appréciaient leur compagnie apparemment. J'ai voulu sortir mais la salle était fermée et l'un des hommes s'adressa à moi.
- Viens t'asseoir sur mes jambes ma miss.
- Non, désolé monsieur. Il fit sorti des liasses de billet qu'il lança sur moi.
- Je t'en donnerai plus si tu obéis.
- Je vous respecte monsieur, juste parce que vous pourriez avoir l'âge mon grand-père. Mais, jamais je ne m'assiérai sur vos jambes. Dis-je avec dégout.
Enervé, lui et ses amis me rouèrent de coups avant de me renvoyer dans la chambre. J'avais mal, mais je refusais de montrer ma faiblesse. Je pensais avoir échappé à ces hommes ; quand je vis un autre homme élégant assis sur le lit.
- Bonjour Alya, Je suis l'Alpha mais appelle moi maître comme tout le monde. J'ai appris ce qui s'était passé et je ne permettrai pas que tu gâches mon business.
- Prostitution ou Business !
- Si tu veux l'appeler ainsi.
- Vous êtes dégoutant monsieur !
- Appelle moi Maître, comme j'avais dit. Si tu veux t'en sortir fais ce que je te dis.
- Maître vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître.
Après avoir dit ça, il me regarda avec un air sarcastique et se dirigea vers ma petite valise ; il balançait de partout mes effets en cherchant quelques choses. Ayant trouvé mon passeport et d'autres papiers, il vint vers moi avec un sourire victorieux.
- Les autres ont sûrement procédé par la violence, mais moi non. Tes amies se plient à tous nos désirs pour avoir un maximum d'argent. Si tu en veux, obéis. Et d'ailleurs tu es là pour ça !
- Je suis venue pour l'anniversaire de Anna, pas me prostituer.
- Trop tard, fallait te renseigner d'abord. Toutes celles qui entrent ici sont soumises et vouées à nous obéir. Donc, si je veux que tu m'appelles maître tu le fais ou je détruis tes papiers et tu ne sortiras plus de ce pays.
- Je préfère mourir. Dis-je avec des larmes aux yeux que je ne pouvais plus retenir !
- C'est ce qu'on verra.
D'un pas déterminé il se rapprocha de plus en plus et me saisit avec violence. Après m'être débattue, j'ai pu m'échapper dans les toilettes que je fermai à double tour.
- Je suis l'alpha et c'est contraire au règlement de me désobéir.
- Je n'en ai rien à faire.
Je pouvais sentir sa colère derrière la porte. J'avais peur que tout se passe mal, surtout le fait de ne plus voir mes parents. D'un coup, j'entendis la porte cogner avec violence en entendant mon prénom. Cette voix m'est familière !
- Alya !
Je me réveillai en sursaut et remarqua que j'étais toujours dans mon lit ?! trempée de sueur, toute essoufflée et en larmes. Qu'est ce qui se passe ? Je regardai autour de moi et vit ma valise à moitié ouverte. La robe choisie par Anna était pliée et posée sur mes affaires ! au fait, ce n'était qu'un CAUCHEMAR ! Je fis sortie de mes pensées par Anna qui n'arrêtait pas de m'appeler et de frapper la porte. Toute tremblante, j'ouvris la porte. Elle me regardait avec surprise.
- Qu'est-ce qui se passe Anna ? Ça fait longtemps que je t'appelle ! Tu vas bien ?
- Je ne pourrai pas venir avec toi, désolé. Dis-je angoissée ; ne sachant pas si je devais lui en
parler maintenant ou plus tard ?
- Pourquoi ?
- J'ai une forte migraine et je me suis rappelée que j'avais des devoirs à faire. Mentis-je
Elle me répondit avec inquiétude
- D'accord, mais j'aurai aimée rester avec toi.
- Non, ne t'inquiète pas.
- Je reviendrai dès que possible.
- ok.
Dès son départ, j'appela ma mère à qui j'expliqua tout. Elle me fit savoir que Dieu m'avait épargné d'une situation de non-retour. Je restai discuter avec elle quelques minutes avant de replonger dans mes pensées. Heureusement que c'était un CAUCHEMAR. Je discuterai avec Anna plus tard en espérant que c'était juste un rêve.
Je ne vous appellerai pas maître.
Après avoir dit cela, il me regarda avec un air sarcastique et se dirigea vers ma petite valise ; il balançait de partout mes effets en cherchant quelques choses...
FLASHBACK
Alya est mon prénom. Enfant unique d'une famille modeste, je n'ai jamais manquée de quelque chose. Démarquée par mes notes lors de mon parcours scolaire, j'ai obtenu une bourse pour continuer mes études à l'étranger. Arrivée sur les lieux, j'avais du mal à m'intégrer au sein de la communauté à cause de mon comportement introverti. Plus tard, j'ai pu me lier d'amitié avec Anna, une fille de la cité. Très vite, nous sommes devenues inséparables malgré nos différences comportementales. Anna est tout mon opposée, elle adorait les sorties nocturnes et faire les achats dans des magasins de luxe malgré la situation économique de ses parents. Je prenais plaisir à l'accompagner faire ses courses. Quand j'abordais le sujet de savoir où est ce qu'elle travaille, elle me répondait :
- les affaires !
Tout se passait bien jusqu'au jour, où Anna me proposa de passer le Week end dans une autre ville à l'occasion de son anniversaire.
- Alya s'il te plaît viens avec moi. Tu refuses toujours ; fais-le pour mon anniversaire. Elle insista tellement que j'acceptai sa proposition. Ainsi, nous nous sommes dirigées vers le centre commercial.
- je ne pense pas pouvoir mettre ça Anna. En pointant du doigt ce bout de tissu qu'elle appelle robe.
- Si tu la mettras. Elle t'ira à merveille cette robe, surtout avec ce beau corps que tu as.
- non.
- tu veux continuer à ressembler à ces vieilles dames en portant toujours tes jeans ou grosses robes ? C'est juste pour deux jours.
Elle prit ce bout de tissu qui coûtait une fortune d'ailleurs, avec d'autres accessoires avant de rentrer en cité. Une fois arrivées, je pris quelques minutes pour m'habiller contrairement à Anna à qui il a fallu une éternité pour se faire belle. Je décidai de me reposer le temps qu'elle finisse.
Quelques minutes plus tard, elle vint me réveiller afin qu'on parte. Une fois sorties de la cité, je vis une belle voiture qui nous attendait. Sans me soucier, je montai dans la voiture avec Anna. Quand soudain, je me rappelais ne pas avoir informé ma mère.
- Il faut que j'informe ma mère.
- Vraiment ? tu n'es plus un enfant pour demander la permission à chaque fois que tu voudras faire quelques choses !
- Tu as peut-être raison.
Ma mère m'avait demandé de moins fréquenter Anna au risque d'oublier mes objectifs. L'informer n'arrangera rien ; vaut mieux que je garde secrète cette sortie pour le moment. Plus tard, je lui expliquerai et elle comprendra que Anna est inoffensive.
Quelques heures plus tard, la voiture s'arrêta dans un lieu presque désert. Il y avait juste cette grande et belle construction. Une fois à l'intérieur, j'ai été captivé par la beauté des locaux. Anna me fit visiter les lieux et me conduisit dans une chambre qui valait dix fois la taille de ma chambre. Je pris une douche et enfila le « morceau de tissu » offert par Anna ; la robe m'arrivait juste au niveau de la cuisse avec une ouverture au niveau du dos. Je me fis belle et rejoignis Anna qui ne faisait que me complimenter ; j'avoue me sentir belle dans cette robe. On descendit dans une salle où se trouvait de nombreuses filles en compagnie d'hommes de tout âge et riches à vue d'œil. Je pris timidement place dans un coin de la salle afin d'éviter le maximum de contact pendant que Anna discutait avec un autre homme qui a pratiquement l'âge de mon père. Plus tard, elle s'approcha de moi.
- je vais m'absenter quelques minutes. J'aimerais que tu échanges un peu avec ces messieurs dans le deuxième salon. Ils t'apprécient beaucoup tu sais ! en plus je leurs parlé ai de ton amour pour la lecture et tes écrits.
- Mais !
- Pas de mais, vas-y. C'est mon anniversaire donc fais-moi plaisir.
C'est ainsi qu'elle partit avec ce vieux qui ne cessait de me dévisager au point de me sentir gênée. Je rejoignis les autres, qui aussi ne se dérangeaient pas de me sculpter du regard. L'un des serveurs ferma la porte et me laissa avec ces messieurs qui avait un regard rempli de perversité. Dans le salon, se trouvait d'autres filles qui appréciaient leur compagnie apparemment. J'ai voulu sortir mais la salle était fermée et l'un des hommes s'adressa à moi.
- Viens t'asseoir sur mes jambes ma miss.
- Non, désolé monsieur. Il fit sorti des liasses de billet qu'il lança sur moi.
- Je t'en donnerai plus si tu obéis.
- Je vous respecte monsieur, juste parce que vous pourriez avoir l'âge mon grand-père. Mais, jamais je ne m'assiérai sur vos jambes. Dis-je avec dégout.
Enervé, lui et ses amis me rouèrent de coups avant de me renvoyer dans la chambre. J'avais mal, mais je refusais de montrer ma faiblesse. Je pensais avoir échappé à ces hommes ; quand je vis un autre homme élégant assis sur le lit.
- Bonjour Alya, Je suis l'Alpha mais appelle moi maître comme tout le monde. J'ai appris ce qui s'était passé et je ne permettrai pas que tu gâches mon business.
- Prostitution ou Business !
- Si tu veux l'appeler ainsi.
- Vous êtes dégoutant monsieur !
- Appelle moi Maître, comme j'avais dit. Si tu veux t'en sortir fais ce que je te dis.
- Maître vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres, mais je ne vous appellerai pas maître.
Après avoir dit ça, il me regarda avec un air sarcastique et se dirigea vers ma petite valise ; il balançait de partout mes effets en cherchant quelques choses. Ayant trouvé mon passeport et d'autres papiers, il vint vers moi avec un sourire victorieux.
- Les autres ont sûrement procédé par la violence, mais moi non. Tes amies se plient à tous nos désirs pour avoir un maximum d'argent. Si tu en veux, obéis. Et d'ailleurs tu es là pour ça !
- Je suis venue pour l'anniversaire de Anna, pas me prostituer.
- Trop tard, fallait te renseigner d'abord. Toutes celles qui entrent ici sont soumises et vouées à nous obéir. Donc, si je veux que tu m'appelles maître tu le fais ou je détruis tes papiers et tu ne sortiras plus de ce pays.
- Je préfère mourir. Dis-je avec des larmes aux yeux que je ne pouvais plus retenir !
- C'est ce qu'on verra.
D'un pas déterminé il se rapprocha de plus en plus et me saisit avec violence. Après m'être débattue, j'ai pu m'échapper dans les toilettes que je fermai à double tour.
- Je suis l'alpha et c'est contraire au règlement de me désobéir.
- Je n'en ai rien à faire.
Je pouvais sentir sa colère derrière la porte. J'avais peur que tout se passe mal, surtout le fait de ne plus voir mes parents. D'un coup, j'entendis la porte cogner avec violence en entendant mon prénom. Cette voix m'est familière !
- Alya !
Je me réveillai en sursaut et remarqua que j'étais toujours dans mon lit ?! trempée de sueur, toute essoufflée et en larmes. Qu'est ce qui se passe ? Je regardai autour de moi et vit ma valise à moitié ouverte. La robe choisie par Anna était pliée et posée sur mes affaires ! au fait, ce n'était qu'un CAUCHEMAR ! Je fis sortie de mes pensées par Anna qui n'arrêtait pas de m'appeler et de frapper la porte. Toute tremblante, j'ouvris la porte. Elle me regardait avec surprise.
- Qu'est-ce qui se passe Anna ? Ça fait longtemps que je t'appelle ! Tu vas bien ?
- Je ne pourrai pas venir avec toi, désolé. Dis-je angoissée ; ne sachant pas si je devais lui en
parler maintenant ou plus tard ?
- Pourquoi ?
- J'ai une forte migraine et je me suis rappelée que j'avais des devoirs à faire. Mentis-je
Elle me répondit avec inquiétude
- D'accord, mais j'aurai aimée rester avec toi.
- Non, ne t'inquiète pas.
- Je reviendrai dès que possible.
- ok.
Dès son départ, j'appela ma mère à qui j'expliqua tout. Elle me fit savoir que Dieu m'avait épargné d'une situation de non-retour. Je restai discuter avec elle quelques minutes avant de replonger dans mes pensées. Heureusement que c'était un CAUCHEMAR. Je discuterai avec Anna plus tard en espérant que c'était juste un rêve.