Ça a duré une bonne minute. Une vraie minute. Une éternité pour que je m'en rende compte que ma prétendue fiancée avec lequelle j'étais m'avait quitté sans que je ne sache. En effet, je suis Monsieur Geoffroy, jeune comptable en exercice dans une structure de la place. Depuis mon enfance, j'ai toujours rêvé d'un genre de femme qui réponderait à mes attentes. C'est ainsi qu'après mes études, je décrocha un contrat de comptable dans une structure de la place où je commença à exercer. Ayant déjà le minimum pour satisfaire les besoins fondamentaux, j'ai alors pensé à avoir une petite amie pour ne dire une fiancée pour combler un vide que je ressentais. Je rencontrai alors Mademoiselle Elisabeth, un agent de secrétaire mais pas de ma structure dans laquelle j'exerçais. Oh qu'elle était magnifique cette belle créature, elle était si belle de figure et ayant une forme plus ou moins blindée. J'ai alors avancé le premier pas pour la faire savoir à quel point elle a retenu toute mon attention. C'était pas une chose facile puisqu'elle ne m'a du tout pas rendu la tâche assez facile. Tout un bon moment, elle n'était pas prête à s'engager avec moi, mais gardant la patience et l'importunant toujours, elle vit en moi l'attachement que j'avais pour elle. C'était un beau matin, où je reçu un appel téléphonique. Je me dépêcha rapidement pour chercher le téléphone et je constate que c'était elle qui m'appelait. Ayant décroché l'appel, elle me dit oyi Monsieur j'accepte à partir de ce jour à s'engager avec vous. Une joie me saisit, je ne me retins de lui proposer un rendez-vous dans le weekend. Nous commençâmes ainsi à vivre une vidz de couple qui au début a paru toute une réussite, oh je me voyais réaliser l'un de mes rêves les plus fous que ne n'y ai jamais pensé. Une attente calme et doux était entre nous, nous orgarnisâmes des sorties shopping à deux sur de longues périodes de façon répétitive. Les exigences du travail et autres ont fait alors que je ne disposais plus assez de temps pour elle, quitter le boulot et revenir tout harassé avant de penser à elle, tout un tas de choses qui faisaient que l'attention du début chutta. C'est ainsi qu'à petit coup ma chère petite amie commença par me tromper tout doucement jusqu'à un jour où l'on était encore ensemble. Je poussa ma curiosité à demander à connaître mes beaux parents, elle me disa qu'elle n'est plus à moi. C'était pour moi une désolation totale, sans me tenir je versa des larmes devant elle. Oui ca a duré une bonne minute. Une vraie minute. Une éternité pour que je sache que j'ai perdu Elisabeth pour toujours.