Voici Arthur, un garçon qui se rend à une soirée dans son collège. Le soir, il rentra chez lui, à pied, avec son téléphone. La seule mauvaise nouvelle : il pleut ! Il appela ses parents pour leur prévenir qu'il partait, puis raccrocha. Il marcha sur un parking, rempli d'une seule camionnette grise, avec le logo d‘une entreprise. Il avait même fait un « chemin de pas » avec la pluie et les traces de ses chaussures. Tout à coup, une porte s'ouvra brutalement, Arthur ne réfléchissais même pas de ce qui se passe tellement que ça passe si vite ! Et là, quelqu'un attrapa Arthur et le met dans la camionnette. Arthur est tellement terrifié :
- Qui êtes-vous ? Au secours, à l'aide ! Cria Arthur en essayant de s'approcher de la porte qui n'était pas encore fermée pour que quelqu'un l'entende.
Arthur était enroulé dans une corde, et les kidnappeurs était pressés.
- Ferme la porte, allez ! Hurla le conducteur à ses complices.
- Je peux encore appeler mes parents avec mon tel ! pensa Arthur.
- Tu veux parler de ce téléphone-là ? demanda le conducteur.
- Et ben regarde le bien. expliqua l'un des deux complices.
Le complice l'envoya par la fenêtre, où le téléphone se cassa en mille morceaux après avoir touché le béton, qu'il devenait irréparable ! Arthur était terrorisé, sera-t-il sain et sauf un jour, jamais, reverra-t-il un jour ses parent, va-t-il bientôt mourir ?
1h15, il était et les parents d'Arthur commençaient à s'inquiéter. Sa mère l'appela ne sachant pas que le téléphone de son fils était cassé et irréparable. Elle tomba directement sur sa messagerie. Elle envoya un message espérant qu'il va répondre à « Tout va bien ? Rappelle-moi je suis morte de peur et d'inquiétude ! ». Une heure plus tard, elle décida alors d'appeler la police signalant la disparition d'Arthur. Elle donna tous les informations sur lui, même où il partit pour rentrer à la maison. La police affirma qu'elle s'en chargeait tout de suite car ils n'avaient pour l'instant rien à faire et s'ennuyait.
La pluie cessa de pleuvoir et la police alla sur le lieu du crime, c'est-à-dire le parking du collège d'Arthur, muni d'une lampe pour voir dans le noir s'il trouverait des indices pour avancer l'enquête. Une fois sur le parking, la police cherchait et observa le béton. Soudain, un policier prévient tous les policier : il vu des traces de pas qui partait du collège jusqu'à une place de parking. Un policier prend plusieurs photos d'une trace de pas, ou plutôt d'une trace de chaussure et ils s'avaient tous ce qu'ils allaient en faire. Retour au commissariat, les policiers se mettent tous sur le même ordinateur. Ils allaient sur un logiciel.. Ce logiciel sert à analyser des photos et trouver à quoi correspondent les images analysées. Ils entrent l'image dans le logiciel et le logiciel chercha qu'est-ce que c'était. Il reconnut que c'était une trace de chaussure puis hercha à quelle chaussure correspondait cette trace. Il reconnut ensuite que c'était la trace de chaussure de la chaussure appelé « confort chaussure bleu et vert » à la pointure 40 et montrait une image de la chaussure.
Il est 3h18 et les parents d'Arthur ne sont toujours pas couché mais sombrés dans la peur et l'inquiétude. Ils ferment les yeux un peu, épuisés. Et là, le téléphone de la mère sonna, ils ont tous les deux sursautés. Elle prend le téléphone très rapidement, et c'était la police. Elle décrocha tout de suite et écouta :
- Bonjour madame, si vous confirmer ce que l'on va vous dire, nous aurons un indice sur votre fils disparu. Expliqua un policier.
- D'accord. dit-elle avec peur.
- Nous avons retrouvé des traces de pas sur le béton et ces traces correspondent à la chaussure suivante : « confort chaussure bleu et vert » à la pointure 40. Est-ce que vous confirmez que votre fils porte ces chaussures ?
- Oui, c'est exactement cette paire. confirma-t-elle.
- J'ai une bonne nouvelle pour vous, nous avons un plan pour ça et si ça marche votre fils sera libéré demain en fin d'après-midi. expliqua-t-il.
- Pourrais-je le savoir ? demanda-t-elle.
- Je peux juste vous dire que vous devrez vous cachez sur le parking du collège vers 16h30.
- Ok, merci pour les infos, au revoir. raccrocha-t-elle
C'est le grand moment, les kidnappeurs rentrent dans la camionnette, avec une boisson habituel dans leur main, en boivent rien qu'une gorgée et un mystérieux liquide qui fait dormir a fait directement effet, ils s'endorment d'un coup. Les policiers mettaient en place les pièges. Tout d'abord bloquer la route pour que personnes d'autres que sa fasse piéger, après mettre un tapis avec des sortes de « piques » pour que quand la camionnette pas dessus les pneus soient crevés et donc ils ne peuvent plus rouler, ensuite mettre du film étirable invisible entre deux poteaux pour que quand il rentre dedans ils vont être enroulé et bloqués.
Une heure plus tard, les kidnappeurs étaient réveiller.
- Bonjour ! appela un policier qui viens de sortir de sa cachette.
- Vite appuie sur le champignon, vite ! cria le complice au conducteur.
Le policier les laissait partir sachant qu'ils allaient tomber dans le piège.
La camionnette ayant passée sur le tapis et les pneus devenus crevés, les kidnappeurs n'avaient plus qu'un moyen de s'en sortir :
- Sortons de la camionnette et fuyons !
Les kidnappeurs sortaient de la camionnette, laissant Arthur et se dirigeaient vers le film étirable invisible et se retrouvaient bloqués. Les policiers s'acharnaient sur eux pour les arrêter :
- Chers kidnappeurs, vous allez avoir 25 ans de prison. annonça un policier qui mettait les menottes avec son collègue.
Et c'est là qu'Arthur était libre.