‘‘ Maitre ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'on fait tous les autres mais je
ne vous appellerai pas maitre '' tel fut les propos que je lui teins devant ces lycaons.
Moi Wakara fils de Wadeba de la longue lignée des Wamba, moi appeler mon frère noir
« maitre » c'était mal connaitre l'enfant des grandes savanes, fils du vent et frère de la nature
moi dire Maitre...
(Les lycaons) : tu vas la fermer et te prosterner devant sa majesté guide souverain maitre
incontesté et incontestable ?
C'est mal connaitre ma mauvaise volonté et surtout ma détermination à ne jamais fléchir
devant un frère à la peau noire et de surcroit, de surcroit...
D'ailleurs pour qui se prend -il ? A cause du peu de fric qu'il a seulement il se voit le centre
du monde. Tout ne tourne pas autour de lui je vous le dis...
(Coup de poing et Wakara se retrouve encore affalé au sol, déjà qu'il avait du mal à se
remettre debout depuis les coups précédents, il tenta vainement de se remettre sur pied. il
s'agrippa à tout ce qui pouvait supporter sa petite masse volumineuse mais hélas il trébucha et
retournait à la case départ.)
Les lycaons :il est vraiment Corrias se type !
Wakara : tué moi c'est mieux, mon village est certes pauvre, mais on y trouve encore des
Hommes dignes d'honneurs et de confiance. On a des hommes à qui la barbe blanche n'est
nullement le symbole de vieillesse mais celui de la sagesse et de grandeur.
Dite lui qu'il peut toujours courir. « Aux hommes valeureux l'honneur n'attend poing le
nombre d'année » le temps de l'esclave du noir par le noir est révolu je le cri haut et fort ici
présent même. Aucun humain ne devrait avoir le contrôle sur l'autre sur aucun prétexte car
nous sommes tous égaux.
Les lycaons : égalité mon œil oui, continu de rêvasser dans ce monde il n'y a point d'égalité
vu que le monde lui-même est inégalement réparti comment veux-tu qu'il ait une égalité entre
les hommes.
Wakara : je vous l'atteste ici que je ne l'appellerai jamais « maitre »et cela est une évidence
mais une certitude. Rouillé moi de coup s'ils vous chantent je ne ferai rien. Dire notre pauvre
père avait raisin quand il disait que seule deux choses pouvaient séparer des frères : la femme
et l'argent. Qui détient l'argent détient le pouvoir.
L'argent le Salo l'avait bien obtenu pas de la bonne des façons mais plutôt par divers
procédés que je me permettrai de taire cher lecteur pour ne point ébranler votre sensibilité.
Les femmes, ils les échangeaient comme l'on peut échanger des chaussures de foot. On dit
chez moi que celui qui possède de l'argent possède le pouvoir et qui y goute en voudra
toujours plus. C'est tristement le cas de cette andouille ; lui qui a gouté à l'amour familial ; à
l'ambiance convivial du foyer ; aux cris entre-mêlé de joie et d'espoir ; à la chaleur des nuits
de veillée de conte ; aux douceurs du feux de cuisson. Dites moi lecteur comment peut on
changer en se point en monstre. Celui qui possède l'argent possède le monde, mais moi
Wakara je ne serai à personne. Notre père aura du mal à se retourner dans sa tombe si moi je
t'appelle toi Hamadé, celui à qui j'ai laissé le sein « maitre ».
FIN
ne vous appellerai pas maitre '' tel fut les propos que je lui teins devant ces lycaons.
Moi Wakara fils de Wadeba de la longue lignée des Wamba, moi appeler mon frère noir
« maitre » c'était mal connaitre l'enfant des grandes savanes, fils du vent et frère de la nature
moi dire Maitre...
(Les lycaons) : tu vas la fermer et te prosterner devant sa majesté guide souverain maitre
incontesté et incontestable ?
C'est mal connaitre ma mauvaise volonté et surtout ma détermination à ne jamais fléchir
devant un frère à la peau noire et de surcroit, de surcroit...
D'ailleurs pour qui se prend -il ? A cause du peu de fric qu'il a seulement il se voit le centre
du monde. Tout ne tourne pas autour de lui je vous le dis...
(Coup de poing et Wakara se retrouve encore affalé au sol, déjà qu'il avait du mal à se
remettre debout depuis les coups précédents, il tenta vainement de se remettre sur pied. il
s'agrippa à tout ce qui pouvait supporter sa petite masse volumineuse mais hélas il trébucha et
retournait à la case départ.)
Les lycaons :il est vraiment Corrias se type !
Wakara : tué moi c'est mieux, mon village est certes pauvre, mais on y trouve encore des
Hommes dignes d'honneurs et de confiance. On a des hommes à qui la barbe blanche n'est
nullement le symbole de vieillesse mais celui de la sagesse et de grandeur.
Dite lui qu'il peut toujours courir. « Aux hommes valeureux l'honneur n'attend poing le
nombre d'année » le temps de l'esclave du noir par le noir est révolu je le cri haut et fort ici
présent même. Aucun humain ne devrait avoir le contrôle sur l'autre sur aucun prétexte car
nous sommes tous égaux.
Les lycaons : égalité mon œil oui, continu de rêvasser dans ce monde il n'y a point d'égalité
vu que le monde lui-même est inégalement réparti comment veux-tu qu'il ait une égalité entre
les hommes.
Wakara : je vous l'atteste ici que je ne l'appellerai jamais « maitre »et cela est une évidence
mais une certitude. Rouillé moi de coup s'ils vous chantent je ne ferai rien. Dire notre pauvre
père avait raisin quand il disait que seule deux choses pouvaient séparer des frères : la femme
et l'argent. Qui détient l'argent détient le pouvoir.
L'argent le Salo l'avait bien obtenu pas de la bonne des façons mais plutôt par divers
procédés que je me permettrai de taire cher lecteur pour ne point ébranler votre sensibilité.
Les femmes, ils les échangeaient comme l'on peut échanger des chaussures de foot. On dit
chez moi que celui qui possède de l'argent possède le pouvoir et qui y goute en voudra
toujours plus. C'est tristement le cas de cette andouille ; lui qui a gouté à l'amour familial ; à
l'ambiance convivial du foyer ; aux cris entre-mêlé de joie et d'espoir ; à la chaleur des nuits
de veillée de conte ; aux douceurs du feux de cuisson. Dites moi lecteur comment peut on
changer en se point en monstre. Celui qui possède l'argent possède le monde, mais moi
Wakara je ne serai à personne. Notre père aura du mal à se retourner dans sa tombe si moi je
t'appelle toi Hamadé, celui à qui j'ai laissé le sein « maitre ».
FIN