Toute histoire commence un jour, quelque part, tout comme à ces quelques fois où la vie ressemble à un cauchemar.
Un cauchemar dans lequel l’on se sent enchaîné par une immense peine et à un amour qu’on croyait éternel qui se métamorphose. Ou lorsqu’un rêve qu’on croyait réalisable s’évapore pour de bon. Livrés à nous même, à nos peurs et nos cauchemars, la vie peut facilement nous anéantir.
Mars 2005, En ce moment, la saison sèche faisait pleuvoir ses modestes grosses sueurs sur les fronts. Et de petites herbes, presque incolores, montrais leur corolle entre les cailloux.
Un beau matin à la pointe du jour, assis sur le canapé les doigts noués sur mes genoux j’étais plongé dans mes pensées. Le ronron monotone du ventilateur électrique agissait sur moi comme un puissant soporifique. Et soudain, j’entendis un cri énorme au dehors. A cet instant, je n'étais plus prisonnier de mes pensées. J’ai alors commencé à envisager d'infinis variables du chaos susceptible de se produire. Mais c'était le cas à cet instant. Je m’étais sentis ainsi parce qu’il y avait un an de cela que ma petite maman souffrait d’une maladie de cœur.
Je me précipitai alors pour aller voir ce qui se passait et pourquoi ces cris même si mon cœur était lourd et l’esprit qui appréhendait que de la peur.
Une fois au dehors, je lui ait vu. Elle était là, étalée par terre sans souffle. C’est alors que frappa la main cruelle du destin.
En ce même moment, un frisson désagréable dévala le long de ma colonne vertébrale et une petite sueur se mit à perler sur mon front. Refusant chaque larme, Mes pensées ne semblaient jamais se prévoir.
Avec un air de mépris, j'ai dû refermer les yeux et d'oublier qui j'étais. Et de là, je portais désormais un fardeau. Mais aussi c'était l'annonce d'un épisode foireux, d'un passé à caresser et d'un avenir à conquérir.
Elle venait de rendre l’âme. Oui ma mère venait de s’en aller à jamais.
Une mère au regard parfait qui voulait faire de sa vie un havre de bonheur où fleuves et rivières ne charrient qu'allégresse, où les gouttes de pluie sont pétales de fleurs.
Une mère à la limpide tendresse couronnée d'ardeur et de charme qui trompe les regards jaloux.
Que faire lorsque tout s'évapore comme une vie ordinaire que l'on fait valser, ou comme la toupie d'un gamin que l'on fait tourner.
Face à cette situation, je me sentais perdu au centre d’une ronde infinie. Un terrible thriller qui entraîne une tempérance à faire des choses que l'on ne soupçonne pas.
La sensation de revivre une situation au détail près, on a tous déjà eu cette impression bizarre qui dépasse parfois nos capacités réalistes. Et c’est pourquoi j’ai sans doute pas envie de vous raconter la suite, ces pleurs, ces grincement de dent, cette passion qui existait entre elle et moi et qui pouvait transformer le banal en merveilleux, cet amour qui bouleversait notre encense par sa magnificence. Ni de ces douces fleurs de l’âme qui embaumaient notre chemin lorsque l’on marchait ensemble une main dans la main et si heureux de se guider et de se suivre, ou quand elle et moi on ne se préoccupait ni d’hier mais du présent beau jour dont le parfum enivrait. Quelque chose qui était le merveilleux des contes, des instants volés à la perfection. Instants que je grave désormais dans ma mémoire.
Désormais je suis privé de cet amour inconditionnel et de cette tendresse du quotidien. Alors je ne peux que rester silencieux. Évidemment parce que le silence est un phénomène incompréhensible. Ce silence qui révèle les temps passés qui ne peuvent qu’éveiller en moi la tristesse et la mélancolie éperdue.
Un cauchemar dans lequel l’on se sent enchaîné par une immense peine et à un amour qu’on croyait éternel qui se métamorphose. Ou lorsqu’un rêve qu’on croyait réalisable s’évapore pour de bon. Livrés à nous même, à nos peurs et nos cauchemars, la vie peut facilement nous anéantir.
Mars 2005, En ce moment, la saison sèche faisait pleuvoir ses modestes grosses sueurs sur les fronts. Et de petites herbes, presque incolores, montrais leur corolle entre les cailloux.
Un beau matin à la pointe du jour, assis sur le canapé les doigts noués sur mes genoux j’étais plongé dans mes pensées. Le ronron monotone du ventilateur électrique agissait sur moi comme un puissant soporifique. Et soudain, j’entendis un cri énorme au dehors. A cet instant, je n'étais plus prisonnier de mes pensées. J’ai alors commencé à envisager d'infinis variables du chaos susceptible de se produire. Mais c'était le cas à cet instant. Je m’étais sentis ainsi parce qu’il y avait un an de cela que ma petite maman souffrait d’une maladie de cœur.
Je me précipitai alors pour aller voir ce qui se passait et pourquoi ces cris même si mon cœur était lourd et l’esprit qui appréhendait que de la peur.
Une fois au dehors, je lui ait vu. Elle était là, étalée par terre sans souffle. C’est alors que frappa la main cruelle du destin.
En ce même moment, un frisson désagréable dévala le long de ma colonne vertébrale et une petite sueur se mit à perler sur mon front. Refusant chaque larme, Mes pensées ne semblaient jamais se prévoir.
Avec un air de mépris, j'ai dû refermer les yeux et d'oublier qui j'étais. Et de là, je portais désormais un fardeau. Mais aussi c'était l'annonce d'un épisode foireux, d'un passé à caresser et d'un avenir à conquérir.
Elle venait de rendre l’âme. Oui ma mère venait de s’en aller à jamais.
Une mère au regard parfait qui voulait faire de sa vie un havre de bonheur où fleuves et rivières ne charrient qu'allégresse, où les gouttes de pluie sont pétales de fleurs.
Une mère à la limpide tendresse couronnée d'ardeur et de charme qui trompe les regards jaloux.
Que faire lorsque tout s'évapore comme une vie ordinaire que l'on fait valser, ou comme la toupie d'un gamin que l'on fait tourner.
Face à cette situation, je me sentais perdu au centre d’une ronde infinie. Un terrible thriller qui entraîne une tempérance à faire des choses que l'on ne soupçonne pas.
La sensation de revivre une situation au détail près, on a tous déjà eu cette impression bizarre qui dépasse parfois nos capacités réalistes. Et c’est pourquoi j’ai sans doute pas envie de vous raconter la suite, ces pleurs, ces grincement de dent, cette passion qui existait entre elle et moi et qui pouvait transformer le banal en merveilleux, cet amour qui bouleversait notre encense par sa magnificence. Ni de ces douces fleurs de l’âme qui embaumaient notre chemin lorsque l’on marchait ensemble une main dans la main et si heureux de se guider et de se suivre, ou quand elle et moi on ne se préoccupait ni d’hier mais du présent beau jour dont le parfum enivrait. Quelque chose qui était le merveilleux des contes, des instants volés à la perfection. Instants que je grave désormais dans ma mémoire.
Désormais je suis privé de cet amour inconditionnel et de cette tendresse du quotidien. Alors je ne peux que rester silencieux. Évidemment parce que le silence est un phénomène incompréhensible. Ce silence qui révèle les temps passés qui ne peuvent qu’éveiller en moi la tristesse et la mélancolie éperdue.