"Maître? Vous plaisantez? Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas maître", c'est cette phrase que j'ai dit hier matin en se moquant de son attitude. Réveillée par les rayons de soleil frappant la literie écroulée en annonçant le commencement d'une nouvelle journée, ou devrais-je dire une nouvelle tentative de consommer l'aspiration qui me reste, j'ai recueilli le tourment d'hier soir à côté de ma force, d'un air las. La prochaine chose dont je me souviens, c'est que j'ai écrit ce qui ressemble à un reste des méchantes cartes postales que nous avions l'habitude d'échanger pendant son voyage en Grèce. Sauf que c'était une lettre prolongée. la toute dernière. J'ai écrit la lettre que j'avais dû écrire. Impénitente. Rigide. Vulnérable.
"Je regarde la façon dont vous avez démonté tous mes chagrins. C'etait l'image vive que j'avais depuis logntemps qui a troublé ma vision des choses, me laissant profondément et vicieusement déséquilibrée. Pourtant, cette image ne semble jamais cesser d'être flou et déplacée. Elle me donne envie de régurgiter des décennies de canulars épuisés remontant au XVIIème siècle et que tout le monde a marre d'entendre une fois de plus. Moi, inconsciente de leur suprémacie sur moi, j'étais ravie de les absorber, de la même façon que je ravalais ma fierté quand je m'excusais pour des choses totalement hors de mon contrôle. J'étais folle. Ça, je me dis sans cesse. Peut-être que ça n'était pas censée durer. En écartant les signes, niant la réalité ultimement cristalline et la permettant de me foudroyer à bras ouverts, je prétendais être prise par surprise. Le déni, mon ami. Il fait dissiper toute occasion de guérison. Il vous enferme dans une mentalité se nourrissant des fantasmes crées par vous-même au temps où toutes les voix avaient une sérénité et une superficialité perturbantes. J'ai parfaitement conscience que je dois tourner cette page, mais un éclat d'hésitation persistant s'accroche au même ‘torva messor' qui l'a implanté en moi en premier lieu. Il se peut que ce concept ressemble aux scénarios induis par nous lors du renoncement face à l'idée de nos corps, tous les deux, vides, et simultanément, doux scintillant afin de viser un sentiment d'appartenance bien distant et plein de désir. Pour moi, en fait, ça a l'air plus crédible. Plus réelle. Plus proche de moi que tu ne l'es en ce moment. Plus tangible. Ce qui amène à la confusion, c'est que ça est plus facile à saisir et à inhaler. Avant tout, c'était plus rassurant pour moi que tu ne l'as jamais été. Assurément, le "qu'est-ce que tu prends?" constant que tu prenais l'habitude de lancer au milieu de chacune de nos argumentations aggravait la situation de plus. Ça fait partie de ce que j'ai bientôt appelé ton jeu de rejet de la faute et de culpabilisation. Un jeu pour lequel je me suis volontairement inscrit. Un jeu auquel j'étais attirée comme un aimant néodyme. Trop fragile pour résister, mais trop fortement entremêlée pour prendre un peu de recul une fois que j'ai pris ma décision. Mon antinomie. Votre paradoxe. Une portion des deux. Mon excuse amère était que vous m'avez attiré après tout. Quelqu'un devait endosser la responsabilité de la façon dont j'ai, moi-même, abordé la situation. Quelqu'un d'autre que moi. J'ai décidé que c'était toi. Ensuite, j'ai décidé qu'il était temps que je me décide. Je prends du recul. Une fois pour toutes. Pendant tout ce temps, ce n'était pas moi et toi entravés par le destin. C'était moi et toi entravés l'un par l'autre. Le destin, pour ce que j'en sais, était l'un des cent mensonges dégoûtants que nous avons cherché en essayant d'enlever la responsabilité. Méfiez-vous, mon ami. Nous avons brisé les piédestaux de l'autre tout au long du processus. Alors, "là, je sature!"".
"Je regarde la façon dont vous avez démonté tous mes chagrins. C'etait l'image vive que j'avais depuis logntemps qui a troublé ma vision des choses, me laissant profondément et vicieusement déséquilibrée. Pourtant, cette image ne semble jamais cesser d'être flou et déplacée. Elle me donne envie de régurgiter des décennies de canulars épuisés remontant au XVIIème siècle et que tout le monde a marre d'entendre une fois de plus. Moi, inconsciente de leur suprémacie sur moi, j'étais ravie de les absorber, de la même façon que je ravalais ma fierté quand je m'excusais pour des choses totalement hors de mon contrôle. J'étais folle. Ça, je me dis sans cesse. Peut-être que ça n'était pas censée durer. En écartant les signes, niant la réalité ultimement cristalline et la permettant de me foudroyer à bras ouverts, je prétendais être prise par surprise. Le déni, mon ami. Il fait dissiper toute occasion de guérison. Il vous enferme dans une mentalité se nourrissant des fantasmes crées par vous-même au temps où toutes les voix avaient une sérénité et une superficialité perturbantes. J'ai parfaitement conscience que je dois tourner cette page, mais un éclat d'hésitation persistant s'accroche au même ‘torva messor' qui l'a implanté en moi en premier lieu. Il se peut que ce concept ressemble aux scénarios induis par nous lors du renoncement face à l'idée de nos corps, tous les deux, vides, et simultanément, doux scintillant afin de viser un sentiment d'appartenance bien distant et plein de désir. Pour moi, en fait, ça a l'air plus crédible. Plus réelle. Plus proche de moi que tu ne l'es en ce moment. Plus tangible. Ce qui amène à la confusion, c'est que ça est plus facile à saisir et à inhaler. Avant tout, c'était plus rassurant pour moi que tu ne l'as jamais été. Assurément, le "qu'est-ce que tu prends?" constant que tu prenais l'habitude de lancer au milieu de chacune de nos argumentations aggravait la situation de plus. Ça fait partie de ce que j'ai bientôt appelé ton jeu de rejet de la faute et de culpabilisation. Un jeu pour lequel je me suis volontairement inscrit. Un jeu auquel j'étais attirée comme un aimant néodyme. Trop fragile pour résister, mais trop fortement entremêlée pour prendre un peu de recul une fois que j'ai pris ma décision. Mon antinomie. Votre paradoxe. Une portion des deux. Mon excuse amère était que vous m'avez attiré après tout. Quelqu'un devait endosser la responsabilité de la façon dont j'ai, moi-même, abordé la situation. Quelqu'un d'autre que moi. J'ai décidé que c'était toi. Ensuite, j'ai décidé qu'il était temps que je me décide. Je prends du recul. Une fois pour toutes. Pendant tout ce temps, ce n'était pas moi et toi entravés par le destin. C'était moi et toi entravés l'un par l'autre. Le destin, pour ce que j'en sais, était l'un des cent mensonges dégoûtants que nous avons cherché en essayant d'enlever la responsabilité. Méfiez-vous, mon ami. Nous avons brisé les piédestaux de l'autre tout au long du processus. Alors, "là, je sature!"".