Il était seul, il marchait en silence, il gravissait la montagne à la recherche d'une seule chose. Une trace. C'était en l'An Deux. La Légende dit que Chakar, le Mage-Chevalier, aurait fait dans la roche du Pic-de-la-Mort, une trace avec son épée, comme une balafre et quiconque y fait un baiser devient immortel.
L'homme marchait seul sans s'arrêter. Il essuyait son front perlant de sueur avec sa manche et regardait le sommet en plissant les yeux à cause du soleil.
« Encore une Lune et j'y serais » murmura t-il pour lui-même.
Il s'assit quelque temps puis se leva avec une nouvelle énergie. Il marchait avidement. Son corps suait mais il persévérait. Il ne se laissait pas abattre par ces supplices.
A la nuit tombée, il s'arrêta et trouva un endroit adéquat pour se reposer et s'allongea. La montée lui avait tellement fatigué les muscles qu'il s'endormit sans prendre le temps de manger.
A l'aube, il se releva motivé malgré ses muscles courbaturés. Il marcha sous le soleil frappant de ses rayons durant quatre longues heures puis s'arrêta. Il chercha dans le fond de sa besace en peau de cerf et en sortit une pierre. Y était gravée le plan d'une carte. Il le regarda longuement en observant autour de lui de temps en temps pour retrouver des repères dans le paysage. Puis il rangea la pierre et reprit son chemin.
Rapidement, il arriva devant une grotte d'où sortait une brise fraîche. Il s'y engouffra et au bout de quelques pas, il s'arrêta pris d'un petit frisson.
L'homme marchait seul sans s'arrêter. Il essuyait son front perlant de sueur avec sa manche et regardait le sommet en plissant les yeux à cause du soleil.
« Encore une Lune et j'y serais » murmura t-il pour lui-même.
Il s'assit quelque temps puis se leva avec une nouvelle énergie. Il marchait avidement. Son corps suait mais il persévérait. Il ne se laissait pas abattre par ces supplices.
A la nuit tombée, il s'arrêta et trouva un endroit adéquat pour se reposer et s'allongea. La montée lui avait tellement fatigué les muscles qu'il s'endormit sans prendre le temps de manger.
A l'aube, il se releva motivé malgré ses muscles courbaturés. Il marcha sous le soleil frappant de ses rayons durant quatre longues heures puis s'arrêta. Il chercha dans le fond de sa besace en peau de cerf et en sortit une pierre. Y était gravée le plan d'une carte. Il le regarda longuement en observant autour de lui de temps en temps pour retrouver des repères dans le paysage. Puis il rangea la pierre et reprit son chemin.
Rapidement, il arriva devant une grotte d'où sortait une brise fraîche. Il s'y engouffra et au bout de quelques pas, il s'arrêta pris d'un petit frisson.
Il y avait devant lui la trace de l'épée sur la pierre. Il effleura la marque du bout de ses doigts et sans tarder, il posa ses lèvres sur la roche froide.