Maître ?
Vous plaisantez ?
Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appelerai pas maître .
Bien-sûr que vous occupez un respectueux poste dans notre royaume mais cela ne vous donne pas la liberté voir même le droit de me traiter d'esclave. Un petit paysans noir que je suis j'ai le respect pour ma dignité et je ne compte la perdre un jour.
Je suis le fruit d'une souffrance le fruit d'une période difficile à endurer, une période que certains ont perdu leurs vies, une période dont les âmes sans défense ont réussi à obtenir par force et non par pitié une indépendance physique et en parlant de cela je vois l'absence des travaux forcés, faire un travail qui nous semble bon et surtout dans le sens d'être conduit par son propre désir et non en plus seul des personnes qui sont au dessus de nous. Et vous souhaitez que je me prosterne devant vous ! Me soumettre à votre merci ! Cela est certainement impossible car c'est cracher sur mes ancêtres chose que vous connaissez très bien eux qui ce sont battues pour que je sois épargné de toutes maltraitance venant de n'importe qui que ce soit.
Vous appellez maître comme dans des conte de fée de l'esclavage que m'as raconté mon grand père et s'était horrible voir même catastrophique qu'il ne pouvait tout me raconté. Par contre j'ai eu droit à des motivations comme " Ne laisse jamais personne te dire que tu ne peux pas " dans ta vie ne te dérange pas de ce que pense les autres car tu risquerait de passé toute ta vie à vouloir plaire à tout le monde, chose qui n'existe pas.
En Toutes pièces mon frère en claire et en large. Détrompez vous si vous pensez qu'à cause peut-être de la souffrance que vous alliez me faire subir moi et ma famille que vous allez m'obliger à commettre un tel tabou.
Je vous respecte car j'ai grandi tout en sachant mes droits et mes obligations envers ceux qui nous dirigent et si je me rappelle bien d'une de leçons des mes grand parents "Tout autorité viens de Dieu" je vous dois probablement du respect .
Je sais très bien que vous avez un grand cœur et que vous comprenez l'instinct qui me motive(mon émotions). C'est dans cette optique que j'aimerais clôturer monsieur l'autorité cette parole que j'ai prise sans votre aimable autorisation et que je n'aimerais pas que les autres paysans suivent comme exemple en vous disant, je ne peux pas vous appeler maître .
Vous plaisantez ?
Vous pouvez me cogner, comme l'ont fait tous les autres mais je ne vous appelerai pas maître .
Bien-sûr que vous occupez un respectueux poste dans notre royaume mais cela ne vous donne pas la liberté voir même le droit de me traiter d'esclave. Un petit paysans noir que je suis j'ai le respect pour ma dignité et je ne compte la perdre un jour.
Je suis le fruit d'une souffrance le fruit d'une période difficile à endurer, une période que certains ont perdu leurs vies, une période dont les âmes sans défense ont réussi à obtenir par force et non par pitié une indépendance physique et en parlant de cela je vois l'absence des travaux forcés, faire un travail qui nous semble bon et surtout dans le sens d'être conduit par son propre désir et non en plus seul des personnes qui sont au dessus de nous. Et vous souhaitez que je me prosterne devant vous ! Me soumettre à votre merci ! Cela est certainement impossible car c'est cracher sur mes ancêtres chose que vous connaissez très bien eux qui ce sont battues pour que je sois épargné de toutes maltraitance venant de n'importe qui que ce soit.
Vous appellez maître comme dans des conte de fée de l'esclavage que m'as raconté mon grand père et s'était horrible voir même catastrophique qu'il ne pouvait tout me raconté. Par contre j'ai eu droit à des motivations comme " Ne laisse jamais personne te dire que tu ne peux pas " dans ta vie ne te dérange pas de ce que pense les autres car tu risquerait de passé toute ta vie à vouloir plaire à tout le monde, chose qui n'existe pas.
En Toutes pièces mon frère en claire et en large. Détrompez vous si vous pensez qu'à cause peut-être de la souffrance que vous alliez me faire subir moi et ma famille que vous allez m'obliger à commettre un tel tabou.
Je vous respecte car j'ai grandi tout en sachant mes droits et mes obligations envers ceux qui nous dirigent et si je me rappelle bien d'une de leçons des mes grand parents "Tout autorité viens de Dieu" je vous dois probablement du respect .
Je sais très bien que vous avez un grand cœur et que vous comprenez l'instinct qui me motive(mon émotions). C'est dans cette optique que j'aimerais clôturer monsieur l'autorité cette parole que j'ai prise sans votre aimable autorisation et que je n'aimerais pas que les autres paysans suivent comme exemple en vous disant, je ne peux pas vous appeler maître .