La « DAN 338 » du handball

Son existence était presque nul, elle pouvait se trouvait dans une pièce et se fondre dans le cadre. Malgré sa timidité, elle ne se s’en sortait pas dans ses études avec tous les efforts du monde. Son univers la voyait dans ses yeux comme quelqu’une qui ne servait à rien. Elle s’enfermait le plus souvent dans sa chambre, le seul endroit où elle se sentait en paix. Elle fut plusieurs tentatives de suicide pour mettre fin à sa vie mais à sa dernière hospitalisation, elle se retrouve dans la même cabine qu’un jeune homme qui avait la jambe dans un plâtre. C’était la première fois qu’elle partagée sa cabine faute de place. Dans la cabine couchée sur le lit numéro deux, elle se cachait le visage pour ne pas croiser les yeux du jeune homme. Le jeune homme s’ennuyant lui demanda est-ce qu’elle n’était pas fatiguée de ce calme de morgue. Cette fois ci l’ambiance changea du tout autour. D’une cabine d’hôpital commence son apprentissage. Le temps passa et elle était devenue une autre personne, Tous deux sont sortis de l’hôpital, comme l’avait promis le jeune homme, il la fut admettre dans un club sportif d’handball. Pour la première fois de sa vie elle se donna à cent pour cent, elle faisait de grands progrès et son objectif était d’intégré l’équipe national d’handball. Ses performances remarquées, un jour en plein matin, elle reçut une lettre de proposition d’intégrer l’équipe nationale d’handball. Quelques jours plus tard suivant le retour de la lettre, une femme se présenta devant le palier de sa maison comme la représente de la fédération sportive d’handball nationale. Les présentations furent rapidement faite ainsi que la signature de contrat. D’une modeste maison elle se retrouva dans un grand institut sportif regroupant des sportifs de différentes disciplines. L’heure de vérité avait sonné, elles furent sélectionnées pour participer à la coupe du monde d’handball. Les filles passèrent avec grillon les huitièmes de final, elle se fut aussi remarquée de par sa maturité et sa précision, tandis qu’elle était la redoutable dans sa discipline, les autres équipes et le public la surnommée la « DAN 338 » de par sa précision. Le monde était en face de la déesse du handball, ses mains étaient pareil au « DAN.338 » le fusil de sniper le plus précis du monde. Au quart de final, le stade était à guichet fermé, tout le monde voulait apprécier son talent. Ce match était fatidique pour montrer son talent au monde, malgré qu’elle l’ait fait à mi-chemin avec un écart impressionnant, malheureusement elle fut blessée à la jambe et fut contrainte de rester sur les bancs des remplaçantes. Ce fut le moment le plus douloureux depuis son ascension, son rêve allait lui échappé, remporté la coupe de monde d’handball. Après le match, en urgence, elle fut transportée à l’hôpital, elle n’eut pas de fracture, mais le médecin lui conseilla de mettre sa jambe au arrêt pendant une semaine en vue d’éliminer les complications. Pour elle cela n’était pas envisageable et demanda au médecin de lui proposer une solution accélérer. Impuissante de par son sort, elle inspirée toute femme de toute une génération. Ses thérapeutes étaient admiratifs de voir une personne par une détermination pareil. Elle s’affranchira de son mal au bout de trois jours mais ne devrait en aucun cas s’appuyer trop fortement sur sa jambe qui n’était pas parfaitement guérit. Sortie de l’hôpital sur ses deux jambes pour quelqu’une qui avait des béquilles, la nouvelle fut sensation et fait le tour du monde enlevant l’appréhension de toute une nation. L’information sur l’état de sa jambe était méconnue du public et elle se devait de maintenir illusion que tout allait bien. La nuit de la veille de la finale, humaine comme tout le monde, même si elle ne laissait apparaitre, elle était stressé et inquiète. Elle regardait ses coéquipières dans les bras de Morphée. Une voix familière jaillie dans le noir, elle se lève de son lit, allant vers la voix, sortie de la chambre, elle voyait le jeune homme, elle était tellement heureuse et l’enlaça fortement. En un clignement d’œil, il disparaissait et réapparaissait en lui disant qu’il était omniprésent, qu’il serait toujours là pour elle où qu’elle puisse être ou se trouver dans le monde. Elle ne réalisait toujours pas, il s’approcha d’elle en lui demanda de le regardé dans les yeux puis lui demande de le touché mais sa main passait toujours à travers son corps, il était insaisissable. Elle comprit que le jeune homme n’avait existé et que c’était elle en jeune homme qui voulait que son moi prenne conscience de son talent. La nuit passa vite, elle était sortie d’un long rêve d’où crainte de son avenir ne l’accompagna guerre. Avec ses coéquipières le relax était au rendez-vous, elles prirent un léger petit déjeuner puis travaillèrent sur les derniers arrangements et tactiques de jeux. Au tout début du match, l’originalité du DAN 338, mit le public en feu, ce n’était plus un match ennuyeux que le public était habitué mais un vrai spectacle pour les yeux spectateurs. L’heure n’était plus à la timidité et elle exprimait librement son talent avec quinze points à huit points, dont sept points d’écart au profit de son équipe à la première mi-temps. Deuxième mi-temps, le jeu recommence, les deux équipes révélèrent leur combativité comme si leur vie en dépend, les scores ne cessèrent d’augmenter de quinze à huit, à dix minutes de jeu, ils étaient de trente à quinze soit quinze points d’écart au profit de son équipe. Mais à cinq minutes de défense avec un score de trente-trois à vingt-cinq avec sept points d’écart l’inévitable arriva malheureusement et elle fut une mauvaise réception sur sa jambe malade. L’arbitre brandi un carton rouge en guise de sanction mais n’empêche elle se tordait de douleur. L’entraineuse lui demanda de s’arrêter parce qu’elle avait fait un bon match et qu’elle n’avait plus rien à prouver mais elle lui demande un calmant en lui disant qu’elle pouvait l’appréhender avec la bonne méthode. Elle avale un comprimé et se lève en boitant demanda à l’entraineuse qui la remis automatiquement en jeu. De pivot, elle assurait l’ail droit, pour la première fois, elle s’incarnant en leader et donna des instructions à ses coéquipières qui la suivirent à l’aveuglette, sa tactique marchée et l’entraineuse n’en attendait pas plus d’elle pour affiner son jeu, elle ne se la jouer plus personnelle mais en équipe. Au côté spectateur, l’admiration n’en était que grande pour ce bout de femme qui savait faire mes merveilles mais savait aussi les transmettre. En une minute de jeux le score se resserre de trente-cinq à trente toujours au profit de leur équipe avec cinq points d’écart qui marquent la fin du rencontre. Leur équipe a gagné, de l’ombre à la lumière, elles sont devenues championnes du monde d’handball, la première dans l’histoire de leur pays et de leur nation. Ça y’est, elle l’a fait elle était au bout de son rêve et elle l’a réalisé, ses larmes ne cessèrent de couler dans son âme. Leur adversaire comme à l’accoutumer du fair play, venirent félicité l’équipe. Avant de partir leur capitaine pris à part la DAN 338 dans ses bras pour lui manifester l’honneur de l’avoir parmi ses adversaires. La célébration a été courte pour permettre la mise en place de la cérémonie des médailles et de la coupe. De tour à tour l’équipe troisième finaliste fut décoré de médailles de bronze, puis le deuxième de médailles d’argent puis les grandes gagnantes de médailles d’or et une coupe gravée à leur effigie. Pour la première fois un hymne qui était méconnu raisonnait au-delà des frontières. Après la remise des prix collectifs, elle rafla tous les prix individuels sans exceptions, ainsi que le record de performance en handball féminine. Elle n’était pas seulement une handballeuse mais une légende du handball et voici l’histoire du DAN 338.