Nouvelles
3 min
Ecole nationale supérieure d''agriculture
"Kéké", la fille qui fit exception
Toute histoire commence un jour, quelque part.
Un jour, à KEKE, un village de Négasel, fut né un enfant, une fille pas comme les autres, on le surnomma plus tard ‘’Kéké’’. Alors pourquoi ce nom ? Qu’est ce qui la distingua des autres? Vivez l’histoire de la petite ‘’Kéké’’.
Un matin comme dans les règles de l’art, une fille naquit belle, riante et aux yeux rayonnantes. Ses parents furent plus que contents, leur sourire avait augmenté de rieurs. Baptême, passé, autres célébrations effectuées, la nouvelle fut nommé Satou. Les premiers jours de son existence s’en passèrent dans la joie qui suit un souhait accepté, celui de ses parents d’avoir une cadette. Chanson, dancing, flatterie, shopping rien ne fut en défaut. Des griots aux vendeurs, tout le monde confirma son ravissement, que ce fut un braillant.
Mais ça ce n’était qu’un début car, dès que neuf (9) mois furent passés, plus s’en écoula du temps, plus papa et maman rendirent comptes du retard accusé par leur progéniture dans son évolution.
3 ans sans marcher.
4 ans sans parler, si ce n’est pour dire ‘’kéké’’, ‘’kéké’’.
Et même si elle veut faire toilettes, elle ne dît mots et ne faisait gestes et faisait sur place. Waw ! De tels constats faits, ont commencé à semer la peur et l’inquiétude dans la famille de ladite petite.
2 ans sont ont poursuivirent, mais toujours est-il qu’elle ne dialogue, plus grave, elle ne montrât même pas une action de mobilité ou acte d’essai. Certains commencèrent déjà à le qualifier de muette et d’autre comme Pape l’appelât la handicapée. Et quand un jour, Modou, un inconnu qui passé, entendra la petite dire ‘’kéké’ de façon récurrente. Il remarqua aussi qu’à chaque chose et à tout ce qu’elle voulue faire comprendre, elle dît ‘’kéké’’, aussitôt tôt, il le surnomma ‘’kéké’’. Et depuis, elle entendu ‘’Kéké’’.
A l’hôpital, aux dispensaires de même que chez les traditionnelles ; chez tous les connus guérisseurs de chez eux, des plus célèbres au moins, elle fut amenée.
Les chansons de djinns fut réciter, les âmes des arrières parents furent appelés et pourtant, les résultats restèrent les mêmes partout où ils laissèrent leurs traces. Malgré le plus de temps accordées, les efforts consenties, l’argent dépensés, la déception continuât de rongé sa famille. Sa mère, triste, maigrie et au visage pâle, nuit et jour, priât. Astou, sa grande sœur âgé de 6 12ans à l’époque, affirma dalleur avoir toujours vu sa mère aux larmes à chaque fois qu’elle était seule avec la petite ‘’kéké’’.
Du temps s’en passé et puis un beau jour, par magie ou grâce à rien de justifiable, tout a changé, elle prononça, qui ? ‘’Kéké’’, son premier mot, maman comme qui disait ‘’mawman’’ ; défaut de prononciation vous savez.
De la maison de sa grande mère jusqu’à chez, les petites de son âge fredonnaient ses mots : je veux rentrer, elle dît. Je veux rentrer, elle dit. Et ils le répétaient à en faire une chanson jadis. Ce jour-là, l’émotion fut tellement grande chez sa mère qu’elle n’arrêta pas de lui demander de répéter. Mais bien nombreux que fut le nombre de fois où elle insistât, Satou ne dît mot. Pourtant, quand elle à voulut aller aux bains, elle le dixit bien, haut et fort.
Depuis ce jour-là, elle apprenait plus vite qu’autrui, à lire, à marcher et à danser comme tout ce monde enfantin qui l’entourait.
Son cerveau était contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, très développé, son scolarité en témoignage à cela, fut raccourcisse à moitié au primaire.
Sa tête bien, mais son physique aussi ne fut pas en reste. Elle a eu à gagner postérieurement, un prix de chanson pas, pour rappeler sa voix mélodiques ; un médaille d’argent en course vitesse, pour indiquer son habilité ; un diplôme en en karaté montre bien son évolution corporel.
Aujourd’hui, elle est une physicienne concentrant une fine partie de son temps à l’explication de son changement soudain. Sa mère affirme jusque-là, qu’elle fut possédée par des esprits. Quant à elle, elle dit avoir mis un plus de temps que la normale pour concevoir et comprendre le monde. Pourtant, alors qu’elle n’avait que 6 ans, quand on lui pilonnait cette fameuse phrase: qu’est ce qui s’est passé ce jour-là? Elle répondait : j’ai eu la chance.
Ce jour, là, c’était un Lundi le 5 affirma Pape, un de ses frères.
Dans le village de ‘’KEKE’’, qui a su en hériter son nom, s’est déroulée cette histoire : ‘’Kéké’’, la fille qui fit exception, une naissance normale, une enfance inquiétante, un destin fabuleux.
Un jour, à KEKE, un village de Négasel, fut né un enfant, une fille pas comme les autres, on le surnomma plus tard ‘’Kéké’’. Alors pourquoi ce nom ? Qu’est ce qui la distingua des autres? Vivez l’histoire de la petite ‘’Kéké’’.
Un matin comme dans les règles de l’art, une fille naquit belle, riante et aux yeux rayonnantes. Ses parents furent plus que contents, leur sourire avait augmenté de rieurs. Baptême, passé, autres célébrations effectuées, la nouvelle fut nommé Satou. Les premiers jours de son existence s’en passèrent dans la joie qui suit un souhait accepté, celui de ses parents d’avoir une cadette. Chanson, dancing, flatterie, shopping rien ne fut en défaut. Des griots aux vendeurs, tout le monde confirma son ravissement, que ce fut un braillant.
Mais ça ce n’était qu’un début car, dès que neuf (9) mois furent passés, plus s’en écoula du temps, plus papa et maman rendirent comptes du retard accusé par leur progéniture dans son évolution.
3 ans sans marcher.
4 ans sans parler, si ce n’est pour dire ‘’kéké’’, ‘’kéké’’.
Et même si elle veut faire toilettes, elle ne dît mots et ne faisait gestes et faisait sur place. Waw ! De tels constats faits, ont commencé à semer la peur et l’inquiétude dans la famille de ladite petite.
2 ans sont ont poursuivirent, mais toujours est-il qu’elle ne dialogue, plus grave, elle ne montrât même pas une action de mobilité ou acte d’essai. Certains commencèrent déjà à le qualifier de muette et d’autre comme Pape l’appelât la handicapée. Et quand un jour, Modou, un inconnu qui passé, entendra la petite dire ‘’kéké’ de façon récurrente. Il remarqua aussi qu’à chaque chose et à tout ce qu’elle voulue faire comprendre, elle dît ‘’kéké’’, aussitôt tôt, il le surnomma ‘’kéké’’. Et depuis, elle entendu ‘’Kéké’’.
A l’hôpital, aux dispensaires de même que chez les traditionnelles ; chez tous les connus guérisseurs de chez eux, des plus célèbres au moins, elle fut amenée.
Les chansons de djinns fut réciter, les âmes des arrières parents furent appelés et pourtant, les résultats restèrent les mêmes partout où ils laissèrent leurs traces. Malgré le plus de temps accordées, les efforts consenties, l’argent dépensés, la déception continuât de rongé sa famille. Sa mère, triste, maigrie et au visage pâle, nuit et jour, priât. Astou, sa grande sœur âgé de 6 12ans à l’époque, affirma dalleur avoir toujours vu sa mère aux larmes à chaque fois qu’elle était seule avec la petite ‘’kéké’’.
Du temps s’en passé et puis un beau jour, par magie ou grâce à rien de justifiable, tout a changé, elle prononça, qui ? ‘’Kéké’’, son premier mot, maman comme qui disait ‘’mawman’’ ; défaut de prononciation vous savez.
De la maison de sa grande mère jusqu’à chez, les petites de son âge fredonnaient ses mots : je veux rentrer, elle dît. Je veux rentrer, elle dit. Et ils le répétaient à en faire une chanson jadis. Ce jour-là, l’émotion fut tellement grande chez sa mère qu’elle n’arrêta pas de lui demander de répéter. Mais bien nombreux que fut le nombre de fois où elle insistât, Satou ne dît mot. Pourtant, quand elle à voulut aller aux bains, elle le dixit bien, haut et fort.
Depuis ce jour-là, elle apprenait plus vite qu’autrui, à lire, à marcher et à danser comme tout ce monde enfantin qui l’entourait.
Son cerveau était contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, très développé, son scolarité en témoignage à cela, fut raccourcisse à moitié au primaire.
Sa tête bien, mais son physique aussi ne fut pas en reste. Elle a eu à gagner postérieurement, un prix de chanson pas, pour rappeler sa voix mélodiques ; un médaille d’argent en course vitesse, pour indiquer son habilité ; un diplôme en en karaté montre bien son évolution corporel.
Aujourd’hui, elle est une physicienne concentrant une fine partie de son temps à l’explication de son changement soudain. Sa mère affirme jusque-là, qu’elle fut possédée par des esprits. Quant à elle, elle dit avoir mis un plus de temps que la normale pour concevoir et comprendre le monde. Pourtant, alors qu’elle n’avait que 6 ans, quand on lui pilonnait cette fameuse phrase: qu’est ce qui s’est passé ce jour-là? Elle répondait : j’ai eu la chance.
Ce jour, là, c’était un Lundi le 5 affirma Pape, un de ses frères.
Dans le village de ‘’KEKE’’, qui a su en hériter son nom, s’est déroulée cette histoire : ‘’Kéké’’, la fille qui fit exception, une naissance normale, une enfance inquiétante, un destin fabuleux.