Nouvelles
2 min
Université du Tchad
Gnokké Hirigué Berou-Keby et son Tessiril, son compagnon de tous les jours
Toute histoire commence un jour, quelque part, celle de Gnokké Hirigué commence au beau milieu de l'Ennedi.
Gnokké Hirigué Berou-Keby et son réputé coursier, l'histoire d'un homme et un animal extraordinaire,le dromadaire,un commagnon inseparable du nomade.
Je m'en vais vous conter par cette longue et sublime nuit aux étoiles chatoyantes et à la lune admirable et rosé qui forme un cercle à son orée, difficilement différenciable du roi astre à son aurore.
Par cette nuit où l'attention de plus d'un internaute est retenue par un evenement qui nous est nouveau, occidental, un phénomène à la fois mystère à nos anciens et étrangèr à notre natal sable.
Je m'en vais comme promis vous conter une majestueuse histoire, un scenario cher à ses protagonistes mais insignifiante pour ceux d'aujourd'hui, un recit qui, parmi tant d'autres risque d'être classé aux oublièttes de l'histoire et enterrer avec ses acteurs.
Je m'en vais vous raconter l'épique récit d'un chamelier semi nomade et de son sprinter dromadaire.
Dans un passé recent, les beri, les domossy et les arabes cohabitaient aux hauteurs de Mourdi, Mourtcha, Nioun et Wadi-Hawar ou Éou sans beaucoup se cotoyer.
Entre temps, le razzia et le rapte étaient apréciés et leurs acteurs admirés.
Gnokké Hirigué était l'un des cébédés et jockeys fils du terroir qui oppéraient dans les lointains lopins, sa cousière et féerique monture s'appelait Tessiril.
Un jour, ils opérèraient chez arabes nomades aux environs de Mourdi Djounâ, ils furent vaincus, son célèbre et sprinter Tessiril fut emporter par l'ennemi, lui, il fut gravement bléssé et aissé pour mort gisant sur le sol.
Un des siens allant en trousse du secours, rencontre Djenny la bravecompagne du célèbre jockey, qui face à la nouvelle dramatique, composa des chansons satiriques envers l'informateur et des prouésses envers son teméraire de cebédé.
Tessiril fut emporter, un vieillard arabe aveugle, un fin connaisseur des dromadaires carressa les pattes ânterieures et posterieurs de la noble animal et su que celui ci a un caractère très recherché.
C'est le fameux coursier qui vient toujours opérer dans parages, le vieux, entrava savamment l'animal à deux tours(sourré et Guiré) et confiat sa garderie à deux pastoureaux avec des strictes conseils.
Mais un jour, l'animal nostalgique à sa terre et à son propriètaire, échappa en dénouant les deux entraves, l'un des pastoureaux courru avertir le bivouac.
Ils se mirent à sa poursuite sur leurs rapides méharis, mais celui là est unique en son genre.
Il se deplaça à la vitesse du vent, disparait tel un mirage qui disparait dans les sables.
Il rentra chez lui, fidél aux siens et le lendemain on le retrouva à Bâminâ.
Il vêcut une vie harmonieuse avec son jockey jusqu'à sa sénilité.
Gnokké Hirigué Berou-Keby et son réputé coursier, l'histoire d'un homme et un animal extraordinaire,le dromadaire,un commagnon inseparable du nomade.
Je m'en vais vous conter par cette longue et sublime nuit aux étoiles chatoyantes et à la lune admirable et rosé qui forme un cercle à son orée, difficilement différenciable du roi astre à son aurore.
Par cette nuit où l'attention de plus d'un internaute est retenue par un evenement qui nous est nouveau, occidental, un phénomène à la fois mystère à nos anciens et étrangèr à notre natal sable.
Je m'en vais comme promis vous conter une majestueuse histoire, un scenario cher à ses protagonistes mais insignifiante pour ceux d'aujourd'hui, un recit qui, parmi tant d'autres risque d'être classé aux oublièttes de l'histoire et enterrer avec ses acteurs.
Je m'en vais vous raconter l'épique récit d'un chamelier semi nomade et de son sprinter dromadaire.
Dans un passé recent, les beri, les domossy et les arabes cohabitaient aux hauteurs de Mourdi, Mourtcha, Nioun et Wadi-Hawar ou Éou sans beaucoup se cotoyer.
Entre temps, le razzia et le rapte étaient apréciés et leurs acteurs admirés.
Gnokké Hirigué était l'un des cébédés et jockeys fils du terroir qui oppéraient dans les lointains lopins, sa cousière et féerique monture s'appelait Tessiril.
Un jour, ils opérèraient chez arabes nomades aux environs de Mourdi Djounâ, ils furent vaincus, son célèbre et sprinter Tessiril fut emporter par l'ennemi, lui, il fut gravement bléssé et aissé pour mort gisant sur le sol.
Un des siens allant en trousse du secours, rencontre Djenny la bravecompagne du célèbre jockey, qui face à la nouvelle dramatique, composa des chansons satiriques envers l'informateur et des prouésses envers son teméraire de cebédé.
Tessiril fut emporter, un vieillard arabe aveugle, un fin connaisseur des dromadaires carressa les pattes ânterieures et posterieurs de la noble animal et su que celui ci a un caractère très recherché.
C'est le fameux coursier qui vient toujours opérer dans parages, le vieux, entrava savamment l'animal à deux tours(sourré et Guiré) et confiat sa garderie à deux pastoureaux avec des strictes conseils.
Mais un jour, l'animal nostalgique à sa terre et à son propriètaire, échappa en dénouant les deux entraves, l'un des pastoureaux courru avertir le bivouac.
Ils se mirent à sa poursuite sur leurs rapides méharis, mais celui là est unique en son genre.
Il se deplaça à la vitesse du vent, disparait tel un mirage qui disparait dans les sables.
Il rentra chez lui, fidél aux siens et le lendemain on le retrouva à Bâminâ.
Il vêcut une vie harmonieuse avec son jockey jusqu'à sa sénilité.