Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés? Peut-être les deux? Ou encore le fil de mes imaginations troublées déroutées, car je ne cessai de marcher dans l'ombre d'un désespoir sans secours et subit, j'allai dans la direction d'où m'emmena mon cœur solitaire et cupide, j'attendis sur mon chemin un être modifié qu'on pourrait appeler "FEMME", mais plus encore, un être pourvu de désir sans aucune pulsion charnalisée, je pris mon temps, je levai la tête tout en haut vers le bleu celeste, je laissai voltiger mon esprit dans les nuées de l'espace et je poursuivis ma route, seul, avec ce corps plaintif et peureux qu'est le mien, je ne cessai de pleurer pour cet être caché non découvert, je criai à la limite des jours et priai tout au long de la nuit, je pensai à la vie, à l'histoire, mais surtout au souvenir que j'aurais eu à son existence. J'implorai avec ferveur cette beauté excessive pleine de charme que je vis au fin fond de mes imaginations débordantes, j'aimai cette voix si douce, si délicieuse que j'entendis jusqu'au loin de mon interieur qui se désole, j'admirai de plein gré ce regard imagé fixé, projeté par ses yeux brillants tel la clarté du soleil à l'horizon. J'inventai une posture à sa guise afin d'en avoir une créature complète tant qu'imaginaire qu'elle soit. Si je pouvais, j'essayerais de l'amener dans mon monde, je l'éradiquerais de l'irréel et je jouirais de sa présence à jamais.
À force de me laisser emporter par le flot de cette imagination captivante, je ne pus guider mes pensées sur le réel car je voulus rester auprès d'elle pour toujours afin que son visage me soit connu net et clair sans aucune difformité. Si seulement, je fus une pensée, je m'implanterais dans ma propre pensée afin d'en convoiter la sienne, j'enverrais les plus beaux fantasmes jamais connus à l'encontre de sa vision, j'en ferais de ses mots des douceurs de miel assez succulentes. Mais hélas, je ne pus être que son hôte imaginaire dans l'instant, je refusai d'ouvrir les yeux pour ne pas la perdre au moment, je rejetai toute forme d'improvisation vitale afin d'en consentir aux actes commis, je cherchai le prana et je résistai à moitié sous son charme mais je succombai à la pertinence de cette résistance. À trop vouloir m'en emparer de cet amour inéluctable assez tragique que me laisse le fil de mes pensées en ressenti, j'aimai ma propre personnalité sans aucune évidence créatrice. J'accuse mon âme, mon esprit et mon corps d'avoir choisir l'abandon plutôt que l'usage de la bienséanse à l'égard d'un cœur inexpérimenté et fragil qu'est le mien.
J'essayai de lutter, de rejeter son existence non réelle afin d'en reconnaître, d'accepter ma vrai vie mais une solitude d'esprit me laissa en manque de son image et m'envoya encore sur sa voie dans le vide, j'apprivoisai cet être lumineux qu'elle reflète, j'accourus dans le noir pour toujours la voir et ceci sans m'en rendre compte de l'heure passée à l'admirer depuis mes pensées à mes sens actifs. Une sensation de vouloir être me rendit captif et bouc émissaire d'un désir sans structure et futile. J'ouvris mon cœur fébrile à son âme composée si parfaite et j'obtins mes propres mots en récompense tels c'étaient mon cœur et mon âme à la fois. Je méprisai le bonheur corporel concret pour courtiser cette joie d'esprit imaginaire qu'est la sienne, sans refus ni mépris j'oubliai mon être chagriné et malheureux au dehors du réel pour passer du temps avec cette muse sans chair ni âme, dans mon intérieur. Je soulageai mon subconscient, entravai ma conscience et enchaînai mon cœur avec un amour inventé, incompris et fictif. Mon cœur devint sombre à force de vivre cette passion intérieure sans aucun avenir réel, aurais-je la garantie d'en sortir saint de cette histoire? Et ma lucidité?
Tristement et sans choix je continuai de l'aimer par admiration, je devins addicter, obséder et même que son image m'a possédée. Je devins esclave en acquérant une mentalité incertaine peu probable de voir le lendemain, je jubilai de peur à chaque fois que je songe à l'amnésie, je profitai quand même mais l'absence de chaleur humaine m'en tracassa au fond et m'engendra du moment une envie de contact beaucoup trop physique. Je noyai dans le flot d'une histoire incroyable de sens, je fus de ma personnalité un adepte de sa face déssinée, je perdis ma place au-dehors pour trouver grâce au-dedans près de la dulcinée dans ma tête. Je voulus l'attraper afin de l'embrasser mais l'embarras de mon esprit m'en laissa à équivoque et elle passa à travers moi telle une fumée qui se disperse et se dirige de partout. Je respirai profondément afin d'en tirer un trait et de poursuivre ma vraie ligne vitale mais l'exagération de mes imaginations en était beaucoup plus forte que mes idées déjà dominées par cette passion assez érotique. J'oubliai ma vie sur le sol de la réalité pour entammer une histoire magnifique en racontar mais assez ennuyeuse en expérience car la répétition d'une et seule chose ne cesse de se reproduire des instants, à savoir son image et seulement son image fanfaronnant au milieu de mes pensées, belle qu'elle soit, mais la privation de douceur et de chaleur en donne un autre goût amer à cet amour irréfutable. Sans toucher et sans voix, seulement sa forme de corps telle une nuée rassemblée, sans odeur ni sueur de peau mais seulement elle qui séduisit mes pensées.
J'apeurai d'un moment sans savoir d'où serait venu ma consolation dans cette peine, je pensai au créateur et même aux autres dieux vénérés, je citai et recitai le "Notre Père" au fin fond de mon être afin d'en trouver ma délivrance de cet amour, j'eus marre de cette partie de ma vie paraissant agréable au début mais beaucoup trop pénible à la fin, à force de me laisser guider par cette fumée captivante je donnai mon cœur qui m'était cher en échange d'une vue intérieure instable et routinière. J'acquis cet échec érotique sans aucun effort réel mais pire une nuisance perpétuelle m'en empara jusqu'à me rendre esclave de son image pour toujours. J'admis ma passion à son égard et je reconnus sa farouche splendeur alors que c'était trop tard pour me retirer puisqu'il y eut d'autres choses beaucoup plus forte qui me tinrent afin de me perdurer le plus long possible et voir même pour toujours à l'intérieur de mon intérieur déboussolé. Je pris connaissance d'avoir ironiser sa vertu au départ sans même penser aux conséquences futures. Je fus victime de ma propre personne et aussi de l'invention imaginaire qu'est cette déesse nominée par un esprit désolé sur le chemin de ma vie.
Je ne cessai à chercher de comprendre ce phénomène ambigu hors du commun, je n'arrivai pas à me détourner de ce reflet distinctif qu'elle projetait, je devenai un peu trop pensif et mon existence risqua de se compromettre au large. J'oubliai ce que j'étais vraiment car elle a conquis mon être de la manière la plus persuasive et stupide, j'osai demander à mon cœur si j'étais moi car je ne me voyais pas accepter cette défaite avec autant d'humilité comme cela s'est présenté de l'heure. Je détruisis ma vie en voulant avoir un amour digne de ma personnalité et je faiblis tous mes sens sans le vouloir, j'infligeai la peine de la solitude à mon être mais je subis moi-même les répercussions actives. Je regrettai de ne pas avoir garder mon calme dès le début, de ne pas avoir penser à autre chose que son image et de ne pas avoir enlever cette vision de ma tête de très tôt.J'ai été dompté par mes propres imaginations, je n'eus trouvé aucun mot ni geste pour exprimer mes supplices. Elle a vécue en moi et a pris le dessus sur tout ce qui m'appartenait à savoir la totalité de mon corps, mon âme et aussi elle a contrôlée, occupée mes pensées. Je crus avoir une vie de délice mais le temps m'en a déclaré le reste de l'histoire si vite que je ne cesse de me demander si j'aurais le cœur à son état de nature un jour ou l'autre. Puisse le créateur me protège de ce funeste moment que me fasse endurer cette menace imaginaire subite.
À force de me laisser emporter par le flot de cette imagination captivante, je ne pus guider mes pensées sur le réel car je voulus rester auprès d'elle pour toujours afin que son visage me soit connu net et clair sans aucune difformité. Si seulement, je fus une pensée, je m'implanterais dans ma propre pensée afin d'en convoiter la sienne, j'enverrais les plus beaux fantasmes jamais connus à l'encontre de sa vision, j'en ferais de ses mots des douceurs de miel assez succulentes. Mais hélas, je ne pus être que son hôte imaginaire dans l'instant, je refusai d'ouvrir les yeux pour ne pas la perdre au moment, je rejetai toute forme d'improvisation vitale afin d'en consentir aux actes commis, je cherchai le prana et je résistai à moitié sous son charme mais je succombai à la pertinence de cette résistance. À trop vouloir m'en emparer de cet amour inéluctable assez tragique que me laisse le fil de mes pensées en ressenti, j'aimai ma propre personnalité sans aucune évidence créatrice. J'accuse mon âme, mon esprit et mon corps d'avoir choisir l'abandon plutôt que l'usage de la bienséanse à l'égard d'un cœur inexpérimenté et fragil qu'est le mien.
J'essayai de lutter, de rejeter son existence non réelle afin d'en reconnaître, d'accepter ma vrai vie mais une solitude d'esprit me laissa en manque de son image et m'envoya encore sur sa voie dans le vide, j'apprivoisai cet être lumineux qu'elle reflète, j'accourus dans le noir pour toujours la voir et ceci sans m'en rendre compte de l'heure passée à l'admirer depuis mes pensées à mes sens actifs. Une sensation de vouloir être me rendit captif et bouc émissaire d'un désir sans structure et futile. J'ouvris mon cœur fébrile à son âme composée si parfaite et j'obtins mes propres mots en récompense tels c'étaient mon cœur et mon âme à la fois. Je méprisai le bonheur corporel concret pour courtiser cette joie d'esprit imaginaire qu'est la sienne, sans refus ni mépris j'oubliai mon être chagriné et malheureux au dehors du réel pour passer du temps avec cette muse sans chair ni âme, dans mon intérieur. Je soulageai mon subconscient, entravai ma conscience et enchaînai mon cœur avec un amour inventé, incompris et fictif. Mon cœur devint sombre à force de vivre cette passion intérieure sans aucun avenir réel, aurais-je la garantie d'en sortir saint de cette histoire? Et ma lucidité?
Tristement et sans choix je continuai de l'aimer par admiration, je devins addicter, obséder et même que son image m'a possédée. Je devins esclave en acquérant une mentalité incertaine peu probable de voir le lendemain, je jubilai de peur à chaque fois que je songe à l'amnésie, je profitai quand même mais l'absence de chaleur humaine m'en tracassa au fond et m'engendra du moment une envie de contact beaucoup trop physique. Je noyai dans le flot d'une histoire incroyable de sens, je fus de ma personnalité un adepte de sa face déssinée, je perdis ma place au-dehors pour trouver grâce au-dedans près de la dulcinée dans ma tête. Je voulus l'attraper afin de l'embrasser mais l'embarras de mon esprit m'en laissa à équivoque et elle passa à travers moi telle une fumée qui se disperse et se dirige de partout. Je respirai profondément afin d'en tirer un trait et de poursuivre ma vraie ligne vitale mais l'exagération de mes imaginations en était beaucoup plus forte que mes idées déjà dominées par cette passion assez érotique. J'oubliai ma vie sur le sol de la réalité pour entammer une histoire magnifique en racontar mais assez ennuyeuse en expérience car la répétition d'une et seule chose ne cesse de se reproduire des instants, à savoir son image et seulement son image fanfaronnant au milieu de mes pensées, belle qu'elle soit, mais la privation de douceur et de chaleur en donne un autre goût amer à cet amour irréfutable. Sans toucher et sans voix, seulement sa forme de corps telle une nuée rassemblée, sans odeur ni sueur de peau mais seulement elle qui séduisit mes pensées.
J'apeurai d'un moment sans savoir d'où serait venu ma consolation dans cette peine, je pensai au créateur et même aux autres dieux vénérés, je citai et recitai le "Notre Père" au fin fond de mon être afin d'en trouver ma délivrance de cet amour, j'eus marre de cette partie de ma vie paraissant agréable au début mais beaucoup trop pénible à la fin, à force de me laisser guider par cette fumée captivante je donnai mon cœur qui m'était cher en échange d'une vue intérieure instable et routinière. J'acquis cet échec érotique sans aucun effort réel mais pire une nuisance perpétuelle m'en empara jusqu'à me rendre esclave de son image pour toujours. J'admis ma passion à son égard et je reconnus sa farouche splendeur alors que c'était trop tard pour me retirer puisqu'il y eut d'autres choses beaucoup plus forte qui me tinrent afin de me perdurer le plus long possible et voir même pour toujours à l'intérieur de mon intérieur déboussolé. Je pris connaissance d'avoir ironiser sa vertu au départ sans même penser aux conséquences futures. Je fus victime de ma propre personne et aussi de l'invention imaginaire qu'est cette déesse nominée par un esprit désolé sur le chemin de ma vie.
Je ne cessai à chercher de comprendre ce phénomène ambigu hors du commun, je n'arrivai pas à me détourner de ce reflet distinctif qu'elle projetait, je devenai un peu trop pensif et mon existence risqua de se compromettre au large. J'oubliai ce que j'étais vraiment car elle a conquis mon être de la manière la plus persuasive et stupide, j'osai demander à mon cœur si j'étais moi car je ne me voyais pas accepter cette défaite avec autant d'humilité comme cela s'est présenté de l'heure. Je détruisis ma vie en voulant avoir un amour digne de ma personnalité et je faiblis tous mes sens sans le vouloir, j'infligeai la peine de la solitude à mon être mais je subis moi-même les répercussions actives. Je regrettai de ne pas avoir garder mon calme dès le début, de ne pas avoir penser à autre chose que son image et de ne pas avoir enlever cette vision de ma tête de très tôt.J'ai été dompté par mes propres imaginations, je n'eus trouvé aucun mot ni geste pour exprimer mes supplices. Elle a vécue en moi et a pris le dessus sur tout ce qui m'appartenait à savoir la totalité de mon corps, mon âme et aussi elle a contrôlée, occupée mes pensées. Je crus avoir une vie de délice mais le temps m'en a déclaré le reste de l'histoire si vite que je ne cesse de me demander si j'aurais le cœur à son état de nature un jour ou l'autre. Puisse le créateur me protège de ce funeste moment que me fasse endurer cette menace imaginaire subite.