Ça y est la Marseillaise retentie dans le stade. Les 23 joueuses brandissent l coupe, ça y est, elles ont leur 1ère étoile sur le maillot. C'est extraordinaire pour la 1ère fois de son histoire l'équipe de France féminine de football est championne du monde. Dans les tribunes c'est la liesse. Quel match héroïque elles ont fourni. Leurs adversaires, les Américaines "The Yanks" 4 fois championnes du monde ont été coriaces. Les tricolores menées 1-0 après la 15ème minutes, but de la talentueuse Alex Morgan se remette en question, Amandine Henry la capitaine demande a ses partenaires de serrer le jeu, d'être plus précises et surtout combattantes dans les duels. A la 36ème minute Sandrine Soubeirand lance en profondeur Eugénie le Sommeur, crochetant sur la droite et décochant un tir se logeant pleine lucarne. La gardienne de l'équipe Américaine est battue, c'est l'égalisation. La rigueur a payé. Les deux équipes font jeu égal jusqu'à la mi-temps. Dans le vestiaire le sélectionneur Corinne Diacre s'efforce de leur dire de maintenir la pression. Wendie Renard la libéro remonte ses coéquipières 《aller les filles, c'est notre jour de gloire, ça va passer, on y va les copines. Le match reprenant, cela devient de plus en plus dur, les Américaines tête de série n°1 sont rudes a manier et se procurent de nombreuses occasions de scorer mais tantôt la défense, tantôt la gardienne Sarah Bouhaddi fasant des arrêts miraculeux parviennent a éviter le pire. A la 81ème minute sur une contre contre-attaque sur l'aile droite d'Estelle Cascarino, celle-ci crochetta et fit une transversale vers Amel Majri qui centra sur Eugénie le Sommeur qui déviait de la tête vers le deuxième poteau arriva a toutes enjambées Wendie Renard qui repris ce ballon de volée le plaçant petit filet hors de portée de la gardienne Américaine. Et c'est le but, elles l'ont fait, il faut tenir maintenant jusqu'au coup de sifflet final.
Ça y est c'est fini, l'arbitre siffle les trois coup, elle sont Championnes du monde. Quel bonheur, elles s'embrassent en sautant, elles pleurent de joie, c'est l'apothéose.
Ça y est c'est fini, l'arbitre siffle les trois coup, elle sont Championnes du monde. Quel bonheur, elles s'embrassent en sautant, elles pleurent de joie, c'est l'apothéose.