Tout histoire commence un jour, quelque part et en ce moment j'essaie vainement de situer le point de depart de la mienne. Je regarde Luc ou plutôt le corps de ce dernier qui sr vide encore de ce sang depuis bientot cinq minutes. Comment en suis je arrivé là? Il y a deux mois j'étais encore un bon garçon, j'étais fauché certe mais j'étais un bon garçon.
Puis je dire que mon histoire s'est ce jour là, ce jour où Luc me présenta un moyen "facile" de s'enrichir...
Laissez moi bien vous mettre au parfum, un lundi matin assez sombre, je me remettais en boucle un vieux morceau que j'adore quand Luc viens s'affaler à côté de moi en tout en m'enlevant mes écouteurs des oreilles. "On va être riche, on va être riche" me répétait tout bas mon meilleur ami comme s'il avait peur que quelqu'un d'autre entende ces dires. "Mais comment?" Lui demandai-je, c'est alors qu'il sorti un petit sachet rempli d'une substance toute blanche. Ma première réaction fut de faire un bond en arrière car je savais ce que c'était... "Calme toi" me dit il tout en sortant de ses poches une liasse de billet. Je restai la bouche bée et tous mes problèmes d'argent me montèrent à la tête. Voyant que je reflichissais, il me dit " ça rapporte gros et c'est très simple à faire". Des besoins d'argent, huit amitié , un gros paquet d'argent, furent mes excuses pour devenir trafiquant de cocaïne et d'héroïne pour un certain Palacío, un mexicain.
On multipliait les ventes, les unes plus simples que les autres.Luc avait raison, la drogue rapportait gros et c'était simple à faire mais il oublia de me dire que c'était dur à vivre. Je vendais activement de la drogue depuis deux mois et j'ai pu épargner plus de deux milles dollars. Alors j'avertis Luc mon vieil ami que je comptais laisser tomber cette vie pour aller faire ma vie ailleurs. Sa réaction fut loin de ce que j'attendais, il me criait dessus, disait que je n'étais qu'un sale traître et avant même que je ne comprenne, il pointait un pistolet sur mon front...
Je savais que c'était compliqué de laisser ce secteur mais j'ignorais que deux mois de commerce illégale valait plus que huit ans d'amitié. Je me mis à genoux, suppliant à Luc de ne pas m'ôter la vie quand son téléphone sonna et donna ma seule possibilté de le désarmer...
Je tentai d'un mouvement brusque de lui enlever son arme quand un coup partit...
J'entendais resonner l'impact du projectile derrière mon dos. Luc effaré laissa tomber le pistolet, emporté par l'adrénaline, je bousculai mon vieil ami qui s'affessa alors je ramassai brusquement le pistolet que j'hesitai pas à pointer sur Luc qui se tenait au sol. Mes mains tremblotaient et je savais que je n'oserais pas tirer... "Palacío te tuera" me cracha Luc avec dédain. Je continuai à le pointer de mon arme tout en pensant à ce que Palacío nous répétait toujours "si quelqu'un essaie de te tuer et qu'il échoue, fais pas la même erreur que lui". Les larmes aux yeux je pressai deux fois la gachette pour ensuite voir s'écrouler Luc sur ce tapis se vidant d'un sang noirâtre. Je me laissai tomber sur le sol, mes larmes coulaient à flots et je m'efforçais de cesser de pleurer car j'avais un corps à faire disparaitre...
Tout histoire commence un jour quelque part, peut-être que la mienne commence il y a seulement deux mois ou peut-être il y a huit ans à cette fête où j'ai rencontré Luc. Elle aurait pu commencer le jour ou Palacío se lança dans le commerce de drogue ou même le jour de sa conception, j'ignore où mon histoire a commencé, mais je sais qu'elle est loin de prendre fin.
Puis je dire que mon histoire s'est ce jour là, ce jour où Luc me présenta un moyen "facile" de s'enrichir...
Laissez moi bien vous mettre au parfum, un lundi matin assez sombre, je me remettais en boucle un vieux morceau que j'adore quand Luc viens s'affaler à côté de moi en tout en m'enlevant mes écouteurs des oreilles. "On va être riche, on va être riche" me répétait tout bas mon meilleur ami comme s'il avait peur que quelqu'un d'autre entende ces dires. "Mais comment?" Lui demandai-je, c'est alors qu'il sorti un petit sachet rempli d'une substance toute blanche. Ma première réaction fut de faire un bond en arrière car je savais ce que c'était... "Calme toi" me dit il tout en sortant de ses poches une liasse de billet. Je restai la bouche bée et tous mes problèmes d'argent me montèrent à la tête. Voyant que je reflichissais, il me dit " ça rapporte gros et c'est très simple à faire". Des besoins d'argent, huit amitié , un gros paquet d'argent, furent mes excuses pour devenir trafiquant de cocaïne et d'héroïne pour un certain Palacío, un mexicain.
On multipliait les ventes, les unes plus simples que les autres.Luc avait raison, la drogue rapportait gros et c'était simple à faire mais il oublia de me dire que c'était dur à vivre. Je vendais activement de la drogue depuis deux mois et j'ai pu épargner plus de deux milles dollars. Alors j'avertis Luc mon vieil ami que je comptais laisser tomber cette vie pour aller faire ma vie ailleurs. Sa réaction fut loin de ce que j'attendais, il me criait dessus, disait que je n'étais qu'un sale traître et avant même que je ne comprenne, il pointait un pistolet sur mon front...
Je savais que c'était compliqué de laisser ce secteur mais j'ignorais que deux mois de commerce illégale valait plus que huit ans d'amitié. Je me mis à genoux, suppliant à Luc de ne pas m'ôter la vie quand son téléphone sonna et donna ma seule possibilté de le désarmer...
Je tentai d'un mouvement brusque de lui enlever son arme quand un coup partit...
J'entendais resonner l'impact du projectile derrière mon dos. Luc effaré laissa tomber le pistolet, emporté par l'adrénaline, je bousculai mon vieil ami qui s'affessa alors je ramassai brusquement le pistolet que j'hesitai pas à pointer sur Luc qui se tenait au sol. Mes mains tremblotaient et je savais que je n'oserais pas tirer... "Palacío te tuera" me cracha Luc avec dédain. Je continuai à le pointer de mon arme tout en pensant à ce que Palacío nous répétait toujours "si quelqu'un essaie de te tuer et qu'il échoue, fais pas la même erreur que lui". Les larmes aux yeux je pressai deux fois la gachette pour ensuite voir s'écrouler Luc sur ce tapis se vidant d'un sang noirâtre. Je me laissai tomber sur le sol, mes larmes coulaient à flots et je m'efforçais de cesser de pleurer car j'avais un corps à faire disparaitre...
Tout histoire commence un jour quelque part, peut-être que la mienne commence il y a seulement deux mois ou peut-être il y a huit ans à cette fête où j'ai rencontré Luc. Elle aurait pu commencer le jour ou Palacío se lança dans le commerce de drogue ou même le jour de sa conception, j'ignore où mon histoire a commencé, mais je sais qu'elle est loin de prendre fin.