Ça a duré une bonne minute, une vraie minute, une éternité que le huit novembre, jour qui te naquit !
Auparavant, le vent suprême providentiel souffla pour toi
Au ciel le Très-Haut donna sa permission
Voici, tu étais conçu
Quand, je l'ignore
Il vint par excellence un jour final
Celui où se perse la poche des eaux
Et après une coulée de sang
Les tissus blancs du lit du travail se tachera
C'est une fille au cheveux long qui soulage sa maman Un souffle est donné et une voix va l'actionner
Et un cris se fait entendre
C'est un chant de pleurs qui font penser aux jeunes nids d'oisillons
La sage femme avec ses mains nettoie les yeux
Et c'est un ton marron qui leur donnera éclat
On approche la nouvelle vie du coeur de sa maman
Quelle beauté, on contemple un ange ! Huit novembre !
Et toi ma tendre, belle pour moi
Sur ta face je veux écrire la joie en ton jour
Mon doigt désir essuyer ton émotion
Tu vois , ce que j'ai de plus chers
C'est que tu es ma chair
En clair, tu as pour me plaire une vérité
Toi et moi sommes une paire
Qu'aujourd'hui, mon amour, tu saches en ton jour
Ce jour pour lequel à toujours je loue le ciel
Je te donne en présent un nouveau coeur Pauvre et n'ayant rien d'autre que lui
Je te le donne fidèle, loyal, honnête, et pur
Que même le mercenaire du malheur sois
impuissant
Car pour cet anniversaire qui ouvre la voix à une nouvelle Page de ta vie
Je te sers en tant qu'esclave dans ta cage Et qu'à jamais le ciel s'ouvre pour toi !
Prospérité et bonheur, paix et joie ! Bonjour huit novembre, toi qui naquit ma reine !
Joyeux anniversaire mon amour !