BOYEYI BOLAMU NA KINSHASA! (Bienvenue à KINSHASA) l’annonce de cette communication réveillait MISHKAEL, touriste de nationalité russe précisément sexagénaire, ayant toujours rêvé de fouler le sol du pays de LUMUMBA, loin de la froideur infernale sibérique dans la senteur d’une chaleur caniculaire d’été, semblable à l’atmosphère régnant dans les plages marseillaises, c’était KINSHASA qui accueillait, elle, la belle, mais aussi la poubelle. Le russe animait à la fois d’étonnement et de joie intense, franchissait la zone d’immigration où déjà malgré la conformité de ses documents, des billets de dollars américains lui été demandés en guise d’offrande d’accueil; c’était KINSHASA il ne fallait pas paniquer. Dans cette ambiance à l’africaine constante et enivrante, MISHKAEL était abord d’un taxi jaune communément appelé KETCH par les habitants locaux, si cela représentait qu’une ressemblance, cette ville dans un cadre plus moderne serait simplement l’imposante NEW YORK, ville au gratte-ciel incomptable. Hélas comparaison n’est pas raison, il faisait déjà quinze heure, direction le centre-ville.
Il fallait y être mais le connaitre encore mieux...
Bienvenue à Kinshasa MUNDELE NA BISO!
Trois heures en perte ou en gain dans un embouteillage, le temps de joindre aéroport et centre-ville ; égalant le temps émis par les ROI MAGES à la recherche de la demeure du Fils de l'Homme, au Congo c’est la routine différemment du pays de POUTINE .Comme tout est unique dans un sens inique ;il n’y avait qu’ une seule voie routière débouchant dans le cœur de la ville ,voie sur laquelle vendeur, voleur, chauffeur associaient leurs particularités et animosités dans un ton africanement synchronique. Si les embouteillages ne finissaient pas, la curiosité du touriste augmentait circonstance qui le tirait de l'affreuse fatigue et de la chaleur congolaise. Le transporteur au volant, jaspinait intérieurement un plan malicieux l’extirpant de cette situation pernicieuse.
On n'avançait pas, puis qu’on se plaignait aussi car ceci était substantiellement un droit, le passager abord du taxi neworcongolais s’émerveillait à tout bout de champ en admirant la marée humaine dans son mouvement rythmé de va et vient, la verdure longeant paisiblement le chemin, pour cette occasion ne menait pas à ROME mais au centre de la plus grande ville francophone mondiale, la vie y était trois fois plus chère qu’ en EUROPE cette imagination relevait d’un motif de fierté ou peut être d’une plainte. Si on ne voulait en faire de trop, KINSHASA n’avait jamais eu de métros. Telle une contemplation continue la commune de LIMETE offrait à son hôte russe la radiosité de ses imposantes passerelles voûtées et encore plus de la fluidité du trafic, qui en ce lieu devenait plus ouvert qu'à l’entrée. Il se faisait déjà tard et KINSHASA ne s’endormait pas ; c’est avec stupeur qu’elle se réveillait dans son plein centre où se dirigeait ce russe voulant d’un plus dans l’expérience de ces nombreux voyages... Dix-huit heures sonnait devant l’imposant hôtel Memling le nouveau kinois-russe écoutant à travers ces cavités auditives une mélodie de lingala colorée au français et d’un anglais préfabriqué des nombreux clients de cet établissement hospitalier de grande renommée, où professionnalisme débute à la cuisine en s’arrêtant au service de réception et de permanence, poursuivant un escale sans escalade dans les bars au son de la RUMBA congolaise et de la musique urbaine où coulent à la fois bière, vin, liqueur et limonade à emporter en promenade...
Pour une telle tragédie, le chauffeur connaissant par expérience les poches de ces clients internationaux, se voyait être bénéficiaire d’un billet de cinquante dollars pour sa mission salvatrice russo-congolaise
MISHKAEL pouvait ainsi se reposer avec une vue aérienne et panoramique donnant sur le majestueux fleuve Congo, du cinquième étage oubliant embouteillage, imaginant un chantage car KINSHASA est par principe remarquable par ses femmes qui colorent sa beauté la teintant ainsi d’une sauvage cruauté!
Ce fut le début d’une aventure nouvelle dans une ville belle mais aussi poubelle, avant de reposer au tombeau ce russe vit le majestueux Congo et comprit que l’on ne baissait pas les bras à KINSHASA, comme credo il n’y avait que Ça.
Il fallait y être mais le connaitre encore mieux...
Bienvenue à Kinshasa MUNDELE NA BISO!
Trois heures en perte ou en gain dans un embouteillage, le temps de joindre aéroport et centre-ville ; égalant le temps émis par les ROI MAGES à la recherche de la demeure du Fils de l'Homme, au Congo c’est la routine différemment du pays de POUTINE .Comme tout est unique dans un sens inique ;il n’y avait qu’ une seule voie routière débouchant dans le cœur de la ville ,voie sur laquelle vendeur, voleur, chauffeur associaient leurs particularités et animosités dans un ton africanement synchronique. Si les embouteillages ne finissaient pas, la curiosité du touriste augmentait circonstance qui le tirait de l'affreuse fatigue et de la chaleur congolaise. Le transporteur au volant, jaspinait intérieurement un plan malicieux l’extirpant de cette situation pernicieuse.
On n'avançait pas, puis qu’on se plaignait aussi car ceci était substantiellement un droit, le passager abord du taxi neworcongolais s’émerveillait à tout bout de champ en admirant la marée humaine dans son mouvement rythmé de va et vient, la verdure longeant paisiblement le chemin, pour cette occasion ne menait pas à ROME mais au centre de la plus grande ville francophone mondiale, la vie y était trois fois plus chère qu’ en EUROPE cette imagination relevait d’un motif de fierté ou peut être d’une plainte. Si on ne voulait en faire de trop, KINSHASA n’avait jamais eu de métros. Telle une contemplation continue la commune de LIMETE offrait à son hôte russe la radiosité de ses imposantes passerelles voûtées et encore plus de la fluidité du trafic, qui en ce lieu devenait plus ouvert qu'à l’entrée. Il se faisait déjà tard et KINSHASA ne s’endormait pas ; c’est avec stupeur qu’elle se réveillait dans son plein centre où se dirigeait ce russe voulant d’un plus dans l’expérience de ces nombreux voyages... Dix-huit heures sonnait devant l’imposant hôtel Memling le nouveau kinois-russe écoutant à travers ces cavités auditives une mélodie de lingala colorée au français et d’un anglais préfabriqué des nombreux clients de cet établissement hospitalier de grande renommée, où professionnalisme débute à la cuisine en s’arrêtant au service de réception et de permanence, poursuivant un escale sans escalade dans les bars au son de la RUMBA congolaise et de la musique urbaine où coulent à la fois bière, vin, liqueur et limonade à emporter en promenade...
Pour une telle tragédie, le chauffeur connaissant par expérience les poches de ces clients internationaux, se voyait être bénéficiaire d’un billet de cinquante dollars pour sa mission salvatrice russo-congolaise
MISHKAEL pouvait ainsi se reposer avec une vue aérienne et panoramique donnant sur le majestueux fleuve Congo, du cinquième étage oubliant embouteillage, imaginant un chantage car KINSHASA est par principe remarquable par ses femmes qui colorent sa beauté la teintant ainsi d’une sauvage cruauté!
Ce fut le début d’une aventure nouvelle dans une ville belle mais aussi poubelle, avant de reposer au tombeau ce russe vit le majestueux Congo et comprit que l’on ne baissait pas les bras à KINSHASA, comme credo il n’y avait que Ça.