C'est l'histoire de Saul un jeune adolescent de 17 ans, qui est toujours en action.
Un jour le lycée organisa une course d'orientation dans les Alpes.
Vous serez par deux, expliqua leur professeur, appelée madame Ducros.
Saul se mit avec Léo son meilleur copain d'enfance, madame Ducros continua ses explications « vous aurez une boussole, une carte et un localisateur qui vous permettra de vous retrouver dans la montagne.
Vous aurez deux jours pour rejoindre l'arrivée, Bonne chance ».
Saul et Léo commencèrent à marcher. Ils marchèrent plusieurs kilomètres avant le crépuscule.
Ils virent un endroit abrité du vent et ils installèrent leur campement pour la nuit.
Le lendemain matin ils neigeaient très fort lorsqu'ils se réveillèrent.
Ils prirent leur petit déjeuné, plièrent le campement puis repartirent.
Ils prirent leur petit déjeuné, plièrent le campement puis repartirent.
Peu de temps après ils étaient essoufflés d'avancer dans la tempête de neige, lorsque Léon s'arrêta pour reprendre son souffle, Saul vérifia la carte. Difficile de s'orienter dans la tempête, et la boussole n'indiquait plus le nord. Ils reprirent leur marche de plus belle.
Ils se rendirent à l'évidence : ils étaient perdus.
Ils trouvèrent un rocher, ils se réfugièrent derrière pour se protéger de la tempête.
Ils attendirent longtemps puis Léon remarqua qu'ils avaient oublié son localisateur à l'endroit où ils avaient campé.
Ils eurent une idée, ils allaient suivre leurs traces pour retourner au lieu du campement avant qu'elles ne s'effacent. Ils n'attendirent pas une minute de plus et repartir en sens inverse.
Arrivés où ils avaient passé la nuit, ils récupérèrent le localisateur et reprirent leur itinéraire.
Quelques kilomètres plus loin, ils décidèrent de stopper pour la nuit.
Ils mangèrent et se couchèrent tôt. Le lendemain matin ils se réveillèrent aux aurores et se mirent en route rapidement. Ils vérifièrent la carte, puis se mirent à courir pour rattraper le temps perdu la veille.
Pendant la pause casse-croute, ils observèrent un aigle voler dans les airs, utilisant les courants chauds.
Ils arrivèrent à l'Arrivé et furent reçus par madame Ducros « Bravo vous êtes les deuxièmes arrivés, Vous avez fait bonne route ? », leur dit-elle.
Ils échangèrent un regard complice, « oui, oui ! » répondirent-ils.