Toute histoire commence un jour, quelque part... Assis près de la vitrine de son appartement situé au troisième niveau qui faisait face à l’ouest, il observait les ruelles mortes de la ville marquées par un silence qui était seulement interrompu par un léger sifflement du vent d’hiver. On aurait dit une ville morte au sens africain. Ce soir-là, il « pleuvait de la neige ». Il n’avait jamais eu l’occasion d’assister à un tel évènement auparavant mais cela ne l’émerveillait pas pour autant. Sa pensée était rivée ailleurs, loin de ce pays polaire, marqué par des hivers rudes. Le paysage blanchâtre et monotone ne captivait pas son attention car il avait la phobie de la neige. Cela faisait trois mois que Marc avait quitté son pays d’origine la Côte d’ivoire pour poursuivre ses études au Canada. La nostalgie avait envahi son être et son enthousiasme s'éclipsait au profit des beaux souvenirs du passé. Sa famille lui manquait mais aussi ses amis. Au milieu de ses souvenirs douloureux, une image captiva son attention : celle de Céline. Cette fille, il l’aimait et la distance n’avait en aucun cas ébranlé son amour pour elle. Céline était la bienaimée de Marc et la séparation fut un choix difficile mais un devoir pour lui. Marc avait en effet, obtenu une bourse d’étude extérieure pour poursuivre ses études au Canada. Il n’avait donc pas le choix de rester près de Céline. Refuser la bourse l’aurait remonté contre toute sa famille surtout son père qui voyait en lui, un futur grand cadre. Cette nuit, Marc la passa près de la fenêtre perchée au troisième niveau à penser aux souvenirs d’un pays lointain. Le lendemain tout semblait normal et la vie repris son cours. Marc savait que, S’il voulait revoir sa famille et Céline il devrait travailler dur. Les années s’écoulaient et Marc réussit tous ses examens avec succès. Son dynamisme et ses résultats aux différents examens avaient révélé sa détermination et son potentiel au grand public. Il obtenait des mentions honorables à chaque examen. Son diplôme d’ingénieur en poche, au lieu de retourner au pays, il fut immédiatement embauché par une entreprise Canadienne. Marc avait désormais un travail bien rémunéré. Il décida de prendre les vacances. Sa destination n était rien d’autre que son pays la Côte d’ivoire. Après des années, resté au Canada à étudier, beaucoup de choses avaient changé. Ces vacances furent brèves mais très animées. Il était loin de s’imaginer que sa vie aurait changé à jamais. Lors de son séjour, il retrouva Céline son ex-dulcinée. Tant d’années passées sans avoir de ses nouvelles avait fait de Marc un sceptique qui tentait de paraitre optimiste face la situation avec Céline. Le temps n’avait pas pu marquer ses empreintes sur cette beauté et l’étincelle incandescente victime de la distance et du temps qui représentait l’amour qu’il ressentait pour Céline n’eut aucun effort à devenir une flamme vive. Il l’aimait toujours. Cependant, il se posait plusieurs questions : Après toutes ces années passées n’est-elle pas désormais mariée ? Si ce n’était pas le cas, m’aime-t-elle toujours ? Pourrait-elle me pardonner après toutes ces années passées sans un effort de ma part d’essayer de la joindre ? Au milieu de ces doutes une chose était sûre, il l’aimait toujours. Il décida de lui parler en aparté. Elle accepta l’invitation après un moment d’hésitation. Ce soir-là il répéta des centaines de fois ce qu’il voulait lui dire. Il cherchait une formule parfaite pour se faire pardonner. Pendant ce temps de l’autre côté de la rue, Céline aussi avait sa petite idée en tête. Elle voulait tout mettre en œuvre pour que Marc soit son homme à jamais quel que soit le prix à payer. Elle voyait en lui l’homme idéal pour fonder une famille. Il était riche, beau et n’était pas marié. Il y avait cependant un problème, Dinero qui était désormais son petit ami depuis le départ de Marc. Elle prit la résolution de l’ignorer. Après avoir passé une excellente soirée qui était quelque peu interrompue par des moments de silence, Marc n’eut aucune difficulté à reconquérir Céline sa dulcinée qui ne pouvait rester indifférente face sa réussite professionnelle. Marc a passé la majeure partie de ses vacances auprès d’elle sans se douter de quoi que ce soit en ce qui concerne les desseins de Céline. Après quelque temps passé auprès des siens et la chaleureuse compagnie d’un amour retrouvé il était temps pour Marc de reprendre le chemin du Canada. Il voulait rester davantage pour profiter mais une fois de plus le devoir l'en empêchait. Il dut une fois de plus quitter sa dulcinée mais cette fois-ci en lui promettant qu’il reviendra la chercher. Elle n’était pas rassurée malgré l’insistance de Marc sur son retour de revenir la chercher. De retour au Canada, la vie repris son cours et Marc son train-train habituel jusqu’ au petit matin de printemps. Pendant qu’il prenait son petit déjeuner son téléphone sonna. Ce numéro l’avait appelé souvent depuis son retour au Canada. C’était celui de Céline qui, après le temps passé avec elle pendant sa villégiature lors de ses vacances passées s’était vue dans l’impossibilité de l’oublier. Elle lui annonça qu’elle était enceinte de lui. Marc accepta la grossesse et réussit par le biais de son ami d’enfance Eric à réunir tous les documents qui allaient permettre à Céline de le rejoindre au Canada. Elle finit par le rejoindre au Canada et ils ont célébré leur mariage par la suite. Leur vie était heureuse et épanouie avec leur fils Jacques qui avait grandi maintenant. Cependant, un évènement allait changer leur routine et affecter le bonheur de la famille. Monsieur Marc devait retourner chez lui au pays. Fort de son expérience et de son dynamisme au sein de l’entreprise, il avait été sollicité pour un poste de DG dans une entreprise située dans sa commune natale qui devrait inaugurer ses activités. Offre qu’il accepta sans hésitation. Céline a contesté et supplia son époux de rester mais celui-ci refusa. De retour au pays,la nouvelle maison de la famille était située près du cours d’eau qui limitait l’essor de la commune vers l’ouest. C’était une villa qui dominait le paysage agraire des environs. Cela faisait 16 ans qu’ils menaient une vie de couple heureuse. Le retour au pays fut le début de turbulences de leur couple. Leur fils traversait une crise d’adolescence et commença à avoir de mauvaises fréquentations dans sa nouvelle l’école. Il obtenait de mauvaises notes en classe et ses parents faisant l’objet de critique. « Cet enfant est trop gâté par ses parents» disait-on le plus souvent. Son père inquiet et soucieux des agissements de son fils qui lui menait droit à un avenir sombre décida d’agir. Ses méthodes n’étaient pas appréciées par sa femme qui, elle jugeait qu’il fallait laisser l’enfant s’amuser un peu et qu’avec le temps tout s’arrange. Le père ne partageait pas cette conception simpliste de la vie. Punition, interdiction de sortir, plus d’argent de poche et souvent des flagellations lui étaient faites par son père. La tension était très tendue car d’un côté un père qui faisait tout pour aider son fils à retrouver le bon chemin et de l’autre côté une mère aveuglée par l’amour qu’elle a pour son enfant pense qu’on doit laisser l’enfant faire ce qu’il veut. Elle ne voulait pas voir son fils en larme. Les disputes venaient tous les soirs interrompre le silence des repas. Un jour ,Pendant que tout semblait normal et la vie poursuivant son cours, toute une vie bascula. Marc était parti au boulot comme d’habitude laissant à la maison son fils unique et sa femme. Jacques fatigué des restrictions de son père, et avec la complicité de sa maman décida d’enfreindre les règles fixées par son père qui lui interdisaient de sortir se balader avec des amis dont le père lui avait interdit la fréquentation. A sa descente du travail, Marc remarqua l’absence de son fils.Il fut pris de colère. Céline tentât de le raisonner mais elle fut mise en garde. Marc était un homme généreux et docile. Il était apprécié de tous, même ses employés le vouaient un respect absolu au travail. Cependant, quand cela concernait l’éducation de son fils, il n’était plus la même personne. Il répétait toujours ce proverbe chinois à Céline « si tu aimes ton, fils corrige-le ; si tu ne l’aimes pas, donne lui des friandises ». Marc guettait au salon le retour de cet enfant prodigue, inconsciencieux qui agissait sous la couverture de ses parents. Lorsqu’ il revint, il trouva son père au salon qui l’attendait maitenant depuis deux heures. Il n’avait rien à craindre car il comptait sur la protection de sa mère. Malheureusement son père était réfractaire à toute explication venant de Céline. Lorsqu’ il fut entré au salon, immédiatement une dispute éclata entre lui et son père. Furieuse de la réaction de son époux, Céline s’interposa entre l’homme et son fils. Raccompagnant son fils à sa chambre et laissant derrière elle un homme frénétique. Le forcené cria : « c’est mon fils et il est sous ma responsabilité » Elle rétorqua en disant : « j’en ai assez, d’ailleurs CE N EST MÊME PAS TON ENFANT » Cette phrase lui transperça le cœur et la blessure était fatale. Comment est-ce possible ? A-t-il dit avec un ton bas. Elle répondit : j’ai tout inventé pour pourvoir te rejoindre au Canada. Ma situation était désespérée et sans issue à l’exception de toi. Suite à cette réponse, Marc prit son manteau et sortit de la maison. Il ne savait pas où aller dans cette commune rurale pour noyer son chagrin mais il ne voulait pas non plus rester une seconde de plus dans cette atmosphère. Il prit sa voiture et partit. Il finit par stationner près d’un lieu calme situé en périphérie de la commune à quelque lieue de chez lui prêt de la forêt qui bordait la commune.
Qui est le père biologique de cet enfant ? Qu ai-je fais pour mériter ce destin ? Soudain, tout s éclairci dans son esprit. Ce fameux jeune homme qui était venu rendre visite à Céline juste après leur installation sous prétexte qu’il cherchait du travail était en effet le père biologique de Jacquess. Etrangement il ressemblait à jacques. Comment ai-je pu être aveugle à ce point se dit-il ? Il décida de ne plus remettre les pieds à la maison car un monstre sans cœur y vivait « sa femme ». Ce fut en réalité le début d’une manie. Il avait perdu la raison et monologuait dans sa voiture. De son côté Céline s’enferma dans la chambre conjugale. Elle pleurait et avait beaucoup de regrets pour tout le tort qu’elle avait causé. Son égoïsme, sa vanité et sa quête immodérée de biens matériels l’avaient aveuglée et les conséquences de ses actes la rattrapaient en chemin. Pourquoi ai-je fait cela seigneur ? se demandait-elle.Cet homme ne méritait pas ça. Il m’a tout donné et moi j’ai tout prit sans jamais penser à son bonheur. Les souvenirs du passé se mirent à défiler devant elle la rappelant ce qui s’était passé jadis il y a 16 ans lorsque Marc était revenu des vacances. Ils avaient passé des soirées ensemble. Lui était sincère dans ses dires mais, elle tout ce qu’elle voulait c’était sortir de sa galère. la grossesse etait en effet l oeuvre un voyou appelé qui se faisait appeler Dinero.
Après que monsieur Marc ait quitté son domicile suite à la révélation de vérité sur la paternité de Jacques, la nouvelle se propageât comme une trainée de poudre car leur fils demanda à sa mere puis allât découvrir son père biologique qui l’accueillit avec joie et clama haut et fort que c’était son fils à lui. Il disait que Céline lui avait privé de son fils et d’assumer son rôle de père en fuyant avec la grossesse pour rejoindre Marc au Canada. Tout le monde fut sur le choc. La ressemblance y était et ne pouvait en aucun cas discréditer les dires de Dinero. Marc, eut vent de tout ça lorsque des passants virent sa voiture. Ils étaient loin de s’imaginer qu’il était à l’intérieur car toutes les vitres teintées étaient montées à l’exception de celle qui était à droite du volant faisant face la brousse. Elle était à moitié montée et permettait à Marc de respirer. Les passants s écriaient : « n’est-ce pas le DG Marc qui prétend être le père de Jacques? Ah... les riches, ils pensent que l’argent peut tout acheter, même les enfants. Je pense que Dinero bien que pauvre a aussi le droit de réclamer son fils.. D’ailleurs nous devons le soutenir ».
La déchéance morale qui mène à la mort .Cela faisait maintenant une semaine qu’il avait quitté sa maison. Il n’avait pris aucune douche et ne s’était pas nourri. Il passait toutes ses journées dans sa voiture tout sentiment et désir de vivre avaient fait place à un seul sentiment: le désespoir. Seule la flamme du désespoir illuminait son âme. La situation fut brève pour lui. Le goût de la vie s’était envolé pour lui à partir du moment où sa femme lui avait dit « ce n’est même pas ton enfant » Le désir de vivre étant absent, les battements de son cœur furent place au silence éternel et la mort s’en suivit. M. Marc était mort. La cause de cette mort, conclut le médecin chargé de son autopsie était due à un choc émotionnel qui avait paralysé le corps de M. Marc et forcé à un arrêt cardiaque. Après sa mort, à la maison, l’atmosphère était maussade et la tristesse se lisait sur les visages. La vérité éclata au grand jour, Céline s’était confessée. Malheureusement Marc ne vécut pas assez longtemps pour voir son nom lavé des préjudices fondés sur le fait qu’il était impuissant et qu’il avait commandité cette grossesse avec sa femme pour masquer sa stérilité. Le monde avait découvert le vrai visage de cette femme qui vivait sous le voile d’une personne innocente. Marc était une victime de ses agissements et désormais couché sous la terre. Après les funérailles de son époux, elle fut convoquée et jugée par le conseil traditionnel. Le verdict tomba illico et elle fut bannie de sa famille. Jacques rejoignit la famille paternelle de son père « adoptif » qui a d’ailleurs bénéficié des biens de la famille Jacques étant trop jeune pour la gestion. Suite à la sentence, Céline ne put faire son deuil, elle dut quitter la commune sans destination précise à la quête d’une rédemption. Dinero, lui fut accusé de diffamation contre la personne de Marc.
Qui est le père biologique de cet enfant ? Qu ai-je fais pour mériter ce destin ? Soudain, tout s éclairci dans son esprit. Ce fameux jeune homme qui était venu rendre visite à Céline juste après leur installation sous prétexte qu’il cherchait du travail était en effet le père biologique de Jacquess. Etrangement il ressemblait à jacques. Comment ai-je pu être aveugle à ce point se dit-il ? Il décida de ne plus remettre les pieds à la maison car un monstre sans cœur y vivait « sa femme ». Ce fut en réalité le début d’une manie. Il avait perdu la raison et monologuait dans sa voiture. De son côté Céline s’enferma dans la chambre conjugale. Elle pleurait et avait beaucoup de regrets pour tout le tort qu’elle avait causé. Son égoïsme, sa vanité et sa quête immodérée de biens matériels l’avaient aveuglée et les conséquences de ses actes la rattrapaient en chemin. Pourquoi ai-je fait cela seigneur ? se demandait-elle.Cet homme ne méritait pas ça. Il m’a tout donné et moi j’ai tout prit sans jamais penser à son bonheur. Les souvenirs du passé se mirent à défiler devant elle la rappelant ce qui s’était passé jadis il y a 16 ans lorsque Marc était revenu des vacances. Ils avaient passé des soirées ensemble. Lui était sincère dans ses dires mais, elle tout ce qu’elle voulait c’était sortir de sa galère. la grossesse etait en effet l oeuvre un voyou appelé qui se faisait appeler Dinero.
Après que monsieur Marc ait quitté son domicile suite à la révélation de vérité sur la paternité de Jacques, la nouvelle se propageât comme une trainée de poudre car leur fils demanda à sa mere puis allât découvrir son père biologique qui l’accueillit avec joie et clama haut et fort que c’était son fils à lui. Il disait que Céline lui avait privé de son fils et d’assumer son rôle de père en fuyant avec la grossesse pour rejoindre Marc au Canada. Tout le monde fut sur le choc. La ressemblance y était et ne pouvait en aucun cas discréditer les dires de Dinero. Marc, eut vent de tout ça lorsque des passants virent sa voiture. Ils étaient loin de s’imaginer qu’il était à l’intérieur car toutes les vitres teintées étaient montées à l’exception de celle qui était à droite du volant faisant face la brousse. Elle était à moitié montée et permettait à Marc de respirer. Les passants s écriaient : « n’est-ce pas le DG Marc qui prétend être le père de Jacques? Ah... les riches, ils pensent que l’argent peut tout acheter, même les enfants. Je pense que Dinero bien que pauvre a aussi le droit de réclamer son fils.. D’ailleurs nous devons le soutenir ».
La déchéance morale qui mène à la mort .Cela faisait maintenant une semaine qu’il avait quitté sa maison. Il n’avait pris aucune douche et ne s’était pas nourri. Il passait toutes ses journées dans sa voiture tout sentiment et désir de vivre avaient fait place à un seul sentiment: le désespoir. Seule la flamme du désespoir illuminait son âme. La situation fut brève pour lui. Le goût de la vie s’était envolé pour lui à partir du moment où sa femme lui avait dit « ce n’est même pas ton enfant » Le désir de vivre étant absent, les battements de son cœur furent place au silence éternel et la mort s’en suivit. M. Marc était mort. La cause de cette mort, conclut le médecin chargé de son autopsie était due à un choc émotionnel qui avait paralysé le corps de M. Marc et forcé à un arrêt cardiaque. Après sa mort, à la maison, l’atmosphère était maussade et la tristesse se lisait sur les visages. La vérité éclata au grand jour, Céline s’était confessée. Malheureusement Marc ne vécut pas assez longtemps pour voir son nom lavé des préjudices fondés sur le fait qu’il était impuissant et qu’il avait commandité cette grossesse avec sa femme pour masquer sa stérilité. Le monde avait découvert le vrai visage de cette femme qui vivait sous le voile d’une personne innocente. Marc était une victime de ses agissements et désormais couché sous la terre. Après les funérailles de son époux, elle fut convoquée et jugée par le conseil traditionnel. Le verdict tomba illico et elle fut bannie de sa famille. Jacques rejoignit la famille paternelle de son père « adoptif » qui a d’ailleurs bénéficié des biens de la famille Jacques étant trop jeune pour la gestion. Suite à la sentence, Céline ne put faire son deuil, elle dut quitter la commune sans destination précise à la quête d’une rédemption. Dinero, lui fut accusé de diffamation contre la personne de Marc.