_Maître ? Vous plaisantez ? Vous pouvez me cogner, comme l'on fait tous les autres mais je ne vous appellerai pas Maître.
Droit dans les yeux, le regard vif et le sourire narquois, c'est ainsi que répondit Mina à l'un de ses bourreaux.
Face à ces racailles, elle gardait toujours sa dignité. Avec un sens de malignité dans le regard, elle semblait amusée par la situation qui aurait entrainer plus d'une dans les vapes.
_Cela t'amuse ? Petite sotte ! Ton borné de père ferait mieux de renoncer aux prochaines élections municipales sinon, même six pieds sous terre, il ne retrouvera pas. Nous sommes le Cartel le plus dangereux de la ville.
Cette fois c'est avec plus vivacité et d'audace que rétorqua Mina :
_Vous voulez que je vous appelle maître mais vous vous comportez comme un véritable lâche. Le titre de maître s'acquiert par des valeurs et surtout par le travail. Il ne se réclame pas, on le donne à qui le mérite.
Affrontez mon père loyalement et dignement aux élections et si vous remportez, ma famille et moi vous appellerons maître.
_ Faîtes la taire ! Elle me casse les oreilles avec ses sermons, cette gamine gâtée de famille riche. Elle est aussi entêtée que son père...
Aussitôt, l'un des bandits dans le coin de la pièce à moitié éclairée, s'avança avec une corde à la main. Fixant la jeune fille avec une lueur dans les yeux, il s'apprêtait à la lui passer autour du cou.
_ Eh stop ! Que fais-tu toi ?
Lui cria celui qui semblait être le chef du Cartel, celui qui avait exigé à Mina de l'appeler "Maître".
_ Je veux la faire taire une bonne fois pour toute, comme vous l'avez ordonné !
Le chef, s'approcha de lui et le tenant par les colles :
_ Espèce d'abruti ! Tu as plus d'audace que cette gamine ? Regarde moi droit dans les yeux ! Un gaillard comme toi est un faiblard. Elle me regarde droit dans les yeux elle mais toi tu es incapable de le faire !
Si tu oses toucher à un seule de ses cheveux, je te raie de la carte moi-même.
_ Un maître, il traite les autres avec respect et considération car son titre de maître il le tien des autres, aussi petits ou inférieurs soient-ils. Ce mot n'a de sens que grâce à ceux qui vous le confèrent. Sans les autres vous ne pouvez avoir cette importance que vous avez !
Lança Mina toujours avec ce ton intrépide.
Les deux hommes se retournèrent vers elle et lui lancèrent un regard plein de stupéfaction, comme si c'était la première fois qu'ils l'entendaient parler. Le troisième bandit dans la salle pointa la lumière de la torche dans les yeux de la jeune fille, ce qui l'éblouie fortement. Cependant, malgré cette tentative d'intimidation, elle ne ferma pas les yeux mais regarda l'un après l'autre, droit dans les yeux, chacune des personnes présentes dans la pièce toujours ce sourire narquois aux lèvres. Cela semblait déstabiliser ses kidnappeurs.
Mais le chef, l'air grave, saisit sa tête comme pour la forcer à regarder le sol et croyant triompher s'apprêtait une fois de plus à proférer des menaces quand, Mina le fixa droit dans les yeux plus déterminée que jamais. Comme s'avouant vaincu il dit :
_ J'aime ton hardiesse toi ! Et je pense que c'est cette hardiesse qui te maintiendra encore en vie.
_ Devant des lâches comme vous, il faut savoir toujours raison garder !
Le sourire aux lèvres le chef ordonna de nouveau de la faire taire.
_ J'espère que cette fois, tu as bien compris mon gaillard !
Droit dans les yeux, le regard vif et le sourire narquois, c'est ainsi que répondit Mina à l'un de ses bourreaux.
Face à ces racailles, elle gardait toujours sa dignité. Avec un sens de malignité dans le regard, elle semblait amusée par la situation qui aurait entrainer plus d'une dans les vapes.
_Cela t'amuse ? Petite sotte ! Ton borné de père ferait mieux de renoncer aux prochaines élections municipales sinon, même six pieds sous terre, il ne retrouvera pas. Nous sommes le Cartel le plus dangereux de la ville.
Cette fois c'est avec plus vivacité et d'audace que rétorqua Mina :
_Vous voulez que je vous appelle maître mais vous vous comportez comme un véritable lâche. Le titre de maître s'acquiert par des valeurs et surtout par le travail. Il ne se réclame pas, on le donne à qui le mérite.
Affrontez mon père loyalement et dignement aux élections et si vous remportez, ma famille et moi vous appellerons maître.
_ Faîtes la taire ! Elle me casse les oreilles avec ses sermons, cette gamine gâtée de famille riche. Elle est aussi entêtée que son père...
Aussitôt, l'un des bandits dans le coin de la pièce à moitié éclairée, s'avança avec une corde à la main. Fixant la jeune fille avec une lueur dans les yeux, il s'apprêtait à la lui passer autour du cou.
_ Eh stop ! Que fais-tu toi ?
Lui cria celui qui semblait être le chef du Cartel, celui qui avait exigé à Mina de l'appeler "Maître".
_ Je veux la faire taire une bonne fois pour toute, comme vous l'avez ordonné !
Le chef, s'approcha de lui et le tenant par les colles :
_ Espèce d'abruti ! Tu as plus d'audace que cette gamine ? Regarde moi droit dans les yeux ! Un gaillard comme toi est un faiblard. Elle me regarde droit dans les yeux elle mais toi tu es incapable de le faire !
Si tu oses toucher à un seule de ses cheveux, je te raie de la carte moi-même.
_ Un maître, il traite les autres avec respect et considération car son titre de maître il le tien des autres, aussi petits ou inférieurs soient-ils. Ce mot n'a de sens que grâce à ceux qui vous le confèrent. Sans les autres vous ne pouvez avoir cette importance que vous avez !
Lança Mina toujours avec ce ton intrépide.
Les deux hommes se retournèrent vers elle et lui lancèrent un regard plein de stupéfaction, comme si c'était la première fois qu'ils l'entendaient parler. Le troisième bandit dans la salle pointa la lumière de la torche dans les yeux de la jeune fille, ce qui l'éblouie fortement. Cependant, malgré cette tentative d'intimidation, elle ne ferma pas les yeux mais regarda l'un après l'autre, droit dans les yeux, chacune des personnes présentes dans la pièce toujours ce sourire narquois aux lèvres. Cela semblait déstabiliser ses kidnappeurs.
Mais le chef, l'air grave, saisit sa tête comme pour la forcer à regarder le sol et croyant triompher s'apprêtait une fois de plus à proférer des menaces quand, Mina le fixa droit dans les yeux plus déterminée que jamais. Comme s'avouant vaincu il dit :
_ J'aime ton hardiesse toi ! Et je pense que c'est cette hardiesse qui te maintiendra encore en vie.
_ Devant des lâches comme vous, il faut savoir toujours raison garder !
Le sourire aux lèvres le chef ordonna de nouveau de la faire taire.
_ J'espère que cette fois, tu as bien compris mon gaillard !