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Quand il n’était qu’un tout petit garçon, autrefois, chez ses braves gens de père et mère, c’était le meilleur moment de la journée.
Le dîner était fini ; la maman, après avoir donné un
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Avis aux amateurs de la gaîté française
Le printemps fait neiger, dans le Père-Lachaise,
Les fleurs des marronniers sur les arbres muets,
Et la fosse commune est pleine de bleuets ;
Le
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C’était un tout petit épicier de Montrouge,
Et sa boutique sombre, aux volets peints en rouge,
Exhalait une odeur fade sur le trottoir.
On le voyait debout derrière son comptoir,
En tablie
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À madame Judith Mendès.
À la fin de juillet les villages sont vides.
Depuis longtemps déjà des nuages livides,
Menaçant d’un prochain orage à l’occident,
Conseillaient la récolte au
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ON va voter. Paisible assembleur d’hémistiches,
Je reste froid. Mais j’ai l’horreur de ces affiches
Aux tons crus et de leurs grotesques boniments.
Malgré moi, je les lis sur tous les
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Je pris le bateau-mouche au bas du Pont-Royal ;
Et sur un banc devant le public trivial ;
– O naïve impudeur ! ô candide indécence ! –
Je vis un ouvrier avec sa
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Mes parents n'étaient pas assez riches pour avoir une servante. Certes non, les pauvres gens ! et je me souviens même qu'elles duraient très longtemps, les redingotes à collet de velours de mon ... [+]
À Madame Eugénie Doche.
C’est l’aurore et c’est l’avril,
Lui dit-il,
Viens, la rosée étincelle.
– Le vallon est embaumé :
Viens, c’est mai
Et c’est l’aube, lui dit-elle
Et dans le
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