Ma voisine, je l'aime.
Elle est petite et pâle
Elle a le murmure doux des espaces oubliés
Elle a vu tant de
... [+]
Un matin...
il y a
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En compétition
Instants délicats, tout velours sur l'aube attendrie...
Le duvet d'un coquelicot s'affame de rosée
Et l'hirondelle sage crayonne un peu le ciel.
Je m'échappe des murs pour suivre son envol.
Le début du jour, c'est mon envie-porcelaine
À casser l'habitude et défroisser l'ennui...
Tout a l'air si fragile et pourtant tout se tient.
La nuit ne peut s'éteindre,
Le soleil ne la trahit pas.
Il la cerne d'un geste de lumière.
Il est sur le creux des doutes,
Il lève parfois les vertiges et promet l'impossible...
Je le sens sur ma peau à l'éveil des pensées,
Je frôle la magie des rêves prolongés
Et sucre mon café d'une pause – douceur...
C'est un moment de l'âme où croire est si joli !
Sur les yeux mal ouverts, je sais par cœur la déraison,
Celle qui réveille les éclats de rire
Et donne au silence sa force d'amour...
Il est inutile de battre les montagnes
Ou de décrocher la lune.
La simplicité des choses s'entrouvre.
Tu chantes et je t'écoute.
Des cerises à l'oreille et une fraise-baiser,
Je donne à ma mémoire l'ombre d'un souvenir.
Je range la colère et les peurs de demain
Sur les fleurs mal coiffées, dans le vent insolent,
Sous mon chapeau de paille...
Les rires dansent sous le dédain du temps.
On joue à Peter Pan dans les miroirs des rêves
Et on vole les heures pour être des enfants !
J'existe de toi, loin des tunnels trop noirs
Et des cris contenus... comme si le monde pouvait se taire
Et s'offrir des répits d'amour jusqu'à longtemps.
Le café fume encore, le silence s'obscurcit.
Les bruits qui se déposent sur le petit matin,
Tornadent alors le calme d'une terre adoucie
Par l'envie de vivre jusqu'à être assoiffé.
La journée sera bonne et tu m'aimeras encore
Sous l'azur étonné,
Des cerises à l'oreille et une fraise-baiser !
Le duvet d'un coquelicot s'affame de rosée
Et l'hirondelle sage crayonne un peu le ciel.
Je m'échappe des murs pour suivre son envol.
Le début du jour, c'est mon envie-porcelaine
À casser l'habitude et défroisser l'ennui...
Tout a l'air si fragile et pourtant tout se tient.
La nuit ne peut s'éteindre,
Le soleil ne la trahit pas.
Il la cerne d'un geste de lumière.
Il est sur le creux des doutes,
Il lève parfois les vertiges et promet l'impossible...
Je le sens sur ma peau à l'éveil des pensées,
Je frôle la magie des rêves prolongés
Et sucre mon café d'une pause – douceur...
C'est un moment de l'âme où croire est si joli !
Sur les yeux mal ouverts, je sais par cœur la déraison,
Celle qui réveille les éclats de rire
Et donne au silence sa force d'amour...
Il est inutile de battre les montagnes
Ou de décrocher la lune.
La simplicité des choses s'entrouvre.
Tu chantes et je t'écoute.
Des cerises à l'oreille et une fraise-baiser,
Je donne à ma mémoire l'ombre d'un souvenir.
Je range la colère et les peurs de demain
Sur les fleurs mal coiffées, dans le vent insolent,
Sous mon chapeau de paille...
Les rires dansent sous le dédain du temps.
On joue à Peter Pan dans les miroirs des rêves
Et on vole les heures pour être des enfants !
J'existe de toi, loin des tunnels trop noirs
Et des cris contenus... comme si le monde pouvait se taire
Et s'offrir des répits d'amour jusqu'à longtemps.
Le café fume encore, le silence s'obscurcit.
Les bruits qui se déposent sur le petit matin,
Tornadent alors le calme d'une terre adoucie
Par l'envie de vivre jusqu'à être assoiffé.
La journée sera bonne et tu m'aimeras encore
Sous l'azur étonné,
Des cerises à l'oreille et une fraise-baiser !
Bonne chance pour le concours.
Et l'hirondelle sage crayonne un peu le ciel." vraiment beau.