Lorsque j’aurai la possibilité de tenir serrées les rênes de mon combat,
alors je pourrai dire :
« Regardez-moi, je marche ».
La lune m’éclairera dans son sillage,
je m’envolerai dans l’Univers galactique,
je serai libérée de ce fardeau qui me désagrégeait.
Je donnerai à l’homme toute sa dimension,
je clamerai au monde toute ma différence,
je serai le rejet d’un Monde absolu,
j’agrandirai les trouées de l’inconnu,
je remanierai la lumière du soleil.
J’agrandirai les soupirs du Monde pour que l’Eternel entende.