Je sais
À travers les façades ternes
Aux volets mi-clos
Entre les briques rouges se fissure
Le ciment des âmes
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Hors-sol
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Vivre l’instant galop
Envol d’une crinière
De la terre des sabots
Délivré de ses fers
Libéré de ses maux
La nudité du verbe
S’habille dans un poème
Où soufflent les chevaux
Vaguer au fil de l’eau
Ivresse de lumière
Immensité des flots
Dégagé de ses chaînes
Allégé de fardeau
La solitude de l’être
Se construit en cale sèche
Où s’enrhument les bateaux
Survoler les îlots
Dans un bleu de prière
Au-dessus des cargos
Écarté des nuages
Baigné de sirocco
La pureté de l’âme
Se nourrit de la chair
Que griffent les oiseaux
Sombrero des merveilles
Beauté du firmament
Au moment de l’élan
Dans l’éternel sommeil
Le bal en fin de jour
Continue dans la nuit
En vol de poésie
À célébrer le beau
Envol d’une crinière
De la terre des sabots
Délivré de ses fers
Libéré de ses maux
La nudité du verbe
S’habille dans un poème
Où soufflent les chevaux
Vaguer au fil de l’eau
Ivresse de lumière
Immensité des flots
Dégagé de ses chaînes
Allégé de fardeau
La solitude de l’être
Se construit en cale sèche
Où s’enrhument les bateaux
Survoler les îlots
Dans un bleu de prière
Au-dessus des cargos
Écarté des nuages
Baigné de sirocco
La pureté de l’âme
Se nourrit de la chair
Que griffent les oiseaux
Sombrero des merveilles
Beauté du firmament
Au moment de l’élan
Dans l’éternel sommeil
Le bal en fin de jour
Continue dans la nuit
En vol de poésie
À célébrer le beau
Se construit en cale sèche
Où s’enrhument les bateaux"
Que cela est bien dit. Tout en rondeur. Et le reste est du même acabit ! Le beau sera toujours le beau. Et puisque l'on évoque les bateaux, le maître beau! (sans e)