— Marguerite, je t'avais dit de pas voler ce chat ! Il est noir, tout noir !
— Mais la voisine ne s’en occupait pas, il allait se faire écraser, il était toujours sur la route
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Ce matin sans lumière,elle a les yeux-nuages
ils s'emperlent de rien et contournent le jour
Un petit manque d'amour...
Elle tricote à l'envers les mailles de sa nuit
Les étoiles oubliées et les mots jamais dits.
Elle rêve bien trop haut et panique son âme
D'images si sublimes que son souffle s'épuise
Et bafoue ses idées .
Un petit manque d'air et de terre et de mer...
Elle voudrait voir le sable et toucher les rochers
Dévorer la forêt et courir sous le vent.
Elle a laissé l'ennui devenir un allié
Et c'est un jeu méchant...
Juste ne pas tomber, ne pas se déchirer
Pas oublier les autres mais s'en défaire un peu...
L'automne a trop raison de sa mélancolie
Et les jours si courts désabusent les beaux rires.
Elle veut casser les murs et gommer les parois .
Un ambitieux combat...
Il rit de ses bagarres avec le ciel trop gris .
Elle n'est qu'une impatiente aux idées un peu folles.
Elle sentinelle l'été dans un vieux pull de laine
Et pleure sous son bonnet, le soleil endormi.
La terre a des couleurs qu'un peintre lui envie
Elle, elle a mal au coeur pour un instant de vie.
Il la prend par la taille, fait danser son chagrin.
Sur un bonhomme-neige,elle écrira ses cris
Et le noir de son coeur deviendra rose-vie.
On ne gère pas tout, en velours et en soie,
Il y a des moments où on a un peu froid
Un souvenir plié, un oiseau trop blessé
La peur d'un faux demain, la mort d'un peu trop près
Le doute écarquillé,
Un réveil trop blafard qui joue à l'important...
Mais ça va tout d'un coup, elle range ses armoires.
Une étoile à son ciel fait place à un miroir.
Et reine de son cafard, elle défait son ennui
Sur la robe d'un soir, si douce de ses plis.
Il lui dit : " Tu es belle, tu es Celle que j'aime".
Elle sait alors la chance dans ce monde éventré
D'avoir quelqu'un en elle, un voleur des étés.
Le réveil peut sonner et le froid la narguer
Il est son essentiel et elle va l'aimer.
ils s'emperlent de rien et contournent le jour
Un petit manque d'amour...
Elle tricote à l'envers les mailles de sa nuit
Les étoiles oubliées et les mots jamais dits.
Elle rêve bien trop haut et panique son âme
D'images si sublimes que son souffle s'épuise
Et bafoue ses idées .
Un petit manque d'air et de terre et de mer...
Elle voudrait voir le sable et toucher les rochers
Dévorer la forêt et courir sous le vent.
Elle a laissé l'ennui devenir un allié
Et c'est un jeu méchant...
Juste ne pas tomber, ne pas se déchirer
Pas oublier les autres mais s'en défaire un peu...
L'automne a trop raison de sa mélancolie
Et les jours si courts désabusent les beaux rires.
Elle veut casser les murs et gommer les parois .
Un ambitieux combat...
Il rit de ses bagarres avec le ciel trop gris .
Elle n'est qu'une impatiente aux idées un peu folles.
Elle sentinelle l'été dans un vieux pull de laine
Et pleure sous son bonnet, le soleil endormi.
La terre a des couleurs qu'un peintre lui envie
Elle, elle a mal au coeur pour un instant de vie.
Il la prend par la taille, fait danser son chagrin.
Sur un bonhomme-neige,elle écrira ses cris
Et le noir de son coeur deviendra rose-vie.
On ne gère pas tout, en velours et en soie,
Il y a des moments où on a un peu froid
Un souvenir plié, un oiseau trop blessé
La peur d'un faux demain, la mort d'un peu trop près
Le doute écarquillé,
Un réveil trop blafard qui joue à l'important...
Mais ça va tout d'un coup, elle range ses armoires.
Une étoile à son ciel fait place à un miroir.
Et reine de son cafard, elle défait son ennui
Sur la robe d'un soir, si douce de ses plis.
Il lui dit : " Tu es belle, tu es Celle que j'aime".
Elle sait alors la chance dans ce monde éventré
D'avoir quelqu'un en elle, un voleur des étés.
Le réveil peut sonner et le froid la narguer
Il est son essentiel et elle va l'aimer.
Il est son essentiel et elle va l aimer
...l Amour ce sentiment indispensable à nos vies
Aux printemps des délices,
Ne pas se priver de réglisses...
L'été on a pas envie que ça passe,
Alors il ne faut pas se priver de glaces...
L'automne arrive alors à grand pas,
Et là gare aux faux-pas !
Mais en hiver ne me dites surtout pas...
Qu'il faut se priver de " Chocolats " ! ;-))
Merci Vivi !
Et un " j'aime " de plus pour ton très beau poème...
À + Bises