DIMANCHE
Bleu strié de vert,
Un chien,
Faisant tintinnabuler ses boucles d'oreilles-flacons de parfum,
Dévale l'avenue sur ses pattes arrière,
Pensif il médite sur la proposition de
... [+]
Je viens d'imaginer, de créer en quelque sorte, une histoire drôle. Elle est terrible, incroyable, désopilante, plus hilarante que tout ce qui s'est fait jusqu'à ce jour dans le genre !
Vous êtes bien prétentieux me direz-vous ! Des histoires drôles il en existe des milliers qui courent les rues et certaines, pas toutes, sont désopilantes et même, disons, désopilantes au carré.
Attendez donc avant de juger ! Actuellement je suis le seul en mesure de le faire puisque je suis le seul à la connaître.
Voilà, c'est l'histoire d'un mec qui... et puis non ! C'est impossible, je ne peux pas vous en faire part, pas vous la raconter.
Pourquoi, me direz-vous ? C'est fou, vous nous mettez l'eau à la bouche puis refusez finalement d'ouvrir le robinet ? Et puis vous poursuivrez : peut-être n'êtes vous pas si sûr que cela de la qualité drolatique de votre œuvre ! Ou alors vous avez décidé non pas de nous dérider, mais plutôt de nous torturer ! C'est invraisemblable ! Une histoire drôle est faite pour circuler de bouche à oreille, pas pour rester dissimulée dans le fond d'un tiroir à blagues !
Je comprends très bien votre désappointement, mais vraiment je ne veux pas, je ne peux pas endosser ce poids, cet horrible poids qui pèserait à jamais sur ma conscience.
Naturellement vous ne voyez pas ce que le fait de raconter une histoire drôle peut avoir de si culpabilisant ? Même si elle est vraiment scatologique ou pornographique vous pensez qu'il n'y a pas de quoi en faire un tel problème. Dieu, s'il existe, pardonnera de toute façon, me direz-vous, il a déjà sûrement pardonné d'autres choses bien pires, confirmerez-vous, pour tenter de me convaincre.
Bien sûr si le problème n'était que celui-ci je répondrais illico à votre demande et vous donnerais satisfaction sans rechigner mais ma réticence est motivée par une raison beaucoup plus importante et conséquente.
Non, je ne vous narrerai pas l'histoire que je viens de concocter mais je vais vous expliciter la raison de mon refus et lorsque vous la connaîtrez vous ne pourrez que reconnaître le bien fondé de ma décision. Qui plus est vous me remercierez et me féliciterez de l'avoir prise : pour votre bien !
Voilà, c'est bien triste à dire mais la meilleure histoire drôle du monde, je persiste, ne peux pas être racontée car je ne tiens aucunement à figurer, dans l'avenir, sur la liste des plus grands tueurs en série de tous les temps et comme mon histoire est une histoire à "mourir de rire" je préfère qu'elle finisse ses jours totalement ignorée.
Vous êtes bien prétentieux me direz-vous ! Des histoires drôles il en existe des milliers qui courent les rues et certaines, pas toutes, sont désopilantes et même, disons, désopilantes au carré.
Attendez donc avant de juger ! Actuellement je suis le seul en mesure de le faire puisque je suis le seul à la connaître.
Voilà, c'est l'histoire d'un mec qui... et puis non ! C'est impossible, je ne peux pas vous en faire part, pas vous la raconter.
Pourquoi, me direz-vous ? C'est fou, vous nous mettez l'eau à la bouche puis refusez finalement d'ouvrir le robinet ? Et puis vous poursuivrez : peut-être n'êtes vous pas si sûr que cela de la qualité drolatique de votre œuvre ! Ou alors vous avez décidé non pas de nous dérider, mais plutôt de nous torturer ! C'est invraisemblable ! Une histoire drôle est faite pour circuler de bouche à oreille, pas pour rester dissimulée dans le fond d'un tiroir à blagues !
Je comprends très bien votre désappointement, mais vraiment je ne veux pas, je ne peux pas endosser ce poids, cet horrible poids qui pèserait à jamais sur ma conscience.
Naturellement vous ne voyez pas ce que le fait de raconter une histoire drôle peut avoir de si culpabilisant ? Même si elle est vraiment scatologique ou pornographique vous pensez qu'il n'y a pas de quoi en faire un tel problème. Dieu, s'il existe, pardonnera de toute façon, me direz-vous, il a déjà sûrement pardonné d'autres choses bien pires, confirmerez-vous, pour tenter de me convaincre.
Bien sûr si le problème n'était que celui-ci je répondrais illico à votre demande et vous donnerais satisfaction sans rechigner mais ma réticence est motivée par une raison beaucoup plus importante et conséquente.
Non, je ne vous narrerai pas l'histoire que je viens de concocter mais je vais vous expliciter la raison de mon refus et lorsque vous la connaîtrez vous ne pourrez que reconnaître le bien fondé de ma décision. Qui plus est vous me remercierez et me féliciterez de l'avoir prise : pour votre bien !
Voilà, c'est bien triste à dire mais la meilleure histoire drôle du monde, je persiste, ne peux pas être racontée car je ne tiens aucunement à figurer, dans l'avenir, sur la liste des plus grands tueurs en série de tous les temps et comme mon histoire est une histoire à "mourir de rire" je préfère qu'elle finisse ses jours totalement ignorée.