Quand vient du silence, pour unique tunique,
Et dans les profondeurs des corolles errantes,
Là, je ferme les yeux d'une vague
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Je cherche l’Homme ! Pourquoi cette quête, ce besoin vital de le rencontrer ? Comme un cycle périodique, je suis à la recherche de l’Homme. L’Homme, cet être humain digne d’intérêt qui pourrait m’apprendre à aimer la vie. Un penseur sachant panser nos maux ; Une ouverture d’esprit dans un monde de plus en plus refermé sur lui-même. Depuis toujours, je cherche l’Homme !
Dans les journaux, utopiques presses à scandales où relater des faits historiques devient de plus en plus antipathique à la mémoire collective. Les informations écrites se lisent trop vite, entre les lignes ; Nos yeux ne se permettent plus une réflexion appropriée et conforme de l’information. A l’ère du tout numérique, nous passons à une ère inhumaine où chaque profondeur de l’âme est bafouée par un rythme oppressant des sociétés du CAC40.
Je cherche l’Homme et je ne trouve que la Femme. A croire, comme le disait si bien Aragon et Ferrat, l’avenir de l’Homme est la Femme ! Je cherche en mon humanité une part de l’Humanité. Qu’elle était belle cette notion toute puissante qui faisait la part belle à l’amour de son prochain. L’humanité se déshumanise par le biais du chacun chez soi !
Mais qu’est-ce qui pousse l’homme à courir, à vouloir s’automutiler aux heures pressantes des horodateurs industriels ?
Dans les journaux, utopiques presses à scandales où relater des faits historiques devient de plus en plus antipathique à la mémoire collective. Les informations écrites se lisent trop vite, entre les lignes ; Nos yeux ne se permettent plus une réflexion appropriée et conforme de l’information. A l’ère du tout numérique, nous passons à une ère inhumaine où chaque profondeur de l’âme est bafouée par un rythme oppressant des sociétés du CAC40.
Je cherche l’Homme et je ne trouve que la Femme. A croire, comme le disait si bien Aragon et Ferrat, l’avenir de l’Homme est la Femme ! Je cherche en mon humanité une part de l’Humanité. Qu’elle était belle cette notion toute puissante qui faisait la part belle à l’amour de son prochain. L’humanité se déshumanise par le biais du chacun chez soi !
Mais qu’est-ce qui pousse l’homme à courir, à vouloir s’automutiler aux heures pressantes des horodateurs industriels ?