Sa beauté m’avait fasciné
De sa langue agitée
Je buvais les paroles
Avant qu’elle ne m’enjôle
La couleur de... [+]
Sa beauté m’avait fasciné
De sa langue agitée
Je buvais les paroles
Avant qu’elle ne m’enjôle
La couleur de... [+]
Le soleil doucement enfonçait l'horizon
Les oiseaux voletaient dans la voûte céleste
un dernier nectar pour les... [+]
J’ai ouvert la porte.
C’était elle.
Nous nous sommes regardés.
Elle m’a dit trois petits mots.
Trois... [+]
7 mois et demi, que l'on ne se parle plus,
irritation constante d'une vie morne, déçue.
Toujours en colère disant que... [+]
« C’est toi qui m’a changé » m’a-t-elle dit
Cela m’a privé de sommeil et m’a fait tomber du lit
Sa... [+]
Le ciel, ce soir, est nu,
Pas une étoile, pas une lune.
Noire, la rue cette inconnue,
Me pèse telle une enclume.... [+]
Je ne parviens pas à dormir. Première nuit ici. Sous la yourte. Enfin arrivée sur cette terre de Mongolie qui m'attire depuis des années. Comme un fil rouge dans ma vie. À la recherche de... [+]
15 Juillet 1990 : il est assis à côté de moi l’homme de ma vie, aussi impatient que moi, il se ronge les ongles tandis que mon cœur bat la chamade.
Mes yeux surveillent la larme qui... [+]
Les premiers rayons de soleil de ce matin d’automne, transperçaient la blancheur du voilage de la chambre. Cette lumière à la fois douce et vive, reflétait assez bien l’état d’âme de Sœu... [+]
Tentative de réanimation avec ce café. La journée sera longue. Pouah ! Faut vraiment que ma coloc' apprenne à doser le café ! Même avec un peu d'eau, il reste imbuvable. Un dernie... [+]
Aujourd'hui, cela fait deux ans qu'elle est partie. Je n'arrive pas à effacer son visage de mes pensées. Elle était l'amour de ma vie...
Je ne parviens pas à avancer, car son départ précipité... [+]
Je ne peux, là, raconter ma vie. Ce serait trop long et terriblement inintéressant. Est-ce pour cela, ce profond vide en moi, cet inintérêt de cette vie fade et routinière, qui me fit un jou... [+]
Et tu sais que je t’ai parlé, souvent, seule dans ma douche, entre quelques lignes d’Apollinaire, et ces Lettres à Lou, soudainement t’étaient destinées.
Tu ne m’entendais pas, mais je... [+]
C’est fou cette habitude d’être toujours en avance. La séance commence à 19h et je suis déjà postée devant le cinéma à les attendre à 18h40.
Il fait très chaud pour un dimanche soi... [+]
"Je m’en souviens je m’en souviens encore".
Je passe devant l’ancien cinéma, une fois par semaine depuis trois mois, pour des soins chez un médecin spécialiste. Je n’habite plus... [+]
En ce mois d'Août 1956, les jolies maisons de pierres blanches du petit village de Forcalquier restaient volets clos pour se protéger de la chaleur écrasante qui gondolait au son du chant des... [+]