Suis-je dans le noir ou ai-je les jeux fermés ? Peut-être les deux.
Peu importe, mais il va falloir se battre pour vivre. Orphelin de mère et de père, j'ai vite subi l'iniquité de ce monde.
Mes grands parents avaient désigné comme mon tuteur le frère de maman.
Cette nouvelle famille d'accueil, inerte d'amour et de pitié, me désignait comme l'esclave de la maisonnée. Dans ce village , l'enfant est un moyen de travail. Parents absents, vie précaire et souffrances puériles. Qu'es-ce qu'il y'a de plus triste et de pire que d'être seul au monde?
L'obéissance passive était devenue une obligation pour moi. Obéir sans réfléchir et câliner des coups pour apprendre à souffrir et se battre pour vivre.
Mes journées étaient parsemées avec des tourments pléthoriques, des insultes accompagnées de coups de points et des recommandations tumultueuses données par la fratrie.
La famille, quand elle ne sert qu'à tourmenter,devient inutile.
À force d'être cogné, les cordes du bélier se durcissent.
Mon seul choix restait de choisir de souffrir et d'appréhender la vie. La souffrance revigore les esprits dépourvus de relâche. Elle nourrit les esprits ingénus et revigore les jours sataniques de nôtre vie.
Des nuits sombres sans flammèches d'espoir m'ont permis de sortir de ma chrysalide. Après ces moments de détresse, clé de voûte d'une leçon sempiternelle; m'ont permis d'abolir le snobisme de mon être et de choisir de regarder droit devant moi comme un caméléon.
Les coups durent de la vie ne sont pas un motif d'abandon. Ayant compris que vivre c'est se battre, j'en ai tiré de belles leçons. une voix intime persuasive guida mes pas vers le succès.
Me voici maintenant, seul dans ce monde cruel sur les traces du bonheur et de la santé. Se ceindre les reins comme un vaillant homme restait le seul chemin à prendre.
Vivre ici-bas nécessite le courage d'affronter les obstacles puisque vivre c'est souffrir, souffrir c'est se battre et se battre c'est nécessairement s'en sortir.
Peu importe, mais il va falloir se battre pour vivre. Orphelin de mère et de père, j'ai vite subi l'iniquité de ce monde.
Mes grands parents avaient désigné comme mon tuteur le frère de maman.
Cette nouvelle famille d'accueil, inerte d'amour et de pitié, me désignait comme l'esclave de la maisonnée. Dans ce village , l'enfant est un moyen de travail. Parents absents, vie précaire et souffrances puériles. Qu'es-ce qu'il y'a de plus triste et de pire que d'être seul au monde?
L'obéissance passive était devenue une obligation pour moi. Obéir sans réfléchir et câliner des coups pour apprendre à souffrir et se battre pour vivre.
Mes journées étaient parsemées avec des tourments pléthoriques, des insultes accompagnées de coups de points et des recommandations tumultueuses données par la fratrie.
La famille, quand elle ne sert qu'à tourmenter,devient inutile.
À force d'être cogné, les cordes du bélier se durcissent.
Mon seul choix restait de choisir de souffrir et d'appréhender la vie. La souffrance revigore les esprits dépourvus de relâche. Elle nourrit les esprits ingénus et revigore les jours sataniques de nôtre vie.
Des nuits sombres sans flammèches d'espoir m'ont permis de sortir de ma chrysalide. Après ces moments de détresse, clé de voûte d'une leçon sempiternelle; m'ont permis d'abolir le snobisme de mon être et de choisir de regarder droit devant moi comme un caméléon.
Les coups durent de la vie ne sont pas un motif d'abandon. Ayant compris que vivre c'est se battre, j'en ai tiré de belles leçons. une voix intime persuasive guida mes pas vers le succès.
Me voici maintenant, seul dans ce monde cruel sur les traces du bonheur et de la santé. Se ceindre les reins comme un vaillant homme restait le seul chemin à prendre.
Vivre ici-bas nécessite le courage d'affronter les obstacles puisque vivre c'est souffrir, souffrir c'est se battre et se battre c'est nécessairement s'en sortir.