Les paroles de la comptine lui revenaient sans cesse à l'esprit, mais il ne parvenait pas à se souvenir de la dernière strophe.
Un, deux, trois, nous irons au bois.
Ce n'était pas le moment de... [+]
Ce soir, je me souviens .
Je me souviens de toi et moi, dans le champs en bas de chez moi.
8'6 Crew sur le téléphone et 8’6 dans le sang.
« Promesses »
Foutue musique.
J’en ai mal au bide rien que d’y penser.
Une couverture sur le sol, un soleil éclatant,
Des canettes et des rêves pleins la tête
On était tout les deux raides bourrés
Sur une simple couverture nous nous étions allongés
Des rires à foison,
Puis des larmes,
Une des rares fois où tu m’as parlé de toi
Pas en surface, mais vraiment
T’étais simplement un gosse en manque de reconnaissance
T’avais besoin d’amour, un putain de besoin viscéral d’être aimé
T’avais finis dans mes bras, à en chialer
Comme mon premier amour
Vous vous ressemblez au fond.
Des choix de merde,
Des cœurs qui marchent plus bien et des corps marqués
Pourtant tu les effrayais les gens tu le sais ?
Et t’aimais ça, t’aimais qu’ils te craignent
T’avais besoin qu’on te reconnaisse, en bien ou en mal
Besoin de te faire un nom, qu’on te voit enfin
Rien qu’un gamin qui se cherchait
On avait finit par baiser, ivres.
Avec le voisin à côté.
Qu’est-ce qu’on s’était marré.
En remontant le champs j’avais décidé d’aller chercher encore de l’alcool alors,
Bah j’ai conduis bourré avec toi à coté,
Mais on s’en branlait,
On était deux,
On était bien
J’aurai pu crever simplement pour te tenir la main
J’ai eu du mal à écrire sur toi tu sais ?
Pourtant c’était si simple pour le reste de ce qu’il se passait dans ma tête.
Mais pour toi ça fait tellement mal
Tu l’as éclipsé d’un coup,
Celui sur lequel j’avais bloqué 7 années
Alors je me demande combien de temps ma souffrance va durer.
Je t’ai aimé, si fort.
Je t’ai détesté, jusqu’à souhaiter ta mort.
Mais je ne regrette rien,
Je ne regrette jamais rien.
J’espère simplement qu’un jour, ton souvenir ne me fera plus rien.
Je me souviens de toi et moi, dans le champs en bas de chez moi.
8'6 Crew sur le téléphone et 8’6 dans le sang.
« Promesses »
Foutue musique.
J’en ai mal au bide rien que d’y penser.
Une couverture sur le sol, un soleil éclatant,
Des canettes et des rêves pleins la tête
On était tout les deux raides bourrés
Sur une simple couverture nous nous étions allongés
Des rires à foison,
Puis des larmes,
Une des rares fois où tu m’as parlé de toi
Pas en surface, mais vraiment
T’étais simplement un gosse en manque de reconnaissance
T’avais besoin d’amour, un putain de besoin viscéral d’être aimé
T’avais finis dans mes bras, à en chialer
Comme mon premier amour
Vous vous ressemblez au fond.
Des choix de merde,
Des cœurs qui marchent plus bien et des corps marqués
Pourtant tu les effrayais les gens tu le sais ?
Et t’aimais ça, t’aimais qu’ils te craignent
T’avais besoin qu’on te reconnaisse, en bien ou en mal
Besoin de te faire un nom, qu’on te voit enfin
Rien qu’un gamin qui se cherchait
On avait finit par baiser, ivres.
Avec le voisin à côté.
Qu’est-ce qu’on s’était marré.
En remontant le champs j’avais décidé d’aller chercher encore de l’alcool alors,
Bah j’ai conduis bourré avec toi à coté,
Mais on s’en branlait,
On était deux,
On était bien
J’aurai pu crever simplement pour te tenir la main
J’ai eu du mal à écrire sur toi tu sais ?
Pourtant c’était si simple pour le reste de ce qu’il se passait dans ma tête.
Mais pour toi ça fait tellement mal
Tu l’as éclipsé d’un coup,
Celui sur lequel j’avais bloqué 7 années
Alors je me demande combien de temps ma souffrance va durer.
Je t’ai aimé, si fort.
Je t’ai détesté, jusqu’à souhaiter ta mort.
Mais je ne regrette rien,
Je ne regrette jamais rien.
J’espère simplement qu’un jour, ton souvenir ne me fera plus rien.