Pleure d'Afrique

Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ? peut-être les deux. Où je vie un véritable cauchemar d'une réalité indéniable. Les plus vertueux s'en vont laissant au noir les indicateurs de la moralité de notre société détaillée.
- Les hommes forts africains disparaissent : Patrice Lumumba, Thomas Sankara et tant d'autres nous ont laissé dans un déséquilibre total. Ils ont été les signes représentent de l'Afrique, au multiples attractions la civilisation occidentale. Sont-ils parti dans l'au-delà pour éviter à nos yeux les spectacles affreux de la d'échéance de nos coutumes séculaires par la jeunesse africaine.
- Je me suis interrogé mainte et mainte fois la cause de la mort tragique, inattendu des nos voyants Pères. Et je n'ai récolté qu'un silence des morts. L'avenir des jeunes ne cesse de s'assombrir. Aujourd'hui elles se pavanent à travers les rues des villes à la recherche d'un bonheur idéal.
- Quoi qu'il en soit, elles se contentent désormais à distribuer des baisers à travers les avenues.i
- Par manque d'occupation, chômage reste la base de la précarité de leurs comportements. Rien n'est plus aléatoire que l'hérédité morale. Hier, jeunesse évoquait la docilité, la soumission, l'obéissance... Aujourd'hui, délinquance, banditisme, ivrognerie, course aux jupons caractérisent cette jeunesse perdue. C'est le spectacle immortel de l'immortel péché d'Adam.
- Tu ne peut pas diaboliser la nouvelle génération. Dans ce monde, nous continuerons Toujours à vivre le conflit de la génération. Chaque époque traverse ses crises. Aujourd'hui comme hier, en Afrique comme ailleurs, les aléas de l'histoire sont inexorable.