Le voyage de l'âme

Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés ?
Peut être les deux. J’aile inopinément dans mon rêve qui m’est survenu dans un sommeille éternel.
C’était un long voyage dans la nuit noire, noire, sombre et plein d’ombres, des hurlements m’ont venus prendre la main et m’ont sortis dans le noir à torche nue. Je me suis glissé sous le vent des ténèbres et mon regard fixé sous mes pieds foulant des pas dans un passé lointain.
C’était une nuit sombre ,fraiche et heureuse avec un bonheur particulier derrière un malheur enfermé dans un gros bloc.
Comme marcherait un sauvage au milieu des conurbations, vivement je montais les montagnes et les talons de mes bottes chantaient au rythme des gazouillements d’oiseaux. Je n’entendais que le bruit d’animaux omnivores qui vivaient de la chasse.
Des grands flores et de fleuves sous le ciel pluvieux, l’ombre envahissait les eaux salées des mers et des iles sous la petite quantité de lumière sous marine, c’était le miroir de la lune.
Je me sentais solitaire et ténébreux dans la nuit noire.
Je me croyais capable de savoir le moment quand je fermerais mes yeux pour dormir.
Dans mon sommeil, j’ai rêvé une forte lumière gênant mes yeux comme si j’étais devant un astre lumineux ou au milieux des lampadaires : c’était la clarté du jour. Puis je me suis levé et j’ai dit le «Doua » suivant :oh prophète des êtres humains, prophète qui apportera le message d’Alla sur terre, sauvez moi de ces impurs démens des matins, je partirai au sein des montagnes de la terre sainte, prosterner mon front devant les vieux chênes et celui de la montagne du plus haut sommet.
Mes meilleurs vœux débuterons ce matin et poursuivrons ce monde jusqu’au dernier monde
Dans ce milieu des terres noires, noires comme ma peau est le point de départ de la vie du paysage humain.

Au bout du petit matin, dans la rosée d’un herbier, j’ai vue des hommes entièrement étendus dans l’herbe. Dans cette vaste étendu de terre, la plus fragile épaisseur de terre, des plantes et fleurs qui s’ouvraient à béat pour saluer l’amour humain.
Le parfume des fleurs faisait frissonner leurs narines; ce fut pour eux leur bien venu dans le terrain bucolique de la terre.

Dans ce globe à l’écart du continent, était habitait un continent.
Il était solitaire, vivait seul dans sa position géographique. Il ne saluait à aucune créature, n’assistait pas aux évènements de ses voisins ni s’occupait aux affaires des autres terres. Aucun voisin n’osait lui prononcé la Parole. Il ne sortait que pour chercher des ressources naturelles pour le perfectionnement de son développement .C’était un continent géant à botte bleu et aux forets vertes et grandioses au profit de la conquête des terres nouvelles. Aucun continent avait la chance de le comprendre mais j’était prête à se sentir solitaire dans ce monde immense et fermé ,prêt à souffrir parce que j’était choquée par l’injustice des choses et les difficultés de la vie.
Un instant, je promenais seul dans le globe terrestre .Après avoir trotter quelque temps, il m’ait venu un cri d’enfant comme si cela tournait autour de moi. Soudain, j’ai vu des enfants jouaient dans un feu, un feu de bois et de joie.
Le cri c’était le mouvement volcanique et les enfants étaient les pays de ce continent ,le feu étaient des séismes qui entouraient les pays. Le feu de bois c’était un magma sur des roches et le feu de joie c’était un magma explosif .Ils jouaient mais rien ne brulait ni calcinait.
J’étais ému puis intéressée de cet miracle afin de voir si c’est possible pour un cops secs comme du bois sec d’être dans une fournaise sans se bruler.
A mon approche, les pays disparaissaient de manière mystique et le feu m’a fuit .Pris par la peur, j’était pétrifié comme un civil dans la guerre sanglante des seigneurs.
Une voix haute, grave et extra-terrestre répondu à mon étonnement. Les pays sont disparus grâce à un volcan explosif et le feu qui t’a fuit c’était un magma à fluide. Il jouaient dans le feu parce que se sont des descendants d’enfer et le feu t’a fuit parce que tu es un descendant du paradis. Voilà tout ce qui explique l’existence du paradis et de l’enfer.

Ils faisaient partis aux premiers habitants de la terre, l’Europe et Phota cixe vivaient seule dans un monde immense et fermé à coté d’autres continents sur une surface de l’univers misérablement surpeuplée. Le soleil sortait de sa caserne et brulait les terres des différents continents.
Phota cixe était à coté de l’Europe et ce lui-ci restait à la botte de l’océan atlantique sans contrôler leurs frontières.

Au bout d’un moment, une voute noire s’abaissa brulant sur eux, sur les terres et le soleil se rependait dans l’univers. Comme marcherait un forçat des bagnes, durement le soleil montait les montagnes. Caressé par le vent, les arbres se courbaient de manière si lente. Leurs branches prosternaient sur la terre où un arc multicolore coinçait aux hémisphères. Soudain, le visage d’un ciel sombre, le soleil souriait rougement sans ombre. Faisant des allées et venues, elle grelotait et ses rayons suspendus. Impalpable, la poussière pénétrait dans la gorge de chaque pays en traversant les parois de leur poitrine. Et chacun d’eux était couvert d’une couche de nuages de poussière qui faisait pleurer leurs peuples de la boue.
Une masse visqueuse bouchait les populations sous une grande quantité de gouttes d’eau de pluie sur la terre. Le ciel criait toute la nuit et les pierres qu’il chassait tombaient sur le globe terrestre, rebondissaient et se ramassaient à elles même puis retombaient sur les habitants de ces pauvres continents. Après l’apaisement de la pluie, ce terrible moment où les continents auraient échappé à cette destruction, d’énormes peuples ont quittaient la vie. L’Europe, dès qu’il vire le sang devenu la couleur du temps, elle s‘en hurla de terrorisme : tout au tour d’elle, surgissaient de montagnes et d’arbres, la pierre qu’elle arracha de sa plus haute montagne pierrée, avait violement envoyer de son aile gauche ,allait heurter à plein fouée la botte béante de Phota cixe qui débouchait de l’autre coté du planète.
Son révérend frère trembla, recueillit son visage dans ses deux ailes ,un beau continent, surface nue et noyau baignant dans la couche chaude de vénus .
Il était aplati dans l’univers au dessous d’où la vie est possible pour l’homme ,inondé dans les rayons solaires : il est mort, il est mort.