L'autre côté de la pièce de monnaie...
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Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qu’il y avait de l’autre côté d’une pièce de monnaie ?
Vous savez, ce qui se cache derrière le nombre doré, bien paré. Le petit signe sous forme d’oiseau ou de tête d’un dirigeant de l’ancien temps... Tout ça quoi.
Alors oui, ma question peut sembler ridicule, étrange, mais elle n’en est pas moins pertinente car si l’on réfléchit bien, le temps de tourner la pièce pour distinguer son autre côté, tout peut avoir changé puisque nous n’arriverons jamais à voir les deux sur le même plan.
Ce qu’il faudrait c’est glisser une caméra en dessous qui nous rapporterait l’image en temps réel sur notre portable à côté de la pièce face visible. On saurait tout de cette pièce qui nous cache peut-être quelque chose. Mais on ne nous laisserait jamais faire ça. Non non, ce ne serait pas respecter la vie privée, ne pas faire confiance à la pièce...
Vie privée, confiance... Sont des groupes nominaux qui ressortent beaucoup les derniers temps. Il semblerait qu’on ne respecte pas le premier et qu’on a tué le deuxième. Mais quelle est l’identité de ce « on » ? Certains l’attribuent aux dirigeants et ceux là-même à ceux qui l’ont dénoncé, les médias. Qui croire ? Est-ce encore réellement une question de croyance ou les choses ne dépassent-elles pas le cadre même de notre société ? Qu’on ne contrôle plus, qui nous a échappé...
Vous savez, comme la pièce qui tombe au moment où vous en avez besoin pour payer et qui vient se nicher dans des endroits impossibles d’accès.
Le reflet de ce qui se passe un peu partout : on mène une révolution, on combat, et au moment de la victoire, d’appliquer enfin les choses... On nous lâche, nos soutiens se désistent et disparaissent, mystérieusement. C’est valable pour les bonnes comme pour les mauvaises causes mais dans les deux cas, le même effet se produit. Les bases construites s’écroulent et les espoirs s’envolent...
Revenons à notre pièce qui, quand elle n’a pas servi encore assez, ne s’est pas vraiment usée, n’a pas dévoilé tous ces aspects, paraît parfaite, polie. Poli, quelque chose peut l’être, quelqu’un peut nous l’afficher.
Ce caractère, passant pour naturel mais pouvant être stratégique est typique de nos couvertures actuelles. Dévoilant la beauté, la gentillesse, il peut parfois cacher bien des choses. C’est ainsi qu’un régime peut montrer ses aspects oniriques en enfonçant ceux cauchemardesques qui règnent au quotidien...
Ah, notre petite pièce... Bien que cachottière, elle nous dévoile nos plus profonds secrets. C’est fascinant l’argent. On dit qu’il façonne le monde. Mais c’est également à notre image que nous l’avons façonné. Voici son autre sombre côté...
Vous savez, ce qui se cache derrière le nombre doré, bien paré. Le petit signe sous forme d’oiseau ou de tête d’un dirigeant de l’ancien temps... Tout ça quoi.
Alors oui, ma question peut sembler ridicule, étrange, mais elle n’en est pas moins pertinente car si l’on réfléchit bien, le temps de tourner la pièce pour distinguer son autre côté, tout peut avoir changé puisque nous n’arriverons jamais à voir les deux sur le même plan.
Ce qu’il faudrait c’est glisser une caméra en dessous qui nous rapporterait l’image en temps réel sur notre portable à côté de la pièce face visible. On saurait tout de cette pièce qui nous cache peut-être quelque chose. Mais on ne nous laisserait jamais faire ça. Non non, ce ne serait pas respecter la vie privée, ne pas faire confiance à la pièce...
Vie privée, confiance... Sont des groupes nominaux qui ressortent beaucoup les derniers temps. Il semblerait qu’on ne respecte pas le premier et qu’on a tué le deuxième. Mais quelle est l’identité de ce « on » ? Certains l’attribuent aux dirigeants et ceux là-même à ceux qui l’ont dénoncé, les médias. Qui croire ? Est-ce encore réellement une question de croyance ou les choses ne dépassent-elles pas le cadre même de notre société ? Qu’on ne contrôle plus, qui nous a échappé...
Vous savez, comme la pièce qui tombe au moment où vous en avez besoin pour payer et qui vient se nicher dans des endroits impossibles d’accès.
Le reflet de ce qui se passe un peu partout : on mène une révolution, on combat, et au moment de la victoire, d’appliquer enfin les choses... On nous lâche, nos soutiens se désistent et disparaissent, mystérieusement. C’est valable pour les bonnes comme pour les mauvaises causes mais dans les deux cas, le même effet se produit. Les bases construites s’écroulent et les espoirs s’envolent...
Revenons à notre pièce qui, quand elle n’a pas servi encore assez, ne s’est pas vraiment usée, n’a pas dévoilé tous ces aspects, paraît parfaite, polie. Poli, quelque chose peut l’être, quelqu’un peut nous l’afficher.
Ce caractère, passant pour naturel mais pouvant être stratégique est typique de nos couvertures actuelles. Dévoilant la beauté, la gentillesse, il peut parfois cacher bien des choses. C’est ainsi qu’un régime peut montrer ses aspects oniriques en enfonçant ceux cauchemardesques qui règnent au quotidien...
Ah, notre petite pièce... Bien que cachottière, elle nous dévoile nos plus profonds secrets. C’est fascinant l’argent. On dit qu’il façonne le monde. Mais c’est également à notre image que nous l’avons façonné. Voici son autre sombre côté...
Si vous en avez l'envie, Je vous propose une nouvelle (policier/ thriller) en lice du GP été :
https://short-edition.com/fr/oeuvre/nouvelles/sofia-4
Si vous êtes déjà passé(e), je vous prie de m'excuser et de ne pas tenir compte de ma proposition.
à bientôt.
Julien.