L'Automne, cette saison où les pigments arc-en-ciel des arbres remarquables, aiment se foutre par terre. Les hêtres se ramassent un gadin dû aux poids des feuilles mortes. Les érables, après avoir exploré l'éther de leurs potentiels, explorent les terres où les fous, gèrent les jerrycans qui concentreront les sirops am-brés et sucrés. Ton pote a six ohms de tension, murmure eau bouleau, un arbre aux mouchoirs mélancoliques. Des colchiques contemplent un arbre à soie. Descend Blier en col chic qui, Kant passe les faisans, gromelle un gros mythe & Wallace, au gros dégueulasse sanglier. L'arbre au caramel, Bent/Aubert/Salers quoi, s'attend à finir en pain d'épices dans l'humus du Père Lachaise. Les crâneurs y sont gourmands et patientent, quand à l'ouverture The Doors. Un saule marsault pleure à cause d'un ver de Meursault, qui avait fait le déplacement pour faire la Cosette à Jim. Le Judée des Prunus cerasifera Pissardii ruisselle dans les allées qu'un azalé hume, Hépar l'Alizée, jusqu'à s'enivrer. C'est la saison des sucreries de Dame Nature, et déjà, les momignards et autres momillons s'excitent l'esprit des intempérances de leurs petits palais.