La chaleur pèse un camion rempli de déménageurs ; lourde, humide et fiévreuse. Passé midi, je ne tiens plus sur mon siège en faux cuir. La fonte de ma culotte Petit Bateau, dans mon jean... [+]

Je suis là, allongée nue sur mon lit et je t’attends. Je ne te connais pas. Je ne connais que tes mots provocants et ton goût du jeu. Ce jeu que nous avons initié il y a quelques jours déjà en échangeant des messages toujours plus audacieux, plus précis dans les descriptions... Jusqu’au moment où, alors que nous évoquions une première rencontre, tu m’as demandé si j’étais prête à tout. Tu ne voulais pas que ce soit banal entre nous, tu pensais que nous méritions mieux. Alors que je te demandais ce que tu souhaitais, tu m’as répondu ainsi :
« Je souhaite que vous me receviez soumise et offerte... Nue et yeux bandés. Je vous ferai boire quelques bulles de champagne pour vous détendre... Et je m’occuperais de vous longuement, jusqu’à ce que vous perdiez tout contrôle et ne soyez plus qu’une boule de jouissance. Vous mettre dans une telle situation afin de mieux vous diriger m’excite... Laissez-vous aller, vous ne le regretterez pas. »
J’ai eu toute la journée pour penser à cette rencontre, toute une journée à bouillir d’appréhension et d’excitation à la fois. Jusqu’au moment où je n’ai plus pu résister et où j’ai décidé de céder à cette folie. Alors je t’ai envoyé un message pour te dire que j’acceptais, que je n’en pouvais plus et que je t’attendais. Je t’ai ensuite envoyé mon adresse.
C’est l’hiver et il s’est mis à neiger. Cela en rajoute à l’ambiance particulière de la soirée. Il fait très froid et, alors que la nuit tombe rapidement, plus personne ne traîne dans la rue sous l’averse des gros flocons. Tous les sons semblent comme étouffés et il règne une ambiance feutrée.
J’ai pris le temps de me préparer longuement pour toi. Ma peau, si douce, est une étoffe de velours et de soie sensuelle et parfumée. Je me suis bandé les yeux avec un foulard selon tes instructions. Je n’ai pas eu le cran de m’installer à genoux. Je suis allongée sur mon lit, sur le ventre, lascive, bien cambrée, de façon à mettre en valeur mes courbes callipyges.
Tu t’es glissé dans l’appartement par la porte que j’avais laissé ouverte à ton intention. Tu t’es assis au bord du lit et tes mains glacées se glissent, sinueuses, le long de mon corps brûlant. Mes lèvres, sous la caresse de tes doigts, laissent échapper quelques gouttes d’une rosée suave. Tu pousses un grondement de contentement qui me laisse frémissante. L’indécence des mots que tu murmures à mon oreille me fait rougir de plaisir. Je suis prête...
« Je souhaite que vous me receviez soumise et offerte... Nue et yeux bandés. Je vous ferai boire quelques bulles de champagne pour vous détendre... Et je m’occuperais de vous longuement, jusqu’à ce que vous perdiez tout contrôle et ne soyez plus qu’une boule de jouissance. Vous mettre dans une telle situation afin de mieux vous diriger m’excite... Laissez-vous aller, vous ne le regretterez pas. »
J’ai eu toute la journée pour penser à cette rencontre, toute une journée à bouillir d’appréhension et d’excitation à la fois. Jusqu’au moment où je n’ai plus pu résister et où j’ai décidé de céder à cette folie. Alors je t’ai envoyé un message pour te dire que j’acceptais, que je n’en pouvais plus et que je t’attendais. Je t’ai ensuite envoyé mon adresse.
C’est l’hiver et il s’est mis à neiger. Cela en rajoute à l’ambiance particulière de la soirée. Il fait très froid et, alors que la nuit tombe rapidement, plus personne ne traîne dans la rue sous l’averse des gros flocons. Tous les sons semblent comme étouffés et il règne une ambiance feutrée.
J’ai pris le temps de me préparer longuement pour toi. Ma peau, si douce, est une étoffe de velours et de soie sensuelle et parfumée. Je me suis bandé les yeux avec un foulard selon tes instructions. Je n’ai pas eu le cran de m’installer à genoux. Je suis allongée sur mon lit, sur le ventre, lascive, bien cambrée, de façon à mettre en valeur mes courbes callipyges.
Tu t’es glissé dans l’appartement par la porte que j’avais laissé ouverte à ton intention. Tu t’es assis au bord du lit et tes mains glacées se glissent, sinueuses, le long de mon corps brûlant. Mes lèvres, sous la caresse de tes doigts, laissent échapper quelques gouttes d’une rosée suave. Tu pousses un grondement de contentement qui me laisse frémissante. L’indécence des mots que tu murmures à mon oreille me fait rougir de plaisir. Je suis prête...

J'aimerais avoir votre avis sur le premier texte que je publie sur le site, beaucoup moins osé mais au désir latent cependant... http://short-edition.com/oeuvre/tres-tres-court/muse-18
Belle journée à vous !
Pour découvrir mon univers :
http://short-edition.com/oeuvre/nouvelles/le-feu-follet-de-navotas