J’en ai marre le soir,
J’en ai marre le soir
Quand vient le moment du repos
Et que nulle part,
Je ne trouve le répit
Excitée, exaspérée par toutes ces bulles de pensées qui ne cessent de venir me troubler !
Pop ! Pop ! Pop !
Un million de discutions simultanées !
Alors que mes paupières sont lourdes et mes membres épais,
Jamais, au grand jamais !
Je ne puis me reposer de cette journée toujours si présente dans les recoins de ma psyché.
Toutes ces petites perplexités, ces petites paranos du jour me rejoignent sous la couette et m’improvisent une nuit blanche.
A la quête d’un détachement du diurne, j’essaie, je m’échappe sur mon cellulaire.
Lire ! Regarder ! Écouter ! Lire ! Regarder ! Écouter !
N’importe quoi ! N’importe quoi !
Qui saurait m’échapper, échapper mon esprit de la journée.
J’ai l’espoir que quelques moutons m’apparaissent et
Clopin, clopant
Sautillant
M’amènent dans les bras de Morphée
Ou même à ses pieds
Une petite sieste me siérait
J’en ai marre le soir,
Car explosée de cette journée
De ce capharnaüm citadin
De ces « fais ci, fais ça » quotidiens
J’ai tous les soirs un espoir,
Un espoir frustré
J’ai l’espoir d’oublier qu’aujourd’hui encore tu n’étais pas là !
Ou peut-être que si, aujourd’hui tu étais là !
Je ne saurais le dire, je n’ai pas dû le sentir
Car si sous le soleil ou la grisaille de la capitale, nous passons nos journées ensemble
C’est sous le clair de lune, quand je t’ai quitté
Que je sais le mieux te retrouver
Si seulement la nuit me venait,
Si seulement elle me venait
Car c’est dans le noir que je sais le mieux te voir
J’en ai marre le soir
Quand vient le moment du repos
Et que nulle part,
Je ne trouve le répit
Excitée, exaspérée par toutes ces bulles de pensées qui ne cessent de venir me troubler !
Pop ! Pop ! Pop !
Un million de discutions simultanées !
Alors que mes paupières sont lourdes et mes membres épais,
Jamais, au grand jamais !
Je ne puis me reposer de cette journée toujours si présente dans les recoins de ma psyché.
Toutes ces petites perplexités, ces petites paranos du jour me rejoignent sous la couette et m’improvisent une nuit blanche.
A la quête d’un détachement du diurne, j’essaie, je m’échappe sur mon cellulaire.
Lire ! Regarder ! Écouter ! Lire ! Regarder ! Écouter !
N’importe quoi ! N’importe quoi !
Qui saurait m’échapper, échapper mon esprit de la journée.
J’ai l’espoir que quelques moutons m’apparaissent et
Clopin, clopant
Sautillant
M’amènent dans les bras de Morphée
Ou même à ses pieds
Une petite sieste me siérait
J’en ai marre le soir,
Car explosée de cette journée
De ce capharnaüm citadin
De ces « fais ci, fais ça » quotidiens
J’ai tous les soirs un espoir,
Un espoir frustré
J’ai l’espoir d’oublier qu’aujourd’hui encore tu n’étais pas là !
Ou peut-être que si, aujourd’hui tu étais là !
Je ne saurais le dire, je n’ai pas dû le sentir
Car si sous le soleil ou la grisaille de la capitale, nous passons nos journées ensemble
C’est sous le clair de lune, quand je t’ai quitté
Que je sais le mieux te retrouver
Si seulement la nuit me venait,
Si seulement elle me venait
Car c’est dans le noir que je sais le mieux te voir
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