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Faut-il Jeunesse, Pour l’éternité…
Faut-il Jeunesse, Pour l’éternité...
A force de terreur, de cloisons,
A force d’être interdits de vie,
Par les misères des répressions,
L’indifférence,
Des morts-vivants, s’ensuivit.
N’avaient-ils point espéré
Tous ces « malappris »( !)
Quelques miettes, quelques pitiés
Des mains de ceux qui ont tout pris ?
Nous voilà vaincus, livrés,
A l’absence de la vie,
À l’absence de l’amour
Pourtant
Bien des gens donneraient tant
Pour vivre juste un peu de temps
Dans l’amour et l’allégresse...
Et le temps qui passe, inexorable
Me rappelant ma tristesse,
Par ici la vaine quête de tendresse.
Et le souvenir lancinant,
D’avoir aimé l’outre mer,
Considéré, chez les vivants.
Faut-il, pour l’éternité,
Toujours traverser les mers,
Pour un simple bonheur sur terre ?
Amokrane Nourdine
A force de terreur, de cloisons,
A force d’être interdits de vie,
Par les misères des répressions,
L’indifférence,
Des morts-vivants, s’ensuivit.
N’avaient-ils point espéré
Tous ces « malappris »( !)
Quelques miettes, quelques pitiés
Des mains de ceux qui ont tout pris ?
Nous voilà vaincus, livrés,
A l’absence de la vie,
À l’absence de l’amour
Pourtant
Bien des gens donneraient tant
Pour vivre juste un peu de temps
Dans l’amour et l’allégresse...
Et le temps qui passe, inexorable
Me rappelant ma tristesse,
Par ici la vaine quête de tendresse.
Et le souvenir lancinant,
D’avoir aimé l’outre mer,
Considéré, chez les vivants.
Faut-il, pour l’éternité,
Toujours traverser les mers,
Pour un simple bonheur sur terre ?
Amokrane Nourdine
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