Fatalisme

Suis-je dans le noir ou ai-je les yeux fermés? Peut être les deux? S’intérrogea Mano qui voya la situation de sa vie se dégringoler. Assit sous l’arbre souvage qui faisait tomber ses vieilles feuilles qui le bercèrent et s’en plongea dans un univers des illusions sans fin après avoir perdu son allant. Se fut du dégringolade.
Mano fut un garçon humble très ambutieux venant d’une famille pauvre. Il eut rencontré la souffrance de toutes ses couleurs lorsqu’il grandit. Après des nombreuse années d’efforts. Il devint un grand commerçant et affairiste de la ville de Dampard. Il eut posé beaucoup de jalants dans sa vie et se fit un grand adjuvant des siens et des autres gens de la ville. Il devint connu et aimable par beaucoup des gens de la ville. Cela fut le résultat de ses bien faits. Se fut là, le fruit de ses ambutions.
Il eut de ces rêves parasidiaques pour son future dès son enfance et s’arrongea de les mettre en pratique pour améliorer sa vie. Son oncle, lui conseilla de prendre une femme du village, parce qu’il ne trouva pas les femmes de Dampard serieuses. Elles s’habillèrent à moitié nu. Pour lui, se furent des femmes qui meritèrent d’être tenues en horreur. La plupart d’elles se multiplièrent des partenaires pour le goût d’argent. Les femmes mariées eurent d’autres partenaires sexuels. Les jeunes filles s’accouplèrent avec les viellards pour se faire de l’argent. Ces femmes là, se dirent que ce mode de vie fut le meilleur. Il les trouva comme les femmes de maison close qui habitèrent les maison de passes. Mais se furent des femmes qui s’habillèrent de façon descente que les femmes de Dampart. Elles furent des genres des femmes qu’on appellèrent les libre comme l’air. Il ne voulut pas un jour arrivé chez Mano trouver ces genres des femmes.
Un jour, son ami d’enfance, Kakime vint le voir chez lui, dans une très belle maison qui se situa dans dans un bon lieu de la ville. Les deux hommes se mirent à causer.
-Pourquoi tu ne veux pas chercher une femme et faire des enfants? Démanda Kakime.
-Je compte d’abord réaliser mes rêves. Après des longues études pas du boullot. Je construis d’abord l‘avenir de mes progénitures. Reponda Mano avec un sens ironique.
-De quelle construction d’avenir me parles-tu?. Tu t’occupes déjà de beaucoup des gens. Penses-tu que tu seras incapable de prendre soin de ta femme et tes enfants? Kakime le demanda encore.
-Oui, tu as raison, les projets sont encours, j’en avais parlé avec mon oncle. Reponda Mano.
-Mais oui!! On est conscient devant l’objet mon ami! S’exclama Kakime.
Lamine sa fiancée, l’aima de tout son coeur et âme, parce que Mano se conduisit bien. Et elle fut patiente et sage vis-à-vis de Mano qui ne voulut pas encore faire des enfants malgrè sa fortune. Lamine fut une femme qui vint se complaire à Mano.
Or ça, Dampard fut une ville remplit des sans habrits, des pauvres, des jaloux, des complexés, des mandiants et des hypocrites. Donc beaucoup d’escros, malfaiteurs, voleurs et voleuses furent à la chasse des autres qu’ils cherchèrent à faire des souffe-douleurs.
Souvent lorsque Mano prit langue avec son grand père paternel. Ce dernier, lui dit: mon petit: « Ce n’est pas tout celui qui vient à tes côtés qui est pour toi. Dans la vie nous sommes tous préssés parfois on ne voit pas ce qui se passe autour de nous. Sois sage mon petit les gens aiment voir les autres croupire dans la misère ». Mais, Mano ne voulut pas s’en prendre aux mots de son grand père, parce que certains citadins souhaitèrent même qu’il fasse la politique afin qu’il devienne député pour défendre leurs interets. Ces faits le bouchèrent les oreilles pour écouter le grand père et voir plus loin. Et les personnes de mauvais œil le combattirent de façon injuste.
Markina, une jeune femme de taille moyenne avec des yeux bleus foncés très jolie qui tomba amoureuse de Mano depuis plusieurs années, mais ce dernier ne s’interessa pas à elle. Comme le dit J.B Tati Loutard: « une belle femme si elle n’est pas voleuse, c’est qu’elle est sorcière ». Elle se passa pour une commerçante pour chercher à s’approcher de Mano, mais en vain. Elle alla voir d’autres personnes qui connaissèrent Mano. Mais quand elle apprit que Mano alla prendre une fiancée au village. Elle n’en crut pas, prise de jalousie et de haine, Elle prometa de faire mal à cette dernière et elle voulut la chercher garouille. Malheureusement pour elle, la fiancée de Mano n’habita pas la ville.
Quand elle eut l’occasion de rencontrer Mano à la fin d’un forum d’entreprenariat que Mano organisa à l’esplanade de l’hotel de ville. Elle l’invita mais Mano rejeta ces invitations et démandes qu’elle mutiplia par plusieurs moyens. Elle finit par s’associer avec deux monsieurs qui furent des proches de Mano, des grands espions de justice afin d’atteindre Mano en l’acusant qu’il viola la belle femme tout en la dédomageant.
En ce temps-là, Mano commença à passer au laminoir dans sa
vie. Il vut ses marchandises bloquées au port de la ville. Certains de ses bien saisis par la justice de la ville. Il cessa d’effectuer ses nombreux voyages d’affaires. Quand il passa les appels auprès des ses proches, personne ne réagit, ils furent tous pervertis par les deux monsieurs complices de Markina qui furent ses proches qu’il rendu beaucoup de services. L’avocat de Mano fit beaucoup de requtes voire des suites de fibonacci, mais cela ne fut pas solutionnable. Comme disent les chinois: « si un riche partage neuf pauvres, il deviendra lui-même le dixième pauvre ». Il eut la chutte de sa fortune qui tomba brusquement à cause des gens de mauvais oeil.
Voilà donc Mano en dépossession de son allant du départ et Lamine decida de venir vivre à ses coté pour le consoler.
Mano crut maintenant à l’affection de Lamine envers lui.
-Pourquoi ne m’as-tu pas fuit comme font certaines femmes? Se démanda Mano.
-Mon chers c’est une question d’affection et des sentiments. Moi-même je ne sais pas. Repondit Lamine.
La vie de Mano changea, il ne fut plus visité comme avant, il n’eut plus des relations bien avec les gens de la ville. Kakime vint toujours le visiter comme d’habitude et le consoler.
-Aujourd’hui, il n’ ya plus personne à mes côtés sauf toi Kakime. Je ne le crois pas vraiment. Dit Mano.
-Tu es plus qu’un frére pour moi depuis l’enfance. Je me souviens quand nous étions au lycée tu m’as beaucoup rendu service. Je ne peux jamais t’oublier. Si tu crois vraiment mon ami, tu te relèveras. Je me souviens au catéchisme, on nous disait que Dieu pourvoit toujours à ses créatures et les fait croitre. Dit Kakime.
-Tu peux avoir raison, mais pourquoi permet-il, certaines personnes faire mal aux autres? Démanda Mano.
-Il ne permet pas mais il te laisse à l’épreuve pour déterminer ta foi. Donc remets toi au travail et mets toi dans la prière. Les chrétients disent souvent: « aides toi le ciel t’aideras ». Repondit Kakime.
- Merci a toi Kakime, c’est dans la différence que trouve les voies de complémentarité. Repondit Mano.
Il alla souvent passer son temps sous l’arbre sauvage où Il s’embla analyser les conseils des gens et rêva un monde imaginaire. Il s’allongea accablement sous l’arbre, il ne voulut plus quitter le lieu. Il craignit même que la nuit ne tomba pour qu’il continua à imaginer son monde à lui.
Sous l’arbre sauvage, il vente, l’esprit se rafrechit et l’âme se detendit et le corps aspira et respira de l’air pur.
Sous l’arbre sauvage, il y eut l’ombre doux, la chaleur n’eut plus sa place, et il n’eut plus besoin d’un mouchoir ou pochette pour essuyer la sueur qui devint inexistable.
Sous l’abre sauvage, il y resta et se laissa gagner par la tendresse de son ombre doux et le sommeil envouta ses yeux.
Mano ne voulut plus se remettre au travail. Il craignit que les gens vinrent encore s’agripper à lui comme l’autre fois. Cette situation devint pour lui une fatalité engendrée par le degré du meprit d’esprit.