Bain de soleil noir
feu éternel de la haine
la plage un tombeau
Écrivain romantique amoureux de Mozart
il y a
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Finaliste
Jury
Jury
Quand j'entends se tourner les pages de ton livre,
Je chéris les leçons que la vie me délivre,
Entre joie et douleur.
Du flou des souvenirs resurgit la musique
Envoûtante, obstinée, d'un conte fantastique
Entre fièvre et douceur
Trompeur et doucereux, ton vil marchand de sable
Vole aux enfants leurs yeux et les revend au diable
En un pacte d'horreur.
Antonia l’exaltée scelle sa fin certaine,
Ose son dernier chant, préférant, souveraine
La mort à sa langueur.
Ta troublante Ophélia, automate ou humaine
Ensorcelle l’esprit qui erre en son domaine,
S’emparant de mon cœur.
Ton chat Murr – un amour, ce beau matou matois,
Fait patte de folie, la griffe en tapinois,
Velours sur sa rancœur.
Ton Vase d’Or contient des talismans antiques,
Femme-serpent, dragon, lis orangés magiques,
Ineffable splendeur.
Le prénom de Mozart à ton nom tu accoles,
L'opéra d'Offenbach sublime tes paroles
Et chante en ton honneur.
Chez toi vivent le rêve et la mélancolie
Les plus profondes peurs, la subtile ironie,
L’insidieuse noirceur.
Parfois, quand je voudrais changer de paysages,
Je feuillette ton œuvre, et au hasard des pages,
Je trouve mon bonheur.
Aussi fou qu’Edgar Poe, plus gai que Thomas Mann,
Mon cher Ernst Theodor Amadeus Hoffmann,
Romantique conteur.
Je chéris les leçons que la vie me délivre,
Entre joie et douleur.
Du flou des souvenirs resurgit la musique
Envoûtante, obstinée, d'un conte fantastique
Entre fièvre et douceur
Trompeur et doucereux, ton vil marchand de sable
Vole aux enfants leurs yeux et les revend au diable
En un pacte d'horreur.
Antonia l’exaltée scelle sa fin certaine,
Ose son dernier chant, préférant, souveraine
La mort à sa langueur.
Ta troublante Ophélia, automate ou humaine
Ensorcelle l’esprit qui erre en son domaine,
S’emparant de mon cœur.
Ton chat Murr – un amour, ce beau matou matois,
Fait patte de folie, la griffe en tapinois,
Velours sur sa rancœur.
Ton Vase d’Or contient des talismans antiques,
Femme-serpent, dragon, lis orangés magiques,
Ineffable splendeur.
Le prénom de Mozart à ton nom tu accoles,
L'opéra d'Offenbach sublime tes paroles
Et chante en ton honneur.
Chez toi vivent le rêve et la mélancolie
Les plus profondes peurs, la subtile ironie,
L’insidieuse noirceur.
Parfois, quand je voudrais changer de paysages,
Je feuillette ton œuvre, et au hasard des pages,
Je trouve mon bonheur.
Aussi fou qu’Edgar Poe, plus gai que Thomas Mann,
Mon cher Ernst Theodor Amadeus Hoffmann,
Romantique conteur.
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Vous avez bien fait de m'inviter à cette lecture. Je pense que vous saviez qu'elle me plairait. C'est le cas.
Au delà de la qualité du texte, la démarche est on ne peut plus originale compte tenu de la thématique ("fiche de lecture") imposée.
J'espère que le jury vous selectionnera.
bien à vous.
Je vois que vous avez un texte en compétition pour l'été , je vais aller vous lire prochainement.