Les mains dans les poches, la musique dans les oreilles,
Le bus avance, traverse un déluge sans pareille.
J'ignore ce qui m'entoure, je reste dans mon monde.
Le chauffeur fait son travail et la terre est ronde.
Je n’regarde personne, ils me le rendent bien.
Le chemin que l'on prend est tout sauf incertain.
La route est tracée, et on poursuit les arrêts,
Je me mets debout, car la suite je la connais.
Deux minutes du lycée, cinq de la faculté,
Descendre du bus, et sortir de la mêlé.
Se réveillé, et regarder autour de soi,
Les gens que l'on côtoie sont dans le même état.
Éviter les contacts, poursuivre son chemin,
Avoir pour habitude d'ignorer son prochain.
Rester dans son monde, en tout point un paradis,
Ne pas voir que dehors, quelque chose nous souris.
Le bus avance, traverse un déluge sans pareille.
J'ignore ce qui m'entoure, je reste dans mon monde.
Le chauffeur fait son travail et la terre est ronde.
Je n’regarde personne, ils me le rendent bien.
Le chemin que l'on prend est tout sauf incertain.
La route est tracée, et on poursuit les arrêts,
Je me mets debout, car la suite je la connais.
Deux minutes du lycée, cinq de la faculté,
Descendre du bus, et sortir de la mêlé.
Se réveillé, et regarder autour de soi,
Les gens que l'on côtoie sont dans le même état.
Éviter les contacts, poursuivre son chemin,
Avoir pour habitude d'ignorer son prochain.
Rester dans son monde, en tout point un paradis,
Ne pas voir que dehors, quelque chose nous souris.