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Timelapse
A tous ceux qui se lèvent étouffés
Par les touffeurs de la nuit
A ceux transis dans une gare en transit
A l'archet qui violoncelle ton âme
Et ravine ton cerveau
Car ça brûle et t'émeut
Au bleu qui te cyanose
Au rouge qui te sature
Oxygène ton sang
Uppercute ta joie
A ta danse dans le vide
Sous des néons tremblants
A tes hanches qui bougent
Que tu colles contre le mur
Et qui bougent encore
A la pierre au béton
A l'angle droit au verre
A la modernité de tes froideurs légères
Belles si belles enfants peroxydées
Respirant monoxydes et langueurs ordinaires
A l'air et au soupir que tu fais quand tu jouis
Dans cette forêt inventée
Plus verte que ton écran
Où t'endormir enfin
A l'écho dans ton ventre
Qui cogne ton acier
Et te fera puissant
Par les touffeurs de la nuit
A ceux transis dans une gare en transit
A l'archet qui violoncelle ton âme
Et ravine ton cerveau
Car ça brûle et t'émeut
Au bleu qui te cyanose
Au rouge qui te sature
Oxygène ton sang
Uppercute ta joie
A ta danse dans le vide
Sous des néons tremblants
A tes hanches qui bougent
Que tu colles contre le mur
Et qui bougent encore
A la pierre au béton
A l'angle droit au verre
A la modernité de tes froideurs légères
Belles si belles enfants peroxydées
Respirant monoxydes et langueurs ordinaires
A l'air et au soupir que tu fais quand tu jouis
Dans cette forêt inventée
Plus verte que ton écran
Où t'endormir enfin
A l'écho dans ton ventre
Qui cogne ton acier
Et te fera puissant
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