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Je ne savais pas trop ce qu’il fallait te dire,
Si tu me comprenais et les gestes à proscrire,
Si tu étais, pour moi, un adulte, un enfant,
Mais j’ai compris très vite : tu es toi, simplement.
J’avais peur je l'avoue, oui je dois reconnaître,
Mais ça, c’était avant, avant de te connaître,
J’avais peur comme on craint ce qu’on ne connaît pas,
J’avais des préjugés, toi tu n’en avais pas.
Tu es venu vers moi, le visage souriant,
Tu m’as pris par la main, d’un geste rassurant,
Moi, je voulais t’aider, c’est toi qui m’a guidé
Et notre « différence » s’est très vite effacée.
Si tes yeux sont bridés, je le sais aujourd’hui,
C’est d’offrir, tout le temps, ce visage ravi,
Si ton cœur est si gros, c’est pour mieux contenir,
Tout cet amour immense que tu veux nous offrir.
Veux-tu que je te dise où est la différence ?
Toi, tu sais tout donner, sans pudeur , sans méfiance,
Maintenant, de mon côté, j’apprends à regarder,
Derrière le handicap, ta belle humanité.
La tolérance, vois-tu, c’est quand l’intelligence,
Pas celle de l’esprit, mais bien celle du cœur,
Réussit à gommer toutes les différences,
A reconnaître, chez l’autre, sa véritable valeur.
Si tu me comprenais et les gestes à proscrire,
Si tu étais, pour moi, un adulte, un enfant,
Mais j’ai compris très vite : tu es toi, simplement.
J’avais peur je l'avoue, oui je dois reconnaître,
Mais ça, c’était avant, avant de te connaître,
J’avais peur comme on craint ce qu’on ne connaît pas,
J’avais des préjugés, toi tu n’en avais pas.
Tu es venu vers moi, le visage souriant,
Tu m’as pris par la main, d’un geste rassurant,
Moi, je voulais t’aider, c’est toi qui m’a guidé
Et notre « différence » s’est très vite effacée.
Si tes yeux sont bridés, je le sais aujourd’hui,
C’est d’offrir, tout le temps, ce visage ravi,
Si ton cœur est si gros, c’est pour mieux contenir,
Tout cet amour immense que tu veux nous offrir.
Veux-tu que je te dise où est la différence ?
Toi, tu sais tout donner, sans pudeur , sans méfiance,
Maintenant, de mon côté, j’apprends à regarder,
Derrière le handicap, ta belle humanité.
La tolérance, vois-tu, c’est quand l’intelligence,
Pas celle de l’esprit, mais bien celle du cœur,
Réussit à gommer toutes les différences,
A reconnaître, chez l’autre, sa véritable valeur.
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Quand je lis ce texte, j'ai toujours autant d'émotions !
Sincères Amitiés.