Sous la porte cochère
Un baiser a volé
Trèfle pas ramassé
Il s'est perdu là-bas
Sur le fleuve alangui
Dans... [+]
Sur le chevalet...
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Elle sent l'herbe mouillée des étés-libellules
Ceux qui volent la mémoire
Et la nappent d'azur
De bonheurs opaliens
Ce sont des bonheurs doux
Petits cailloux sculptés
Sur les heures translucides
Le soleil s'éclaire...
Prendre la clé des champs
Boire l'eau des ruisseaux
Se cacher dans les foins
Et groseiller ses lèvres
À la campagne heureuse...
Elle sent le bleu léger des étés-coccinelles
Ceux qui irisent le jour
En volutes d'amour...
... Et se tenir la main
Pour ne jamais vieillir
L'avenir est si loin
Elle sent la vie jolie
Elle pose et s'alanguit
Sur ma toile infidèle
Je retiens son parfum
Il trouble alors mon âme
J'oublie tout
Au delà des misères bien plus loin que les guerres
Elle est ma terre
Je ne vois qu'elle
Au diable mon honneur
Chevalier désarmé
Je lui livre ma vie
Et je défais le monde
Sur mes pinceaux rêveurs
En peignant les saisons qu' Elle écrit sur mon cœur.
Je sais. Elle n'est pas là.
Et si je me l'invente
C'est que mon cœur a froid
Un été bleu marine
Je finirais ma toile
Et cette oeuvre si belle
Ce sera ce modèle que j'attends chaque fois
Un jour
Elle sera là.
Ceux qui volent la mémoire
Et la nappent d'azur
De bonheurs opaliens
Ce sont des bonheurs doux
Petits cailloux sculptés
Sur les heures translucides
Le soleil s'éclaire...
Prendre la clé des champs
Boire l'eau des ruisseaux
Se cacher dans les foins
Et groseiller ses lèvres
À la campagne heureuse...
Elle sent le bleu léger des étés-coccinelles
Ceux qui irisent le jour
En volutes d'amour...
... Et se tenir la main
Pour ne jamais vieillir
L'avenir est si loin
Elle sent la vie jolie
Elle pose et s'alanguit
Sur ma toile infidèle
Je retiens son parfum
Il trouble alors mon âme
J'oublie tout
Au delà des misères bien plus loin que les guerres
Elle est ma terre
Je ne vois qu'elle
Au diable mon honneur
Chevalier désarmé
Je lui livre ma vie
Et je défais le monde
Sur mes pinceaux rêveurs
En peignant les saisons qu' Elle écrit sur mon cœur.
Je sais. Elle n'est pas là.
Et si je me l'invente
C'est que mon cœur a froid
Un été bleu marine
Je finirais ma toile
Et cette oeuvre si belle
Ce sera ce modèle que j'attends chaque fois
Un jour
Elle sera là.
Qui tonnent en mon âme
Là où mon cœur, des cris
S'allongent comme des flammes...
À suivre (veut dire que je réserve mes 5 prochains votes pour la finale, à cette oeuvre).
+ 5 votes !
Bravo Brocéliande !!! :)