Dans les premières traverses du jour,
Une grive messagère
Pourfend dans l’oblique
Le reflet de la rivière.
Ses yeux ébènes qui autrefois m'adoraient
Ne sont plus miens désormais
Pourtant je me rappelle...
De ces nocturnes à les regarder
Pendant que le temps s'arrêtait,
Et guettait le jour qui se renouvelle.
Ô que j'aimais cet être
Qui jamais n'aurait dû m'appartenir
Ô que j'aimais cet être
Qui, je le savais, un jour, devrait partir.
Il est loin ce temps
Où nous étions amants
Il est loin ce temps
Où nous nous aimions réciproquement.
Pourtant je me rappelle...
De ses yeux ébènes
Comme s'ils étaient là bien réels.
Son regard ne me quittera jamais,
Me tourmentera à sa guise,
Car pour toujours, je me suis éprise
De cet être qui jadis m'aimait...
Ne sont plus miens désormais
Pourtant je me rappelle...
De ces nocturnes à les regarder
Pendant que le temps s'arrêtait,
Et guettait le jour qui se renouvelle.
Ô que j'aimais cet être
Qui jamais n'aurait dû m'appartenir
Ô que j'aimais cet être
Qui, je le savais, un jour, devrait partir.
Il est loin ce temps
Où nous étions amants
Il est loin ce temps
Où nous nous aimions réciproquement.
Pourtant je me rappelle...
De ses yeux ébènes
Comme s'ils étaient là bien réels.
Son regard ne me quittera jamais,
Me tourmentera à sa guise,
Car pour toujours, je me suis éprise
De cet être qui jadis m'aimait...