Je draguais une puce, du côté de Saint-Ouen.
Nous nous mîmes à parler, du beau temps, de la pluie...
Elle se mit à bâiller. Je m’suis dit : si j’l’ennuie,
Elle va héler un chien, et tagada tsoin tsoin...
C’est d’ailleurs ce qu’elle fit, soyons clairs sur ce point !
Le chien était femelle et s’appelait Sidonie ;
Elle était famélique et sans maître ; et j’ouïs
Qu’elle se trouvait très lasse et n’irait plus très loin.
Je l’accompagnais donc jusqu’au petit resto
Où j’avais mes quartiers, connaissant le cuistot ;
Et on lui servit là du goulasch autrichien.
Elle mangea à sa faim et devint mon amie.
Enfin je caressais Sidonie, endormie...
QUI PEUT LA PUCE,
PEUT LE CHIEN !
Nous nous mîmes à parler, du beau temps, de la pluie...
Elle se mit à bâiller. Je m’suis dit : si j’l’ennuie,
Elle va héler un chien, et tagada tsoin tsoin...
C’est d’ailleurs ce qu’elle fit, soyons clairs sur ce point !
Le chien était femelle et s’appelait Sidonie ;
Elle était famélique et sans maître ; et j’ouïs
Qu’elle se trouvait très lasse et n’irait plus très loin.
Je l’accompagnais donc jusqu’au petit resto
Où j’avais mes quartiers, connaissant le cuistot ;
Et on lui servit là du goulasch autrichien.
Elle mangea à sa faim et devint mon amie.
Enfin je caressais Sidonie, endormie...
QUI PEUT LA PUCE,
PEUT LE CHIEN !