Les jalousies closes
à l’éclat d’une bougie
ils veillent le feu
Si G arrête
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Grande et Fine,
Vêtue d'un blanc d'aspirine,
Ta tête est blonde
Pour attirer le monde.
Remplie d'odeurs et de goûts
On ne sait pas ce que tu attends de nous.
Si avec une flamme, on t'allume
Ton corps s'en fume et se consume.
On aspire ton âme,
Tu deviens rouge flamme.
Et c'est là que ton histoire commence,
Le temps que tu détruises notre apparence.
Tu fréquentes les bars tabac,
Et attends celui qui fera le premier pas.
Peu importe ton prix, et ta réputation,
On te prend par paquet et par compassion.
Tu n'es pas unique,
Mais l'une de millions de clones identiques,
Prêtes à venir en aide à tous ces pseudo narcotiques.
Quand ta tête entre en contact,
Avec nos lèvres presque intactes,
C'est presque le début d'un pacte.
Tu deviens indispensable,
Dans notre vie insatiable.
Tu imprègnes tes amants,
D'un goût répugnant.
Tu te laisses absorber
Pour mieux pénétrer,
Les corps de tes futurs asphyxiés.
Ton travail sera long,
Le temps d'une malédiction.
Au fil du temps, les plus forts te larguent,
Les plus faibles, continuent et te draguent.
Tu laisses la couleur ocre de tes émois,
Dans le creux et sur le bout des doigts,
Tu remplis de tes excréments noirs,
Le vide de nos sacs respiratoires.
Tu nous trompes avec ton ami le cancer,
Il est trop tard, le divorce sera une galère...
Vêtue d'un blanc d'aspirine,
Ta tête est blonde
Pour attirer le monde.
Remplie d'odeurs et de goûts
On ne sait pas ce que tu attends de nous.
Si avec une flamme, on t'allume
Ton corps s'en fume et se consume.
On aspire ton âme,
Tu deviens rouge flamme.
Et c'est là que ton histoire commence,
Le temps que tu détruises notre apparence.
Tu fréquentes les bars tabac,
Et attends celui qui fera le premier pas.
Peu importe ton prix, et ta réputation,
On te prend par paquet et par compassion.
Tu n'es pas unique,
Mais l'une de millions de clones identiques,
Prêtes à venir en aide à tous ces pseudo narcotiques.
Quand ta tête entre en contact,
Avec nos lèvres presque intactes,
C'est presque le début d'un pacte.
Tu deviens indispensable,
Dans notre vie insatiable.
Tu imprègnes tes amants,
D'un goût répugnant.
Tu te laisses absorber
Pour mieux pénétrer,
Les corps de tes futurs asphyxiés.
Ton travail sera long,
Le temps d'une malédiction.
Au fil du temps, les plus forts te larguent,
Les plus faibles, continuent et te draguent.
Tu laisses la couleur ocre de tes émois,
Dans le creux et sur le bout des doigts,
Tu remplis de tes excréments noirs,
Le vide de nos sacs respiratoires.
Tu nous trompes avec ton ami le cancer,
Il est trop tard, le divorce sera une galère...
Douce drogue à douce dose
Distillé par la Seita et l'alambic
Tout en moi jusqu'à l'overdose...
On peut toujours divorcer... parole d'une ex-fumeuse. Mon vote pour ce slam original.