Si j’avais su combien la vie
Cohabite avec le destin,
L’existence et ses lendemains
Eurent donné un sens à l’envie.
Rageusement, je t’affronte
Octopode que je ne crains.
Sans relâche je te dompte
En sachant que ce sera vain.
Encéphale soumis aux ordres
Nébuleux d’une myéline.
Paresthésies sclérosantes,
Langueurs que rien n’assassine.
Atrophie de nombreux muscles
Que la maudite pieuvre enserre.
Urgence et patience se noient...
Effrayantes tentacules,
Sachez que de votre emprise, toujours j’arriverai à me défaire !
Cohabite avec le destin,
L’existence et ses lendemains
Eurent donné un sens à l’envie.
Rageusement, je t’affronte
Octopode que je ne crains.
Sans relâche je te dompte
En sachant que ce sera vain.
Encéphale soumis aux ordres
Nébuleux d’une myéline.
Paresthésies sclérosantes,
Langueurs que rien n’assassine.
Atrophie de nombreux muscles
Que la maudite pieuvre enserre.
Urgence et patience se noient...
Effrayantes tentacules,
Sachez que de votre emprise, toujours j’arriverai à me défaire !