Pleure sur mon dos
Je suis d’une peau de chagrin
Si ce soir c’est mon tour
Demain c’est le tien
Tes larmes de... [+]
Reviens.
Frôle le bitume
Danse et enfume
Les lunes diurnes
Posées sur les nocturnes.
Ombres et victuailles
Du géant trou noir
Aspirant les désespoirs
Les espaces temps défaillent.
Filant à l’approche
D’un neutron zigzaguant
Dernier baiser effarant
Rue des adieux qui amochent.
Et toi effleurant
L’écume du ciel
De ce regard aveuglant
L’espoir confidentiel.
Frôle l’amertume
Fuis et consume
Des souvenirs esseulés
Perclus d’animosité.
Sombres les épouvantails
Fouettés au vent ivre
Passent les caravansérails
Emportant le battement de vivre.
Défilant par l’infini
Les amants indéfinis
Les maux fusent, se diffusent,
Dans cette galaxie abstruse.
Et toi, le cri à la commissure
De nos haines, nos blessures,
Et toi tu me rends fou tant
Tu épuises mon cœur démâtant.
Reviens.
Frôle le bitume
Danse et enfume
Les lunes diurnes
Posées sur les nocturnes.
Ombres et victuailles
Du géant trou noir
Aspirant les désespoirs
Les espaces temps défaillent.
Filant à l’approche
D’un neutron zigzaguant
Dernier baiser effarant
Rue des adieux qui amochent.
Et toi effleurant
L’écume du ciel
De ce regard aveuglant
L’espoir confidentiel.
Frôle l’amertume
Fuis et consume
Des souvenirs esseulés
Perclus d’animosité.
Sombres les épouvantails
Fouettés au vent ivre
Passent les caravansérails
Emportant le battement de vivre.
Défilant par l’infini
Les amants indéfinis
Les maux fusent, se diffusent,
Dans cette galaxie abstruse.
Et toi, le cri à la commissure
De nos haines, nos blessures,
Et toi tu me rends fou tant
Tu épuises mon cœur démâtant.
Reviens.