Je me demande comment ce sera, après. J’y ai beaucoup réfléchi et je n’arrive pas trop à savoir. Je m’imagine, je me fais des films, mais je ne peux pas savoir tant que je n’y serai pas... [+]
Je suis entrepreneur, chercheur dans l'âme, passionné par diverses sagas littéraires pour lesquelles il m'arrive de commencer des nouvelles que je finis rarement... Retrouvez tous mes textes en [+]
Je passe sous des fenêtres, inquiet pour l’avenir.
J’ai le souffle rapide, j’ai couru pour venir.
Gueule béante sur le vide, les rideaux sont ouverts,
L’eau coule devant mes pieds et les quais sont déserts.
Mes mains sont appuyées sur la rambarde en fer.
Mes yeux n’osent plus bouger, face à un voile amer.
Alors mes pieds s’embourbent dans l’enfer des pavés.
Dans le froid du matin, mon sourire est figé.
Je vois partout quelqu’un, Hermès, roi des voleurs,
Qui en fait n’est nulle part, Mais où est mon bonheur ?
De mon espoir blessé, j’ai le souffle coupé,
Déçu et rassuré d’un rendez-vous manqué.
J’ai le souffle rapide, j’ai couru pour venir.
Gueule béante sur le vide, les rideaux sont ouverts,
L’eau coule devant mes pieds et les quais sont déserts.
Mes mains sont appuyées sur la rambarde en fer.
Mes yeux n’osent plus bouger, face à un voile amer.
Alors mes pieds s’embourbent dans l’enfer des pavés.
Dans le froid du matin, mon sourire est figé.
Je vois partout quelqu’un, Hermès, roi des voleurs,
Qui en fait n’est nulle part, Mais où est mon bonheur ?
De mon espoir blessé, j’ai le souffle coupé,
Déçu et rassuré d’un rendez-vous manqué.
