Douce
Sauvage
Maladroite parfois
J’écoute battre
Ce qui sans cesse
S’échappe du silence
J’écoute
L’insaisissable fragilité
De ton absence

Manger le monde, chevaucher le vent
Hurler sous les cahots ardents sans
Se perdre au milieu de cette poussière
Et en jouant avec la lumière
Tremblante du couchant, appeler la
Nuit naissante, Ô solitude, mange-moi !
Les tressauts de la route m’empêchent
De crier ma joie et mon envie
Jamais rater le départ de ma
Vie, la peur de ne pas pouvoir m’en
Voler ou celle de tomber nez à
Nez avec fatigue ou nostalgie
Celles qui, là-bas, couronnent leur vie
Road Trip en motocyclette ailleurs
Sur les avenues rencontrer les pas
Sœurs, Ô mon pays cherchant le bonne
Heure.
Hurler sous les cahots ardents sans
Se perdre au milieu de cette poussière
Et en jouant avec la lumière
Tremblante du couchant, appeler la
Nuit naissante, Ô solitude, mange-moi !
Les tressauts de la route m’empêchent
De crier ma joie et mon envie
Jamais rater le départ de ma
Vie, la peur de ne pas pouvoir m’en
Voler ou celle de tomber nez à
Nez avec fatigue ou nostalgie
Celles qui, là-bas, couronnent leur vie
Road Trip en motocyclette ailleurs
Sur les avenues rencontrer les pas
Sœurs, Ô mon pays cherchant le bonne
Heure.

C'est avec beaucoup de retard que je découvre cet excellent poème. Aujourd'hui je vous invite à découvrir le mien "A l'air du temps" en finale du grand prix été poésie 2017. Bonne soirée.
si le coeur vous en dit, j'ai un TTC en compèt' : http://short-edition.com/oeuvre/tres-tres-court/les-deux-vieux
et aussi
un poème : http://short-edition.com/oeuvre/poetik/terre-de-passage
sans obligation ;-)
si le coeur vous en dit, venez lire ces quelques lignes : http://short-edition.com/oeuvre/poetik/les-lignes-d-un-jour