Un homme pleure
Des heures planent
Ses yeux s'embrument
Une femme pleure
Ses heures se fanent
Ses yeux le consument
Des femmes pleurent
L'effroi n'étonne plus
Des hommes pleurent
La mort ne s'étonne plus
Des heures planent
Ses yeux s'embrument
Une femme pleure
Ses heures se fanent
Ses yeux le consument
Des femmes pleurent
L'effroi n'étonne plus
Des hommes pleurent
La mort ne s'étonne plus
Un thème dur que vous avez choisi là. J'ignore s'il s'agit d'une forme de poésie particulière mais ce vers me pose soucis : "Ses yeux le consument" Quel est le sujet de "le" ? "L'homme" ?
Mis à part ce détail, je trouve l'idée de la thématique intéressante et la bascule entre "local" (homme femme au singulier) à "général" (pluriel, effroi, notion de mort) apporte un élément qui donne plus de profondeur à vos mots.
Au plaisir ( ^_^)